Profession historienne ?. Femmes et écriture de l'histoire au Canada français, XIXe-XXe siècles
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- Nombre de pages537
- FormatePub
- ISBN978-2-7637-5996-8
- EAN9782763759968
- Date de parution07/08/2024
- Protection num.Digital Watermarking
- Taille6 Mo
- Infos supplémentairesepub
- ÉditeurPRESSES DE L'UNIVERSITÉ LAVAL
Résumé
Que savons-nous véritablement de la contribution des femmes à l'écriture de l'histoire ? Cet ouvrage offre un premier éclairage d'ensemble sur l'apport des femmes à la production et à la diffusion des savoirs historiques au Canada français. Que ce soit à titre de journalistes, d'écrivaines, d'archivistes, de secrétaires, de professionnelles ou encore d'universitaires, les femmes ont scruté, analysé et raconté le passé.
Au cours des XIXe et XXe siècles, dans des conditions parfois adverses, elles ont emprunté des voies multiples pour s'adonner à la pratique de l'histoire. Lorsque l'on pose un regard sur leurs contributions souvent reléguées aux marges du champ scientifique, c'est tout un écosystème de production du savoir historique qui se révèle sous nos yeux. S'affadit ainsi l'image d'Épinal du grand chercheur génial et solitaire, souvent masculin.
Au-delà de la galerie de personnages qu'elle fait (re)découvrir, cette histoire des femmes historiennes nous enjoint à réfléchir aux modalités de la professionnalisation du métier et, surtout, à considérer la dimension foncièrement collective du travail de fabrication d'une science.
Au cours des XIXe et XXe siècles, dans des conditions parfois adverses, elles ont emprunté des voies multiples pour s'adonner à la pratique de l'histoire. Lorsque l'on pose un regard sur leurs contributions souvent reléguées aux marges du champ scientifique, c'est tout un écosystème de production du savoir historique qui se révèle sous nos yeux. S'affadit ainsi l'image d'Épinal du grand chercheur génial et solitaire, souvent masculin.
Au-delà de la galerie de personnages qu'elle fait (re)découvrir, cette histoire des femmes historiennes nous enjoint à réfléchir aux modalités de la professionnalisation du métier et, surtout, à considérer la dimension foncièrement collective du travail de fabrication d'une science.
Que savons-nous véritablement de la contribution des femmes à l'écriture de l'histoire ? Cet ouvrage offre un premier éclairage d'ensemble sur l'apport des femmes à la production et à la diffusion des savoirs historiques au Canada français. Que ce soit à titre de journalistes, d'écrivaines, d'archivistes, de secrétaires, de professionnelles ou encore d'universitaires, les femmes ont scruté, analysé et raconté le passé.
Au cours des XIXe et XXe siècles, dans des conditions parfois adverses, elles ont emprunté des voies multiples pour s'adonner à la pratique de l'histoire. Lorsque l'on pose un regard sur leurs contributions souvent reléguées aux marges du champ scientifique, c'est tout un écosystème de production du savoir historique qui se révèle sous nos yeux. S'affadit ainsi l'image d'Épinal du grand chercheur génial et solitaire, souvent masculin.
Au-delà de la galerie de personnages qu'elle fait (re)découvrir, cette histoire des femmes historiennes nous enjoint à réfléchir aux modalités de la professionnalisation du métier et, surtout, à considérer la dimension foncièrement collective du travail de fabrication d'une science.
Au cours des XIXe et XXe siècles, dans des conditions parfois adverses, elles ont emprunté des voies multiples pour s'adonner à la pratique de l'histoire. Lorsque l'on pose un regard sur leurs contributions souvent reléguées aux marges du champ scientifique, c'est tout un écosystème de production du savoir historique qui se révèle sous nos yeux. S'affadit ainsi l'image d'Épinal du grand chercheur génial et solitaire, souvent masculin.
Au-delà de la galerie de personnages qu'elle fait (re)découvrir, cette histoire des femmes historiennes nous enjoint à réfléchir aux modalités de la professionnalisation du métier et, surtout, à considérer la dimension foncièrement collective du travail de fabrication d'une science.