Quiberon. La répression et la vengeance

Par : Jacques-Philippe Champagnac

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  • Nombre de pages366
  • FormatPDF
  • ISBN2-262-05579-3
  • EAN9782262055790
  • Date de parution31/12/1988
  • Protection num.Digital Watermarking
  • Taille102 Mo
  • Infos supplémentairespdf
  • ÉditeurPerrin (réédition numérique Feni...

Résumé

Par son ampleur et les moyens que l'Angleterre lui avait donnés, l'expédition de Quiberon (juin 1795), manouvre essentielle de la contre-Révolution, eût pu constituer une menace pour la République. Quels en furent les préparatifs, quelles furent les exactes raisons de son échec, les Émigrés ont-ils capitulé ? Dans quelles conditions furent massacrées près de huit cents personnes de tout âge (de 14 ans à 80 ans), à qui l'on avait promis la vie sauve (on en trouve la liste en fin de volume), et qui s'ajoutèrent aux milliers d'Émigrés et de Chouans, morts en combattant ou par noyade ? Autant de questions, auxquelles - à l'aide de nouveaux documents découverts aux archives de la guerre et au British Museum - répond Jacques-Philippe Champagnac dans une étude très approfondie. Mais cet ouvrage raconte surtout, d'une façon saisissante, la vengeance qui se déchaîna contre les volontaires nationaux, exécuteurs des jugements des commissions militaires : terrible vengeance de Charette, mais aussi terrible vengeance populaire contre quatre cents volontaires d'Arras qui, suivis, traqués depuis Quiberon et Auray par deux Émigrés - dont l'un avait échappé à leurs balles -, furent exterminés non loin de Nantes par une population entière.
Parallèlement à cette histoire, l'auteur relate celle, peu connue, des volontaires nationaux. Il évoque aussi des affaires et des personnages étonnants, et parfois équivoques, indissociables du climat singulier dans lequel a baigné la chouannerie bretonne.
Par son ampleur et les moyens que l'Angleterre lui avait donnés, l'expédition de Quiberon (juin 1795), manouvre essentielle de la contre-Révolution, eût pu constituer une menace pour la République. Quels en furent les préparatifs, quelles furent les exactes raisons de son échec, les Émigrés ont-ils capitulé ? Dans quelles conditions furent massacrées près de huit cents personnes de tout âge (de 14 ans à 80 ans), à qui l'on avait promis la vie sauve (on en trouve la liste en fin de volume), et qui s'ajoutèrent aux milliers d'Émigrés et de Chouans, morts en combattant ou par noyade ? Autant de questions, auxquelles - à l'aide de nouveaux documents découverts aux archives de la guerre et au British Museum - répond Jacques-Philippe Champagnac dans une étude très approfondie. Mais cet ouvrage raconte surtout, d'une façon saisissante, la vengeance qui se déchaîna contre les volontaires nationaux, exécuteurs des jugements des commissions militaires : terrible vengeance de Charette, mais aussi terrible vengeance populaire contre quatre cents volontaires d'Arras qui, suivis, traqués depuis Quiberon et Auray par deux Émigrés - dont l'un avait échappé à leurs balles -, furent exterminés non loin de Nantes par une population entière.
Parallèlement à cette histoire, l'auteur relate celle, peu connue, des volontaires nationaux. Il évoque aussi des affaires et des personnages étonnants, et parfois équivoques, indissociables du climat singulier dans lequel a baigné la chouannerie bretonne.