Renaissances du Mystère en Europe. Fin XIXe siècle - début XXIe siècle
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- Nombre de pages392
- FormatMulti-format
- ISBN979-10-344-0490-2
- EAN9791034404902
- Date de parution26/02/2019
- Protection num.NC
- Infos supplémentairesMulti-format incluant PDF avec W...
- ÉditeurPresses universitaires de Strasb...
Résumé
Destin extraordinaire que celui du mystère ! Secret à ses origines, puis extrêmement populaire au Moyen Âge et de ce fait interdit en France. Quasi oublié dans les siècles qui suivent, toujours repris, souvent trahi, le genre du mystère ressurgit en force à la fin du xixe siècle un peu partout en Europe, et semble toujours bien vivace en ce début du xxie siècle. Mais les spectacles pluriels qu'il désigne, les pratiques théâtrales qu'il implique, n'affichent plus qu'un lointain rapport avec les modèles antique et médiéval.
De Dumas à Castellucci, de Lorca à Pommerat, de Claudel à Dario Fo, de Barnes à Tabori, quel sens faut-il donc donner au mot mystère ? Les formes modernes qui se développent depuis la fin du xixe siècle relèvent-elles du genre du mystère ? Et d'ailleurs, est-on fondé à parler de genre ? Si les mystères antiques, réservés aux seuls initiés, ont gardé nombre de leurs secrets, les travaux des spécialistes du Moyen Âge ont éclairé les formes et les enjeux didactiques et spectaculaires des mystères médiévaux.
Il manquait une étude générale sur les formes modernes, voire contemporaines, du mystère en Europe. C'est désormais chose faite. Des chercheurs français et étrangers issus de plusieurs disciplines, des praticiens du théâtre, des romanciers se sont attachés à comprendre la pérennité du mystère jusqu'à nos jours, à en cerner les déclinaisons et réinvestissements, tout en faisant apparaître les enjeux que lui confère la modernité.
De Dumas à Castellucci, de Lorca à Pommerat, de Claudel à Dario Fo, de Barnes à Tabori, quel sens faut-il donc donner au mot mystère ? Les formes modernes qui se développent depuis la fin du xixe siècle relèvent-elles du genre du mystère ? Et d'ailleurs, est-on fondé à parler de genre ? Si les mystères antiques, réservés aux seuls initiés, ont gardé nombre de leurs secrets, les travaux des spécialistes du Moyen Âge ont éclairé les formes et les enjeux didactiques et spectaculaires des mystères médiévaux.
Il manquait une étude générale sur les formes modernes, voire contemporaines, du mystère en Europe. C'est désormais chose faite. Des chercheurs français et étrangers issus de plusieurs disciplines, des praticiens du théâtre, des romanciers se sont attachés à comprendre la pérennité du mystère jusqu'à nos jours, à en cerner les déclinaisons et réinvestissements, tout en faisant apparaître les enjeux que lui confère la modernité.
Destin extraordinaire que celui du mystère ! Secret à ses origines, puis extrêmement populaire au Moyen Âge et de ce fait interdit en France. Quasi oublié dans les siècles qui suivent, toujours repris, souvent trahi, le genre du mystère ressurgit en force à la fin du xixe siècle un peu partout en Europe, et semble toujours bien vivace en ce début du xxie siècle. Mais les spectacles pluriels qu'il désigne, les pratiques théâtrales qu'il implique, n'affichent plus qu'un lointain rapport avec les modèles antique et médiéval.
De Dumas à Castellucci, de Lorca à Pommerat, de Claudel à Dario Fo, de Barnes à Tabori, quel sens faut-il donc donner au mot mystère ? Les formes modernes qui se développent depuis la fin du xixe siècle relèvent-elles du genre du mystère ? Et d'ailleurs, est-on fondé à parler de genre ? Si les mystères antiques, réservés aux seuls initiés, ont gardé nombre de leurs secrets, les travaux des spécialistes du Moyen Âge ont éclairé les formes et les enjeux didactiques et spectaculaires des mystères médiévaux.
Il manquait une étude générale sur les formes modernes, voire contemporaines, du mystère en Europe. C'est désormais chose faite. Des chercheurs français et étrangers issus de plusieurs disciplines, des praticiens du théâtre, des romanciers se sont attachés à comprendre la pérennité du mystère jusqu'à nos jours, à en cerner les déclinaisons et réinvestissements, tout en faisant apparaître les enjeux que lui confère la modernité.
De Dumas à Castellucci, de Lorca à Pommerat, de Claudel à Dario Fo, de Barnes à Tabori, quel sens faut-il donc donner au mot mystère ? Les formes modernes qui se développent depuis la fin du xixe siècle relèvent-elles du genre du mystère ? Et d'ailleurs, est-on fondé à parler de genre ? Si les mystères antiques, réservés aux seuls initiés, ont gardé nombre de leurs secrets, les travaux des spécialistes du Moyen Âge ont éclairé les formes et les enjeux didactiques et spectaculaires des mystères médiévaux.
Il manquait une étude générale sur les formes modernes, voire contemporaines, du mystère en Europe. C'est désormais chose faite. Des chercheurs français et étrangers issus de plusieurs disciplines, des praticiens du théâtre, des romanciers se sont attachés à comprendre la pérennité du mystère jusqu'à nos jours, à en cerner les déclinaisons et réinvestissements, tout en faisant apparaître les enjeux que lui confère la modernité.