Prouver et gouverner. Une analyse politique des statistiques publiques
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- Nombre de pages246
- FormatePub
- ISBN978-2-7071-8249-4
- EAN9782707182494
- Date de parution03/04/2014
- Protection num.Digital Watermarking
- Taille2 Mo
- ÉditeurLa Découverte
- PréfacierEmmanuel Didier
Résumé
Aujourd'hui, les statistiques sont partout. Chacun ressent confusément que, certes, elles fournissent des données utiles sur la société, mais qu'elles servent aussi d'instruments de pouvoir. Dans ces conditions, comment respecter les informations qu'elles apportent et en même temps les envisager comme politiques ? C'est à cette question clé que ce livre entend répondre, en proposant une méthode permettant de bien comprendre l'ambivalence inhérente aux données quantitatives.
En douze scènes historiques concernant le gouvernement néolibéral, les institutions internationales ou les rapports entre quantification et sciences sociales, le lecteur apprendra ainsi à faire le tri dans le déferlement quotidien de chiffres. Alain Desrosières est prématurément décédé alors qu'il mettait la dernière main, avec l'aide d'Emmanuel Didier, à la rédaction de ce livre, qui devrait faire date, au même titre que La Politique des grands nombres (La Découverte, 1993), devenu un classique et traduit dans le monde entier.
Il avait successivement travaillé avec Pierre Bourdieu puis avec la ronde des pragmatistes français, soit deux des environnements les plus innovants intellectuellement en France depuis les années 1980. Il est le fondateur de la sociohistoire de la statistique, une discipline à la croisée de la sociologie, de la science politique, de l'histoire, de l'économie et des statistiques elles-mêmes, qui se développe aujourd'hui très rapidement, en France comme à l'étranger.
Ce livre très accessible et d'une grande portée politique peut être considéré comme son testament intellectuel.
En douze scènes historiques concernant le gouvernement néolibéral, les institutions internationales ou les rapports entre quantification et sciences sociales, le lecteur apprendra ainsi à faire le tri dans le déferlement quotidien de chiffres. Alain Desrosières est prématurément décédé alors qu'il mettait la dernière main, avec l'aide d'Emmanuel Didier, à la rédaction de ce livre, qui devrait faire date, au même titre que La Politique des grands nombres (La Découverte, 1993), devenu un classique et traduit dans le monde entier.
Il avait successivement travaillé avec Pierre Bourdieu puis avec la ronde des pragmatistes français, soit deux des environnements les plus innovants intellectuellement en France depuis les années 1980. Il est le fondateur de la sociohistoire de la statistique, une discipline à la croisée de la sociologie, de la science politique, de l'histoire, de l'économie et des statistiques elles-mêmes, qui se développe aujourd'hui très rapidement, en France comme à l'étranger.
Ce livre très accessible et d'une grande portée politique peut être considéré comme son testament intellectuel.
Aujourd'hui, les statistiques sont partout. Chacun ressent confusément que, certes, elles fournissent des données utiles sur la société, mais qu'elles servent aussi d'instruments de pouvoir. Dans ces conditions, comment respecter les informations qu'elles apportent et en même temps les envisager comme politiques ? C'est à cette question clé que ce livre entend répondre, en proposant une méthode permettant de bien comprendre l'ambivalence inhérente aux données quantitatives.
En douze scènes historiques concernant le gouvernement néolibéral, les institutions internationales ou les rapports entre quantification et sciences sociales, le lecteur apprendra ainsi à faire le tri dans le déferlement quotidien de chiffres. Alain Desrosières est prématurément décédé alors qu'il mettait la dernière main, avec l'aide d'Emmanuel Didier, à la rédaction de ce livre, qui devrait faire date, au même titre que La Politique des grands nombres (La Découverte, 1993), devenu un classique et traduit dans le monde entier.
Il avait successivement travaillé avec Pierre Bourdieu puis avec la ronde des pragmatistes français, soit deux des environnements les plus innovants intellectuellement en France depuis les années 1980. Il est le fondateur de la sociohistoire de la statistique, une discipline à la croisée de la sociologie, de la science politique, de l'histoire, de l'économie et des statistiques elles-mêmes, qui se développe aujourd'hui très rapidement, en France comme à l'étranger.
Ce livre très accessible et d'une grande portée politique peut être considéré comme son testament intellectuel.
En douze scènes historiques concernant le gouvernement néolibéral, les institutions internationales ou les rapports entre quantification et sciences sociales, le lecteur apprendra ainsi à faire le tri dans le déferlement quotidien de chiffres. Alain Desrosières est prématurément décédé alors qu'il mettait la dernière main, avec l'aide d'Emmanuel Didier, à la rédaction de ce livre, qui devrait faire date, au même titre que La Politique des grands nombres (La Découverte, 1993), devenu un classique et traduit dans le monde entier.
Il avait successivement travaillé avec Pierre Bourdieu puis avec la ronde des pragmatistes français, soit deux des environnements les plus innovants intellectuellement en France depuis les années 1980. Il est le fondateur de la sociohistoire de la statistique, une discipline à la croisée de la sociologie, de la science politique, de l'histoire, de l'économie et des statistiques elles-mêmes, qui se développe aujourd'hui très rapidement, en France comme à l'étranger.
Ce livre très accessible et d'une grande portée politique peut être considéré comme son testament intellectuel.