Qu'est-ce que la métaphysique ?
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- Nombre de pages190
- FormatPDF
- ISBN978-2-296-44649-6
- EAN9782296446496
- Date de parution01/12/2010
- Copier Coller01 page(s) autorisée(s)
- Protection num.Digital Watermarking
- Taille3 Mo
- ÉditeurL'Harmattan
Résumé
Si la métaphysique ne se tient pas dans le vide, ce n'est pas uniquement parce qu'elle implique le métaphysicien qui la pense, c'est également parce qu'elle s'applique à toutes les choses du monde, de la pensée et de la vie. La métaphysique est donc ici confrontée, au gré des contributions d'hommes de lettres, de philosophes, d'un physicien et mathématicien : à sa pratique (Pamphile), à l'art (Aude De Kerros), à la politique (Kostas Mavrakis), à la poésie (Jean Biès), à son histoire récente et sa redécouverte de l'analogie (Emmanuel Tourpe), à la logique dont elle constitue la limite (François Chenique), à la doctrine chrétienne de la création ex nihilo (Alain Santacreu), à la physique, à la phénoménologie et à la mystique (Wolfgang Smith), à sa possibilité en bouddhisme (Jean-Marc Vivenza), à toute doctrine dogmatique qui affirmerait la vérité ou le doute absolu (Bruno Berard), et à l'histoire de son nom et de son concept jusqu'à la possibilité d'un connaître (Jean Borella).
Si ce large panorama, pour une question aussi brève et un livre aussi court, fut possible, c'est parce que la métaphysique n'est pas, essentiellement, affaire d'érudition. Les questions ultimes sont simples : pourquoi y a-t-il quelque chose plutôt que rien ? Qui suis-je ? Et n'est-ce pas après avoir épuisé les réponses nécessairement réductrices de la physique, de la psychologie, de la sociologie et de beaucoup de philosophies, que ces questions, davantage encore épurées, pourront éventuellement, hors de toute construction savante, recevoir une réponse également ultime ? C'est bien l'unique objectif de cet essai collectif que d'offrir à chacun l'opportunité d'une telle réponse.
Si ce large panorama, pour une question aussi brève et un livre aussi court, fut possible, c'est parce que la métaphysique n'est pas, essentiellement, affaire d'érudition. Les questions ultimes sont simples : pourquoi y a-t-il quelque chose plutôt que rien ? Qui suis-je ? Et n'est-ce pas après avoir épuisé les réponses nécessairement réductrices de la physique, de la psychologie, de la sociologie et de beaucoup de philosophies, que ces questions, davantage encore épurées, pourront éventuellement, hors de toute construction savante, recevoir une réponse également ultime ? C'est bien l'unique objectif de cet essai collectif que d'offrir à chacun l'opportunité d'une telle réponse.
Si la métaphysique ne se tient pas dans le vide, ce n'est pas uniquement parce qu'elle implique le métaphysicien qui la pense, c'est également parce qu'elle s'applique à toutes les choses du monde, de la pensée et de la vie. La métaphysique est donc ici confrontée, au gré des contributions d'hommes de lettres, de philosophes, d'un physicien et mathématicien : à sa pratique (Pamphile), à l'art (Aude De Kerros), à la politique (Kostas Mavrakis), à la poésie (Jean Biès), à son histoire récente et sa redécouverte de l'analogie (Emmanuel Tourpe), à la logique dont elle constitue la limite (François Chenique), à la doctrine chrétienne de la création ex nihilo (Alain Santacreu), à la physique, à la phénoménologie et à la mystique (Wolfgang Smith), à sa possibilité en bouddhisme (Jean-Marc Vivenza), à toute doctrine dogmatique qui affirmerait la vérité ou le doute absolu (Bruno Berard), et à l'histoire de son nom et de son concept jusqu'à la possibilité d'un connaître (Jean Borella).
Si ce large panorama, pour une question aussi brève et un livre aussi court, fut possible, c'est parce que la métaphysique n'est pas, essentiellement, affaire d'érudition. Les questions ultimes sont simples : pourquoi y a-t-il quelque chose plutôt que rien ? Qui suis-je ? Et n'est-ce pas après avoir épuisé les réponses nécessairement réductrices de la physique, de la psychologie, de la sociologie et de beaucoup de philosophies, que ces questions, davantage encore épurées, pourront éventuellement, hors de toute construction savante, recevoir une réponse également ultime ? C'est bien l'unique objectif de cet essai collectif que d'offrir à chacun l'opportunité d'une telle réponse.
Si ce large panorama, pour une question aussi brève et un livre aussi court, fut possible, c'est parce que la métaphysique n'est pas, essentiellement, affaire d'érudition. Les questions ultimes sont simples : pourquoi y a-t-il quelque chose plutôt que rien ? Qui suis-je ? Et n'est-ce pas après avoir épuisé les réponses nécessairement réductrices de la physique, de la psychologie, de la sociologie et de beaucoup de philosophies, que ces questions, davantage encore épurées, pourront éventuellement, hors de toute construction savante, recevoir une réponse également ultime ? C'est bien l'unique objectif de cet essai collectif que d'offrir à chacun l'opportunité d'une telle réponse.