Rendre les armes. Le sort des vaincus XVIe-XVIIe siècles
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- Nombre de pages432
- FormatePub
- ISBN979-10-267-0497-3
- EAN9791026704973
- Date de parution06/03/2017
- Protection num.Digital Watermarking
- Taille10 Mo
- Infos supplémentairesepub
- ÉditeurEditions Champ Vallon
- PréfacierNicolas Le Roux
- PostfacierHervé Drévillon
Résumé
Des guerres d'Italie à la fin du règne de Louis XIV, les conflits permanents voient alterner pratiques de redditions honorables, rites d'humiliations, exactions et massacres.
Saisir la logique de ces traitements différenciés de l'adversaire défait impose de considérer la guerre comme un marché dicté par l'intérêt pragmatique des belligérants. Pour accomplir leurs objectifs politiques et militaires à moindre coût, les vainqueurs font parfois preuve de clémence.
Mais lorsque s'éloigne la menace des représailles, malheur aux vaincus ! Cette vision transactionnelle de la guerre bouscule deux mythes historiographiques, celui d'un sombre XVIe siècle marqué par l'ultra violence des « guerriers de Dieu », et celui, déréalisant, de la « guerre en dentelles » chevaleresque et courtoise.
Mais lorsque s'éloigne la menace des représailles, malheur aux vaincus ! Cette vision transactionnelle de la guerre bouscule deux mythes historiographiques, celui d'un sombre XVIe siècle marqué par l'ultra violence des « guerriers de Dieu », et celui, déréalisant, de la « guerre en dentelles » chevaleresque et courtoise.
Des guerres d'Italie à la fin du règne de Louis XIV, les conflits permanents voient alterner pratiques de redditions honorables, rites d'humiliations, exactions et massacres.
Saisir la logique de ces traitements différenciés de l'adversaire défait impose de considérer la guerre comme un marché dicté par l'intérêt pragmatique des belligérants. Pour accomplir leurs objectifs politiques et militaires à moindre coût, les vainqueurs font parfois preuve de clémence.
Mais lorsque s'éloigne la menace des représailles, malheur aux vaincus ! Cette vision transactionnelle de la guerre bouscule deux mythes historiographiques, celui d'un sombre XVIe siècle marqué par l'ultra violence des « guerriers de Dieu », et celui, déréalisant, de la « guerre en dentelles » chevaleresque et courtoise.
Mais lorsque s'éloigne la menace des représailles, malheur aux vaincus ! Cette vision transactionnelle de la guerre bouscule deux mythes historiographiques, celui d'un sombre XVIe siècle marqué par l'ultra violence des « guerriers de Dieu », et celui, déréalisant, de la « guerre en dentelles » chevaleresque et courtoise.