Que nos vies aient l'air d'un film parfait

Par : Carole Fives
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  • Nombre de pages98
  • FormatePub
  • ISBN978-2-84742-201-6
  • EAN9782847422016
  • Date de parution23/08/2012
  • Protection num.Digital Watermarking
  • Taille284 Ko
  • ÉditeurLe Passage

Résumé

Certains pensent que le divorce, ça ne sépare que les adultes. Années 80. Déferlante rose sur la France. Première grosse vague de divorces aussi. à la télé, Gainsbourg, Benny Hill et le Top 50. Un frère et une sour sont éloignés. Vacances, calendriers, zone A, zone B. La séparation est vécue différemment par chacun. Chacun son film, sa version, le père, la mère, la sour. Chacun sa chanson. Un seul se tait, le cadet.
Lui, ne parle pas, il attend. Huit ans, neuf ans, dix ans... Dans les familles, les drames se jouent mais ne se disent pas. Huit ans, vingt ans trente ans... Que nos vies aient l'air d'un film parfait est un livre sur l'amour fraternel, celui qui seul permet de traverser ces années sauvages, ces plages d'enfance.
Certains pensent que le divorce, ça ne sépare que les adultes. Années 80. Déferlante rose sur la France. Première grosse vague de divorces aussi. à la télé, Gainsbourg, Benny Hill et le Top 50. Un frère et une sour sont éloignés. Vacances, calendriers, zone A, zone B. La séparation est vécue différemment par chacun. Chacun son film, sa version, le père, la mère, la sour. Chacun sa chanson. Un seul se tait, le cadet.
Lui, ne parle pas, il attend. Huit ans, neuf ans, dix ans... Dans les familles, les drames se jouent mais ne se disent pas. Huit ans, vingt ans trente ans... Que nos vies aient l'air d'un film parfait est un livre sur l'amour fraternel, celui qui seul permet de traverser ces années sauvages, ces plages d'enfance.

Avis des lecteurs
Commentaires laissés par nos lecteurs

4/5
sur 7 notes dont 3 avis lecteurs
Du divorce a l amour fraternel
Ce livre décrit les dommages collatéraux du divorce sur les enfants. Le portrait des adultes qui n’arrivent pas à faire la part entre leurs déchirements personnels et leur rôle de parents défaillants, de même que les ballottements liés aux vacances scolaires, n’ont peut être rien d’original. En revanche, la place et la parole données aux enfants, et la façon dont ils vivent respectivement la séparation, est beaucoup plus singulière. Tout d’abord, l’aînée, dont le prénom n’est jamais dévoilé, s’exprime abondamment. Manipulée par une mère psychologiquement fragile, elle conduit son frère à vivre avec leur mère, alors qu’elle reste avec son père. A la séparation des parents, s’ajoutent donc la séparation des enfants et l‘abandon par la sœur de son frère. Elle s’en voudra d’ailleurs toujours. Reste le petit frère qui lui est nommé, Tom. Il subit en silence les choix des autres membres de la famille. Il ne s’exprime en effet pas dans ce livre, sauf en clôture de celui-ci, sous la forme d’une lettre adressée, adulte, à sa sœur. Il y dévoile qu’il a nié son enfance et opté une vie totalement libre, à la fois d’attaches familiales, et d’attaches de lieu. Une belle leçon, en 119 pages seulement, sur l'amour fraternel et sur la force salvatrice de la liberté.
Ce livre décrit les dommages collatéraux du divorce sur les enfants. Le portrait des adultes qui n’arrivent pas à faire la part entre leurs déchirements personnels et leur rôle de parents défaillants, de même que les ballottements liés aux vacances scolaires, n’ont peut être rien d’original. En revanche, la place et la parole données aux enfants, et la façon dont ils vivent respectivement la séparation, est beaucoup plus singulière. Tout d’abord, l’aînée, dont le prénom n’est jamais dévoilé, s’exprime abondamment. Manipulée par une mère psychologiquement fragile, elle conduit son frère à vivre avec leur mère, alors qu’elle reste avec son père. A la séparation des parents, s’ajoutent donc la séparation des enfants et l‘abandon par la sœur de son frère. Elle s’en voudra d’ailleurs toujours. Reste le petit frère qui lui est nommé, Tom. Il subit en silence les choix des autres membres de la famille. Il ne s’exprime en effet pas dans ce livre, sauf en clôture de celui-ci, sous la forme d’une lettre adressée, adulte, à sa sœur. Il y dévoile qu’il a nié son enfance et opté une vie totalement libre, à la fois d’attaches familiales, et d’attaches de lieu. Une belle leçon, en 119 pages seulement, sur l'amour fraternel et sur la force salvatrice de la liberté.
Récit à Trois mains
Un père, une mère, une fille... racontent comment ils ont vécu l'explosion de la famille par le divorce. La culpabilité, l'organisation de la nouvelle vie... et le petit frère ? Qu'est devenu le petit frère ? La fin est inattendue...
Un père, une mère, une fille... racontent comment ils ont vécu l'explosion de la famille par le divorce. La culpabilité, l'organisation de la nouvelle vie... et le petit frère ? Qu'est devenu le petit frère ? La fin est inattendue...
un très bon premier roman
Carole Fives a su trouver les mots justes pour traduire toutes ces souffrances, permettant aussi au lecteur de glisser ses propres sentiments dans les interstices d'un récit jamais appuyé et aux accents de vérité. Remarquablement construit et écrit, "Que nos vies aient l'air d'un film parfait" impressionne par la sensation de gâchis qu'il fait naître au fur et à mesure de la lecture, sans jamais sombrer dans le manichéisme ni le parti-pris.
Carole Fives a su trouver les mots justes pour traduire toutes ces souffrances, permettant aussi au lecteur de glisser ses propres sentiments dans les interstices d'un récit jamais appuyé et aux accents de vérité. Remarquablement construit et écrit, "Que nos vies aient l'air d'un film parfait" impressionne par la sensation de gâchis qu'il fait naître au fur et à mesure de la lecture, sans jamais sombrer dans le manichéisme ni le parti-pris.
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