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  • Nombre de pages179
  • FormatePub
  • ISBN978-2-7144-5450-8
  • EAN9782714454508
  • Date de parution23/08/2012
  • Protection num.Adobe & CARE
  • Taille6 Mo
  • ÉditeurBelfond
  • TraducteurBernard Cohen

Résumé

La découverte d'un auteur mythique de la Colombie des années 70, le prolifique Andrés Caicedo, suicidéà 25 ans le jour où il recevait le premier exemplaire de Que viva la musica ! Un roman considéré comme un des chefs-d'ouvre de la littérature latino-américaine du XXe siècle, pour la première fois traduit en français. Le jour où María, petite blonde de dix-sept ans, sèche son rendez-vous hebdomadaire avec de jeunes marxistes étudiant Le Capital, elle sort des rails tout tracés pour elle et débute avec délectation une errance nocturne, rythmée par la drogue, le rock et la salsa, qui l'entraîne de fête en fête.
D'abord avec son ami Ricardito le Misérable, qu'on retrouvera mort avant la fin de la nuit, puis avec son amie et double, Mariángela. À chaque nouvel amant, un nouvel univers musical ou psychotropique s'ouvre à elle. Et elle « se jette à la nuit » avec un charme, un enthousiasme et une énergie qui conquièrent tout le monde sur son passage. Née dans un milieu bourgeois qui l'ennuie, María se lance à la conquête de sa ville natale, Cali, pour une odyssée qui paraît se dérouler en une nuit mais qui contient toute une vie.
Elle finira prostituée volontaire avant d'avoir atteint ses 20 ans. Une balade nocturne hallucinée, un roman sulfureux, d'une énergie et d'une poésie rares, qui rend, comme le titre le promet, un bel hommage à la musique. Maquettiste : Atelier Dominique Toutain
La découverte d'un auteur mythique de la Colombie des années 70, le prolifique Andrés Caicedo, suicidéà 25 ans le jour où il recevait le premier exemplaire de Que viva la musica ! Un roman considéré comme un des chefs-d'ouvre de la littérature latino-américaine du XXe siècle, pour la première fois traduit en français. Le jour où María, petite blonde de dix-sept ans, sèche son rendez-vous hebdomadaire avec de jeunes marxistes étudiant Le Capital, elle sort des rails tout tracés pour elle et débute avec délectation une errance nocturne, rythmée par la drogue, le rock et la salsa, qui l'entraîne de fête en fête.
D'abord avec son ami Ricardito le Misérable, qu'on retrouvera mort avant la fin de la nuit, puis avec son amie et double, Mariángela. À chaque nouvel amant, un nouvel univers musical ou psychotropique s'ouvre à elle. Et elle « se jette à la nuit » avec un charme, un enthousiasme et une énergie qui conquièrent tout le monde sur son passage. Née dans un milieu bourgeois qui l'ennuie, María se lance à la conquête de sa ville natale, Cali, pour une odyssée qui paraît se dérouler en une nuit mais qui contient toute une vie.
Elle finira prostituée volontaire avant d'avoir atteint ses 20 ans. Une balade nocturne hallucinée, un roman sulfureux, d'une énergie et d'une poésie rares, qui rend, comme le titre le promet, un bel hommage à la musique. Maquettiste : Atelier Dominique Toutain

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Commentaires laissés par les libraires

