Provocation. Ou La faiblesse de Dieu
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- Nombre de pages282
- FormatePub
- ISBN2-259-27251-7
- EAN9782259272513
- Date de parution01/01/1959
- Protection num.Digital Watermarking
- Taille430 Ko
- Infos supplémentairesepub
- ÉditeurPlon (réédition numérique FeniXX...
Résumé
Provocation, non pas défi : c'est une adhésion en profondeur que l'auteur recherche ici. « Beaucoup ont l'air d'être dans l'Église, qui sont dehors. Beaucoup ont l'air d'être dehors, qui sont dedans ». Cette parole de saint Augustin, Jean Sulivan ne l'a pas oubliée : il parle pour les indifférents, les « frontaliers », les révoltés qui croient fuir Dieu et leur Église sans savoir que c'est une caricature qu'ils rejettent.
Tout dans notre monde est devenu spectacle et la religion n'a pas échappé à cette contagion. Les fonctionnaires, les manouvres de la foi y veillent. Mais ne sommes-nous pas tous fonctionnaires et manouvres à partir du moment où nous ne vivons plus qu'à la périphérie ? La religion de puissance et de magie qui tombe par pans entiers, n'est pas la religion du Christ ni celle de l'Église, car l'Église n'a jamais laissé entendre qu'il valait mieux achalander les temples que sauver les libertés de l'homme.
Ce livre ne veut pas être un pamphlet, mais plutôt une conversation avec un ami invisible qu'on voudrait éclairer et par là même guérir, en lui faisant pressentir la jeunesse de la vie sous les scléroses et les illusions rassurantes du monde quotidien.
Tout dans notre monde est devenu spectacle et la religion n'a pas échappé à cette contagion. Les fonctionnaires, les manouvres de la foi y veillent. Mais ne sommes-nous pas tous fonctionnaires et manouvres à partir du moment où nous ne vivons plus qu'à la périphérie ? La religion de puissance et de magie qui tombe par pans entiers, n'est pas la religion du Christ ni celle de l'Église, car l'Église n'a jamais laissé entendre qu'il valait mieux achalander les temples que sauver les libertés de l'homme.
Ce livre ne veut pas être un pamphlet, mais plutôt une conversation avec un ami invisible qu'on voudrait éclairer et par là même guérir, en lui faisant pressentir la jeunesse de la vie sous les scléroses et les illusions rassurantes du monde quotidien.
Provocation, non pas défi : c'est une adhésion en profondeur que l'auteur recherche ici. « Beaucoup ont l'air d'être dans l'Église, qui sont dehors. Beaucoup ont l'air d'être dehors, qui sont dedans ». Cette parole de saint Augustin, Jean Sulivan ne l'a pas oubliée : il parle pour les indifférents, les « frontaliers », les révoltés qui croient fuir Dieu et leur Église sans savoir que c'est une caricature qu'ils rejettent.
Tout dans notre monde est devenu spectacle et la religion n'a pas échappé à cette contagion. Les fonctionnaires, les manouvres de la foi y veillent. Mais ne sommes-nous pas tous fonctionnaires et manouvres à partir du moment où nous ne vivons plus qu'à la périphérie ? La religion de puissance et de magie qui tombe par pans entiers, n'est pas la religion du Christ ni celle de l'Église, car l'Église n'a jamais laissé entendre qu'il valait mieux achalander les temples que sauver les libertés de l'homme.
Ce livre ne veut pas être un pamphlet, mais plutôt une conversation avec un ami invisible qu'on voudrait éclairer et par là même guérir, en lui faisant pressentir la jeunesse de la vie sous les scléroses et les illusions rassurantes du monde quotidien.
Tout dans notre monde est devenu spectacle et la religion n'a pas échappé à cette contagion. Les fonctionnaires, les manouvres de la foi y veillent. Mais ne sommes-nous pas tous fonctionnaires et manouvres à partir du moment où nous ne vivons plus qu'à la périphérie ? La religion de puissance et de magie qui tombe par pans entiers, n'est pas la religion du Christ ni celle de l'Église, car l'Église n'a jamais laissé entendre qu'il valait mieux achalander les temples que sauver les libertés de l'homme.
Ce livre ne veut pas être un pamphlet, mais plutôt une conversation avec un ami invisible qu'on voudrait éclairer et par là même guérir, en lui faisant pressentir la jeunesse de la vie sous les scléroses et les illusions rassurantes du monde quotidien.














