Nouveauté

Profession d’avocat. Mode d’accès sans discrimination et non-respect du principe de la réciprocité (France, Suisse et R.D. Congo)

Par : Ange Sankieme Lusanga
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  • Nombre de pages200
  • FormatPDF
  • ISBN978-2-336-55879-0
  • EAN9782336558790
  • Date de parution11/09/2025
  • Copier Coller01 page(s) autorisée(s)
  • Protection num.Digital Watermarking
  • Taille4 Mo
  • ÉditeurL'Harmattan
  • PréfacierLéon Matangila Musadila

Résumé

Le métier d'avocat remonte  à  la Grèce antique avec le Code de Solon (591 av. J.-C.). Dans le monde romain, avec Cicéron (106-43 av. J.-C.), se construit l'idée d'une défense des plus démunis. Il déjoue la conjuration de Catilina par la seule force de ses discours : les  Catilinaires. L'ordre des avocats, recrutés parmi les ecclésiastiques compétents en droit romain, fut instauré par l'empereur byzantin Justinien Ier, avec un corpus  de  règles déontologiques. Ange Sankieme Lusanga souligne la discrimination et l'asymétrie auxquelles est confronté un avocat étranger pour la mise en ouvre du principe de la réciprocité dans l'exercice de la profession dans certains  États, pourtant membres de l'OMC, dont la France, la Suisse et la République Démocratique du Congo.
Il est exclu de la prestation des services et du port du titre d'avocat. Un avocat étranger ne peut dès lors valoriser son expérience, sa formation, ses études  ou  ses diplômes. Pour le respect du principe fondamental du droit international et d'une justice équitable, l'auteur propose que la réciprocité soit automatique dans l'exercice de la profession d'avocat,  en tant que  défenseur de la dignité et de la liberté humaine, rempart contre l'arbitraire, pour la justice et la vérité.
Le métier d'avocat remonte  à  la Grèce antique avec le Code de Solon (591 av. J.-C.). Dans le monde romain, avec Cicéron (106-43 av. J.-C.), se construit l'idée d'une défense des plus démunis. Il déjoue la conjuration de Catilina par la seule force de ses discours : les  Catilinaires. L'ordre des avocats, recrutés parmi les ecclésiastiques compétents en droit romain, fut instauré par l'empereur byzantin Justinien Ier, avec un corpus  de  règles déontologiques. Ange Sankieme Lusanga souligne la discrimination et l'asymétrie auxquelles est confronté un avocat étranger pour la mise en ouvre du principe de la réciprocité dans l'exercice de la profession dans certains  États, pourtant membres de l'OMC, dont la France, la Suisse et la République Démocratique du Congo.
Il est exclu de la prestation des services et du port du titre d'avocat. Un avocat étranger ne peut dès lors valoriser son expérience, sa formation, ses études  ou  ses diplômes. Pour le respect du principe fondamental du droit international et d'une justice équitable, l'auteur propose que la réciprocité soit automatique dans l'exercice de la profession d'avocat,  en tant que  défenseur de la dignité et de la liberté humaine, rempart contre l'arbitraire, pour la justice et la vérité.