Poète, essayiste de réputation internationale, Yves Bonnefoy doit son talent et sa célébrité à son uvre poétique d'une belle ampleur (derniers recueils : Les Planches courbes -inscrit au programme du baccalauréat littéraire-, La Longue Chaîne de l'ancre, Rature outre), ses traductions de Shakespeare, Yeats, Pétrarque, Léopardi et d'importants travaux critiques sur la littérature (Rimbaud, l'Imaginaire métaphysique) et l'art (Rome, 1630, Giacometti, Goya, etc.) couronnée par son enseignement au collège de France.
Remarques sur le dessin
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- Nombre de pages104
- FormatePub
- ISBN978-2-7152-4302-6
- EAN9782715243026
- Date de parution29/06/2016
- Protection num.Adobe DRM
- Taille154 Ko
- Infos supplémentairesepub
- ÉditeurLe Mercure de France
Résumé
Quelles vibrations dans ce trait qui se risque parfois dans des taches, sous des rehauts d'un peu de couleur : le dessin !
Ce dessin qui peut sembler moins, au premier regard de qui a aimé de grands retables, ou la matière transfigurée dans un Titien, un Vermeer, ou l'orage qui va gronder ou s'attarde chez Delacroix, mais qui parfois se révèle autant sinon même presque plus, dans le presque rien d'une ligne qui hésite, qui s'interrompt.
Comme si l'aveu d'une insuffisance, pour autant qu'on la reconnaisse au comble d'une maîtrise, était la vérité devant laquelle toute autre se décolore, mais aussi un afflux, quelque chose comme une source.
Comme si l'aveu d'une insuffisance, pour autant qu'on la reconnaisse au comble d'une maîtrise, était la vérité devant laquelle toute autre se décolore, mais aussi un afflux, quelque chose comme une source.
Quelles vibrations dans ce trait qui se risque parfois dans des taches, sous des rehauts d'un peu de couleur : le dessin !
Ce dessin qui peut sembler moins, au premier regard de qui a aimé de grands retables, ou la matière transfigurée dans un Titien, un Vermeer, ou l'orage qui va gronder ou s'attarde chez Delacroix, mais qui parfois se révèle autant sinon même presque plus, dans le presque rien d'une ligne qui hésite, qui s'interrompt.
Comme si l'aveu d'une insuffisance, pour autant qu'on la reconnaisse au comble d'une maîtrise, était la vérité devant laquelle toute autre se décolore, mais aussi un afflux, quelque chose comme une source.
Comme si l'aveu d'une insuffisance, pour autant qu'on la reconnaisse au comble d'une maîtrise, était la vérité devant laquelle toute autre se décolore, mais aussi un afflux, quelque chose comme une source.