Registres du Consistoire de Genève au temps de Calvin. Tome 17 (15 février 1560 - 20 février 1561)
Par : ,Formats :
Disponible dans votre compte client Decitre ou Furet du Nord dès validation de votre commande. Le format Multi-format est :
- Pour les liseuses autres que Vivlio, vous devez utiliser le logiciel Adobe Digital Edition. Non compatible avec la lecture sur les liseuses Kindle, Remarkable et Sony
, qui est-ce ?Notre partenaire de plateforme de lecture numérique où vous retrouverez l'ensemble de vos ebooks gratuitement
Pour en savoir plus sur nos ebooks, consultez notre aide en ligne ici
- Nombre de pages560
- FormatMulti-format
- ISBN978-2-600-36459-1
- EAN9782600364591
- Date de parution04/05/2023
- Protection num.NC
- Infos supplémentairesMulti-format incluant ePub avec ...
- ÉditeurLibrairie Droz
Résumé
Le dix-septième volume des Registres du Consistoire de Genève couvre 1560, une année tumultueuse. Pour la première fois, il y a des bourgeois (i.e., citoyens naturalisés), y compris le marquis Galéas Caracciolo, parmi les membres laïques du tribunal des mours. Dans ces registres, le Consistoire dénonce vivement plusieurs hommes qui ont participé à la conjuration d'Amboise, prélude aux guerres de religion.
En 1560, Genève connaît des difficultés économiques et le Consistoire fait preuve d'empathie envers les pauvres tout en prenant des mesures contre la paresse et la dissipation. Le Consistoire et le Conseil se montrent plus sévères à l'encontre de la danse et condamnent à des amendes ou à quelques jours de prison. Plusieurs femmes sont convoquées parce qu'elles continuent d'observer certaines pratiques catholiques, surtout les prières à la Vierge Marie.
Dans ce tome se trouve l'affaire la plus mémorable se déroulant devant le Consistoire du vivant de Calvin. Elle concerne deux femmes soi-disant prophètes qui prétendent recevoir des visions célestes ; en outre, l'une d'elles déclare que, par décret divin, Jean Calvin est son mari.
En 1560, Genève connaît des difficultés économiques et le Consistoire fait preuve d'empathie envers les pauvres tout en prenant des mesures contre la paresse et la dissipation. Le Consistoire et le Conseil se montrent plus sévères à l'encontre de la danse et condamnent à des amendes ou à quelques jours de prison. Plusieurs femmes sont convoquées parce qu'elles continuent d'observer certaines pratiques catholiques, surtout les prières à la Vierge Marie.
Dans ce tome se trouve l'affaire la plus mémorable se déroulant devant le Consistoire du vivant de Calvin. Elle concerne deux femmes soi-disant prophètes qui prétendent recevoir des visions célestes ; en outre, l'une d'elles déclare que, par décret divin, Jean Calvin est son mari.
Le dix-septième volume des Registres du Consistoire de Genève couvre 1560, une année tumultueuse. Pour la première fois, il y a des bourgeois (i.e., citoyens naturalisés), y compris le marquis Galéas Caracciolo, parmi les membres laïques du tribunal des mours. Dans ces registres, le Consistoire dénonce vivement plusieurs hommes qui ont participé à la conjuration d'Amboise, prélude aux guerres de religion.
En 1560, Genève connaît des difficultés économiques et le Consistoire fait preuve d'empathie envers les pauvres tout en prenant des mesures contre la paresse et la dissipation. Le Consistoire et le Conseil se montrent plus sévères à l'encontre de la danse et condamnent à des amendes ou à quelques jours de prison. Plusieurs femmes sont convoquées parce qu'elles continuent d'observer certaines pratiques catholiques, surtout les prières à la Vierge Marie.
Dans ce tome se trouve l'affaire la plus mémorable se déroulant devant le Consistoire du vivant de Calvin. Elle concerne deux femmes soi-disant prophètes qui prétendent recevoir des visions célestes ; en outre, l'une d'elles déclare que, par décret divin, Jean Calvin est son mari.
En 1560, Genève connaît des difficultés économiques et le Consistoire fait preuve d'empathie envers les pauvres tout en prenant des mesures contre la paresse et la dissipation. Le Consistoire et le Conseil se montrent plus sévères à l'encontre de la danse et condamnent à des amendes ou à quelques jours de prison. Plusieurs femmes sont convoquées parce qu'elles continuent d'observer certaines pratiques catholiques, surtout les prières à la Vierge Marie.
Dans ce tome se trouve l'affaire la plus mémorable se déroulant devant le Consistoire du vivant de Calvin. Elle concerne deux femmes soi-disant prophètes qui prétendent recevoir des visions célestes ; en outre, l'une d'elles déclare que, par décret divin, Jean Calvin est son mari.














