Que les blés sont beaux

Par : Alain Yvars
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  • FormatePub
  • ISBN979-10-227-7964-7
  • EAN9791022779647
  • Date de parution19/06/2020
  • Protection num.Digital Watermarking
  • Taille21 Mo
  • Infos supplémentairesepub
  • ÉditeurAlain Yvars

Résumé

Une prémonition ? : « Je voudrais faire des portraits qui un siècle plus tard aux gens d'alors apparussent comme des apparitions ». En écrivant cette phrase à sa sour Wil, le 5 juin 1890, Vincent Van Gogh pouvait-il se douter que son souhait se réaliserait ? Je me suis rendu dans cette petite commune d'Auvers-sur-Oise où la présence de Vincent Van Gogh est toujours perceptible. Je l'ai rencontré.
Il est devenu un ami. Je n'ai eu qu'à l'écouter. Tour à tour joyeux, mélancolique, il m'a raconté, au jour le jour, son activité durant les deux mois qu'il a passés dans cette ville où il était venu pour oublier son mal et se soigner. Intarissable, il m'a fait tout partager : ses joies, ses doutes, ses rencontres, sa tendresse pour son frère Théo. Il m'a décrit ses journées occupées à courir la campagne en quête de motifs et de modèles.
Au sommet de son art, il peignait parfois plus d'un tableau par jour. Il m'a expliqué sa technique, sa passion pour cette peinture qui lui faisait dire : « Il y a du bon de travailler pour les gens qui ne savent pas ce que c'est qu'un tableau ».
Une prémonition ? : « Je voudrais faire des portraits qui un siècle plus tard aux gens d'alors apparussent comme des apparitions ». En écrivant cette phrase à sa sour Wil, le 5 juin 1890, Vincent Van Gogh pouvait-il se douter que son souhait se réaliserait ? Je me suis rendu dans cette petite commune d'Auvers-sur-Oise où la présence de Vincent Van Gogh est toujours perceptible. Je l'ai rencontré.
Il est devenu un ami. Je n'ai eu qu'à l'écouter. Tour à tour joyeux, mélancolique, il m'a raconté, au jour le jour, son activité durant les deux mois qu'il a passés dans cette ville où il était venu pour oublier son mal et se soigner. Intarissable, il m'a fait tout partager : ses joies, ses doutes, ses rencontres, sa tendresse pour son frère Théo. Il m'a décrit ses journées occupées à courir la campagne en quête de motifs et de modèles.
Au sommet de son art, il peignait parfois plus d'un tableau par jour. Il m'a expliqué sa technique, sa passion pour cette peinture qui lui faisait dire : « Il y a du bon de travailler pour les gens qui ne savent pas ce que c'est qu'un tableau ».