On retrouve le personnage principal Roy Grace avec plaisir. Bien que l’on puisse lire les romans de Peter James sans chronologie particulière, puisque chaque livre est une enquête distincte, je pense qu’il serait intéressant de respecter le « fil rouge » de ce personnage.
« Que sonne l’heure » commence en 1922 et trouve sa conclusion de nos jours. On est plongé dans la mafia de Chicago des années 20 pour revenir en Angleterre, dans une période plus récente.
Les chapitres courts, où chaque personnage « s’exprime », maintient le suspense. On se demande QUAND ils vont
tous se rencontrer, ou pas !
On tremble aussi pour la famille de Roy Grace. Et puis, il y a toujours ce personnage du passé qui revient, sans vraiment revenir, son ex-épouse…
C’est le second roman mettant en scène Roy Grace que je lis. Bien sûr, il m’a donné envie de reprendre tous les autres, dans l’ordre chronologique. Vaste programme !!!
Haaa le temps !!! (Haletant)
On retrouve le personnage principal Roy Grace avec plaisir. Bien que l’on puisse lire les romans de Peter James sans chronologie particulière, puisque chaque livre est une enquête distincte, je pense qu’il serait intéressant de respecter le « fil rouge » de ce personnage.
« Que sonne l’heure » commence en 1922 et trouve sa conclusion de nos jours. On est plongé dans la mafia de Chicago des années 20 pour revenir en Angleterre, dans une période plus récente.
Les chapitres courts, où chaque personnage « s’exprime », maintient le suspense. On se demande QUAND ils vont tous se rencontrer, ou pas !
On tremble aussi pour la famille de Roy Grace. Et puis, il y a toujours ce personnage du passé qui revient, sans vraiment revenir, son ex-épouse…
C’est le second roman mettant en scène Roy Grace que je lis. Bien sûr, il m’a donné envie de reprendre tous les autres, dans l’ordre chronologique. Vaste programme !!!