Qu'est - ce que le travail scientifique des données ?. Big data, little data, no data
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- Nombre de pages420
- FormatMulti-format
- ISBN979-10-365-6541-0
- EAN9791036565410
- Date de parution18/12/2020
- Protection num.NC
- Infos supplémentairesMulti-format incluant PDF avec W...
- ÉditeurOpenEdition Press
- TraducteurCharlotte Matoussowsky
Résumé
Puisant ses analyses et ses exemples dans des champs scientifiques variés, cet ouvrage (dont l'original est paru en 2015 chez MIT Press) offre une étude inédite des utilisations des données au sein des infrastructures de la connaissance - utilisations qui varient largement d'une discipline à l'autre. Bien que le big data ait régulièrement les honneurs de la presse des deux côtés de l'Atlantique, Christine L.
Borgman met en évidence qu'il vaut mieux disposer des bonnes données qu'en avoir beaucoup. Elle montre également que les little data peuvent s'avérer aussi précieuses que les big data, et, que, dans bien des cas, il n'y a aucune donnée, parce que les informations pertinentes n'existent pas, sont introuvables ou sont indisponibles... Au travers d'études de cas pratiques issus d'horizons divers, Christine L.
Borgman met aussi en lumière que les données n'ont ni valeur ni signification isolément : elles s'inscrivent au sein d'une infrastructure de la connaissance, c'est-à-dire d'un écosystème de personnes, de pratiques, de technologies, d'institutions, d'objets matériels et de relations. Pour l'autrice, gérer les données et les exploiter sur le long terme requiert ainsi des investissements massifs dans ces infrastructures de la connaissance.
L'avenir de la recherche, dans un monde en réseau, en dépend.
Borgman met en évidence qu'il vaut mieux disposer des bonnes données qu'en avoir beaucoup. Elle montre également que les little data peuvent s'avérer aussi précieuses que les big data, et, que, dans bien des cas, il n'y a aucune donnée, parce que les informations pertinentes n'existent pas, sont introuvables ou sont indisponibles... Au travers d'études de cas pratiques issus d'horizons divers, Christine L.
Borgman met aussi en lumière que les données n'ont ni valeur ni signification isolément : elles s'inscrivent au sein d'une infrastructure de la connaissance, c'est-à-dire d'un écosystème de personnes, de pratiques, de technologies, d'institutions, d'objets matériels et de relations. Pour l'autrice, gérer les données et les exploiter sur le long terme requiert ainsi des investissements massifs dans ces infrastructures de la connaissance.
L'avenir de la recherche, dans un monde en réseau, en dépend.
Puisant ses analyses et ses exemples dans des champs scientifiques variés, cet ouvrage (dont l'original est paru en 2015 chez MIT Press) offre une étude inédite des utilisations des données au sein des infrastructures de la connaissance - utilisations qui varient largement d'une discipline à l'autre. Bien que le big data ait régulièrement les honneurs de la presse des deux côtés de l'Atlantique, Christine L.
Borgman met en évidence qu'il vaut mieux disposer des bonnes données qu'en avoir beaucoup. Elle montre également que les little data peuvent s'avérer aussi précieuses que les big data, et, que, dans bien des cas, il n'y a aucune donnée, parce que les informations pertinentes n'existent pas, sont introuvables ou sont indisponibles... Au travers d'études de cas pratiques issus d'horizons divers, Christine L.
Borgman met aussi en lumière que les données n'ont ni valeur ni signification isolément : elles s'inscrivent au sein d'une infrastructure de la connaissance, c'est-à-dire d'un écosystème de personnes, de pratiques, de technologies, d'institutions, d'objets matériels et de relations. Pour l'autrice, gérer les données et les exploiter sur le long terme requiert ainsi des investissements massifs dans ces infrastructures de la connaissance.
L'avenir de la recherche, dans un monde en réseau, en dépend.
Borgman met en évidence qu'il vaut mieux disposer des bonnes données qu'en avoir beaucoup. Elle montre également que les little data peuvent s'avérer aussi précieuses que les big data, et, que, dans bien des cas, il n'y a aucune donnée, parce que les informations pertinentes n'existent pas, sont introuvables ou sont indisponibles... Au travers d'études de cas pratiques issus d'horizons divers, Christine L.
Borgman met aussi en lumière que les données n'ont ni valeur ni signification isolément : elles s'inscrivent au sein d'une infrastructure de la connaissance, c'est-à-dire d'un écosystème de personnes, de pratiques, de technologies, d'institutions, d'objets matériels et de relations. Pour l'autrice, gérer les données et les exploiter sur le long terme requiert ainsi des investissements massifs dans ces infrastructures de la connaissance.
L'avenir de la recherche, dans un monde en réseau, en dépend.






