Quelles forêts pour demain ? Eléments de stratégie pour une approche rénovée du développement durable
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- Nombre de pages252
- FormatPDF
- ISBN2-296-15328-3
- EAN9782296153288
- Date de parution01/01/2001
- Copier Coller01 page(s) autorisée(s)
- Protection num.Digital Watermarking
- Taille3 Mo
- ÉditeurL'Harmattan
Résumé
Autant la notion de développement durable est une invitée obligée de tous les discours et débats internationaux relatifs à l'environnement, autant cette notion est mal partagée dans sa signification et sa portée opérationnelle. Partant de ce constat et de la diversité des représentations et attentes des parties concernées par les forêts, Hervé Brédif et Pierre Boudinot éclairent la crise de référence du monde forestier.
Qu'est-ce que bien gérer la forêt, en effet, pour les propriétaires forestiers publics ou privés, pour les industriels, les élus territoriaux, les promeneurs et naturalistes, les O.N.G., les citadins ou les ruraux,... les politiques, la société ? Qui est légitime dans ce débat, et comment se dénoue-t-il ? Au terme d'une enquête passionnante et rigoureuse " explicitant l'implicite " comme l'exprime dans la préface de l'ouvrage Serge Antoine, Président d'Honneur du Comité 21 et co-organisateur du Congrès de Rio, les auteurs s'inquiètent du mouvement dominant d'imposition de normes prescriptives qui disqualifient l'engagement des hommes vis-à-vis des forêts et menacent ainsi l'économie et l'écologie forestières.
Ils y opposent un schéma d'ouverture reposant sur le contrat négocié, seul à même de restaurer les dimensions humaines, organisationnelles et stratégiques de la gestion durable.
Qu'est-ce que bien gérer la forêt, en effet, pour les propriétaires forestiers publics ou privés, pour les industriels, les élus territoriaux, les promeneurs et naturalistes, les O.N.G., les citadins ou les ruraux,... les politiques, la société ? Qui est légitime dans ce débat, et comment se dénoue-t-il ? Au terme d'une enquête passionnante et rigoureuse " explicitant l'implicite " comme l'exprime dans la préface de l'ouvrage Serge Antoine, Président d'Honneur du Comité 21 et co-organisateur du Congrès de Rio, les auteurs s'inquiètent du mouvement dominant d'imposition de normes prescriptives qui disqualifient l'engagement des hommes vis-à-vis des forêts et menacent ainsi l'économie et l'écologie forestières.
Ils y opposent un schéma d'ouverture reposant sur le contrat négocié, seul à même de restaurer les dimensions humaines, organisationnelles et stratégiques de la gestion durable.
Autant la notion de développement durable est une invitée obligée de tous les discours et débats internationaux relatifs à l'environnement, autant cette notion est mal partagée dans sa signification et sa portée opérationnelle. Partant de ce constat et de la diversité des représentations et attentes des parties concernées par les forêts, Hervé Brédif et Pierre Boudinot éclairent la crise de référence du monde forestier.
Qu'est-ce que bien gérer la forêt, en effet, pour les propriétaires forestiers publics ou privés, pour les industriels, les élus territoriaux, les promeneurs et naturalistes, les O.N.G., les citadins ou les ruraux,... les politiques, la société ? Qui est légitime dans ce débat, et comment se dénoue-t-il ? Au terme d'une enquête passionnante et rigoureuse " explicitant l'implicite " comme l'exprime dans la préface de l'ouvrage Serge Antoine, Président d'Honneur du Comité 21 et co-organisateur du Congrès de Rio, les auteurs s'inquiètent du mouvement dominant d'imposition de normes prescriptives qui disqualifient l'engagement des hommes vis-à-vis des forêts et menacent ainsi l'économie et l'écologie forestières.
Ils y opposent un schéma d'ouverture reposant sur le contrat négocié, seul à même de restaurer les dimensions humaines, organisationnelles et stratégiques de la gestion durable.
Qu'est-ce que bien gérer la forêt, en effet, pour les propriétaires forestiers publics ou privés, pour les industriels, les élus territoriaux, les promeneurs et naturalistes, les O.N.G., les citadins ou les ruraux,... les politiques, la société ? Qui est légitime dans ce débat, et comment se dénoue-t-il ? Au terme d'une enquête passionnante et rigoureuse " explicitant l'implicite " comme l'exprime dans la préface de l'ouvrage Serge Antoine, Président d'Honneur du Comité 21 et co-organisateur du Congrès de Rio, les auteurs s'inquiètent du mouvement dominant d'imposition de normes prescriptives qui disqualifient l'engagement des hommes vis-à-vis des forêts et menacent ainsi l'économie et l'écologie forestières.
Ils y opposent un schéma d'ouverture reposant sur le contrat négocié, seul à même de restaurer les dimensions humaines, organisationnelles et stratégiques de la gestion durable.