1 Coup de cœur
de nos libraires
FabienDecitre Part-Dieu
3/5
Que viva la musica
Nous suivons les pérégrinations d'une jeune fille, son obsession pour la musique au coeur d'une ville, Cali, l'écriture épouse le rythme de la salsa, son influence majeure sur toute une génération, la portée politique du roman touche l'ensemble de l'Amérique latine. La musicalité de la langue est peut-être impossible à rendre, la traduction en français doit y perdre beaucoup, mais on se laisse malgré tout entraîner dans cette sarabande truffée de références musicales, un appareil critique accompagne la lecture. La musique, le sexe et la drogue sont les moteurs de ce chant de Maldoror moderne, et autant d'armes venant dézinguer une vie bourgeoise qui se meurt d'ennui et de morale, la narratrice se détache tout autant du courant marxiste et révolutionnaire émergeant, partant à la recherche d'émotions brutes, plaçant la musique au coeur de son existence, brûlant la vie à un rythme soutenue afin qu'elle n'ai pas le temps de pourrir. Sans esprit cartésien, sans réflexion, elle épouse le monde, danse avec lui jusqu'à l'épuisement, elle le laisse pantelant, stupide et paresseux, derrière elle, le regard toujours tourné vers cette montagne qui domine les impressions de la ville, elle poursuit sa danse avec Eros ou Thanatos, sans distinguo, se transformant en une Béatrice dantesque. Je ne connais rien à la salsa, mais le roman en est manifestement imprégnée, l'écriture possède un rythme singulier, novateur, à l'image du courant musical de l'époque, la discographie proposée en fin d'ouvrage proposant des pistes aux explorateurs éventuels. Publié en 1977, le destin fulgurant de l'auteur a fait que ce premier roman est devenu culte en Colombie et en Amérique latine.
Nous suivons les pérégrinations d'une jeune fille, son obsession pour la musique au coeur d'une ville, Cali, l'écriture épouse le rythme de la salsa, son influence majeure sur toute une génération, la portée politique du roman touche l'ensemble de l'Amérique latine. La musicalité de la langue est peut-être impossible à rendre, la traduction en français doit y perdre beaucoup, mais on se laisse malgré tout entraîner dans cette sarabande truffée de références musicales, un appareil critique accompagne la lecture. La musique, le sexe et la drogue sont les moteurs de ce chant de Maldoror moderne, et autant d'armes venant dézinguer une vie bourgeoise qui se meurt d'ennui et de morale, la narratrice se détache tout autant du courant marxiste et révolutionnaire émergeant, partant à la recherche d'émotions brutes, plaçant la musique au coeur de son existence, brûlant la vie à un rythme soutenue afin qu'elle n'ai pas le temps de pourrir. Sans esprit cartésien, sans réflexion, elle épouse le monde, danse avec lui jusqu'à l'épuisement, elle le laisse pantelant, stupide et paresseux, derrière elle, le regard toujours tourné vers cette montagne qui domine les impressions de la ville, elle poursuit sa danse avec Eros ou Thanatos, sans distinguo, se transformant en une Béatrice dantesque. Je ne connais rien à la salsa, mais le roman en est manifestement imprégnée, l'écriture possède un rythme singulier, novateur, à l'image du courant musical de l'époque, la discographie proposée en fin d'ouvrage proposant des pistes aux explorateurs éventuels. Publié en 1977, le destin fulgurant de l'auteur a fait que ce premier roman est devenu culte en Colombie et en Amérique latine.

Avis des lecteurs
Commentaires laissés par nos lecteurs

2.7/5
sur 3 notes dont 1 avis lecteur
musica!
J'ai eu du mal à entrer dans cet univers, dans cette langue, la danse, les substances hallucinogènes diverses, la drogue, la violence, le sexe... la vie... Et puis au fil des pages, on s'habitue à ce tourbillon, à cette langue musicale, gros travail de traduction sans doute pour retranscrire cette musicalité... et l'on a envie de prolonger la lecture en puisant dans l'abondante discographie qui l'accompagne. Une autre vision de la Colombie et de son histoire, la rupture entre les quartiers nord et sud de la ville, l'influence des cultures nord-américaine et latino, on est pendant ces quelques heures de lecture dans un tout autre monde... http://lecture-spectacle.blogspot.fr/2012/11/que-viva-la-musica-andres-caicedo.html
J'ai eu du mal à entrer dans cet univers, dans cette langue, la danse, les substances hallucinogènes diverses, la drogue, la violence, le sexe... la vie... Et puis au fil des pages, on s'habitue à ce tourbillon, à cette langue musicale, gros travail de traduction sans doute pour retranscrire cette musicalité... et l'on a envie de prolonger la lecture en puisant dans l'abondante discographie qui l'accompagne. Une autre vision de la Colombie et de son histoire, la rupture entre les quartiers nord et sud de la ville, l'influence des cultures nord-américaine et latino, on est pendant ces quelques heures de lecture dans un tout autre monde... http://lecture-spectacle.blogspot.fr/2012/11/que-viva-la-musica-andres-caicedo.html
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