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Le mâle humain moyen, que nous appellerons ici « Loulou », présente un certain nombre de différences avec l'exemplaire de rêve que la littérature nous propose actuellement. C'est une affaire de nuances, bien sûr : tous deux appartiennent bien à la catégorie Homo sapiens. Mais cinquante nuances, ou plutôt, cinquante variantes, ce n'est pas rien. D'ailleurs, quarante-neuf suffiront largement. Un peu comme quand « Géo » nous raconte que les dinosaures sont de la famille des oiseaux.
Ils ont peut-être un ADN semblable ; mais imaginez seulement un vélociraptor sur votre canapé, et posez près de lui un canari : demain matin, vous en serez encore à compter les nuances qui les distinguent.
Opportuniste et drôle
Surfons sur le succès de 50 nuances !
les 49 chapitres comparent Grey à nos "Loulou ". en opposant à chaque fois le positif et le négatif;le rêve inaccessible et la réalité banale; l' homme parfait et le compagnon basique...
C'est un peu manichéen tout ça mais avec cette tendresse ironique et cet humour à plusieurs degrés, on partage l'avis de l'auteur et l'on finit par se dire qu'après toutes ces comparaisons , on l'aime vraiment notre Loulou !!!