Prier 15 jours avec le père Jacques de Jésus. Un livre pratique et accessible

Par : Didier-Marie Golay
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  • Nombre de pages128
  • FormatePub
  • ISBN978-2-37582-139-8
  • EAN9782375821398
  • Date de parution29/06/2020
  • Copier CollerNon Autorisé
  • Protection num.Adobe & CARE
  • Taille1 Mo
  • Infos supplémentairesepub
  • ÉditeurNouvelle Cité

Résumé

Prier 15 jours avec le Père Jacques de Jésus (1900-1945) nous présente un jeune homme devenu prêtre en 1925 avant de rejoindre les Carmes déchaux en 1932. Plus tard il entend l'appel à suivre Jésus au désert : « On ne sait pas le bien que l'on peut réaliser à distance, uniquement par la prière ». Il anime des retraites et est remarqué pour sa profondeur, son union à Dieu, son humilité et son sens de la justice.
Par « obéissance » à ses supérieurs, il fonde et dirige le Petit-Collège Sainte-Thérèse de l'Enfant Jésus d'Avon. Il y déploie les multiples ressources pédagogiques de son âme d'éducateur. Il veut que « ses » enfants deviennent des hommes accomplis, conscients de leur responsabilité future, qu'ils soient des saints en germes. En ce contexte de seconde guerre mondiale, son coeur d'homme, de prêtre est blessé par les actes de barbarie du régime nazi.
En janvier 1943, il accueille sous une identité d'emprunt trois enfants juifs. Le 15 janvier 1944, la Gestapo encercle le Petit-Collège et arrête les trois enfants et le Père Jacques de Jésus. C'est alors qu'il prononces ces mots immortalisés par le titre d'un film : « Au-devoir les enfants, continuez sans moi ! ». A la prison de Fontainebleau, il murmure à de rares visiteurs : « Il faut des prêtres dans les prisons, si vous saviez...
», « Il y a trop de malheureux, trop de souffrances, je le sens, il faut que je reste ». Fontainebleau, Compiègne, Sarrebruck, Mauthausen, Gusen, Linz... D'étape en étape, son coeur et son être s'enflamment de charité. Stimulant par son attitude, il réchauffe par sa parole. Pour tous, il témoigne en acte de la dignité de l'homme, de tout homme. Il s'éteint le 2 juin 1945 à Linz. Il est honoré à Yad Vashem comme un Juste parmi les nations.
Son procès en canonisation est à l'étude à Rome.
Prier 15 jours avec le Père Jacques de Jésus (1900-1945) nous présente un jeune homme devenu prêtre en 1925 avant de rejoindre les Carmes déchaux en 1932. Plus tard il entend l'appel à suivre Jésus au désert : « On ne sait pas le bien que l'on peut réaliser à distance, uniquement par la prière ». Il anime des retraites et est remarqué pour sa profondeur, son union à Dieu, son humilité et son sens de la justice.
Par « obéissance » à ses supérieurs, il fonde et dirige le Petit-Collège Sainte-Thérèse de l'Enfant Jésus d'Avon. Il y déploie les multiples ressources pédagogiques de son âme d'éducateur. Il veut que « ses » enfants deviennent des hommes accomplis, conscients de leur responsabilité future, qu'ils soient des saints en germes. En ce contexte de seconde guerre mondiale, son coeur d'homme, de prêtre est blessé par les actes de barbarie du régime nazi.
En janvier 1943, il accueille sous une identité d'emprunt trois enfants juifs. Le 15 janvier 1944, la Gestapo encercle le Petit-Collège et arrête les trois enfants et le Père Jacques de Jésus. C'est alors qu'il prononces ces mots immortalisés par le titre d'un film : « Au-devoir les enfants, continuez sans moi ! ». A la prison de Fontainebleau, il murmure à de rares visiteurs : « Il faut des prêtres dans les prisons, si vous saviez...
», « Il y a trop de malheureux, trop de souffrances, je le sens, il faut que je reste ». Fontainebleau, Compiègne, Sarrebruck, Mauthausen, Gusen, Linz... D'étape en étape, son coeur et son être s'enflamment de charité. Stimulant par son attitude, il réchauffe par sa parole. Pour tous, il témoigne en acte de la dignité de l'homme, de tout homme. Il s'éteint le 2 juin 1945 à Linz. Il est honoré à Yad Vashem comme un Juste parmi les nations.
Son procès en canonisation est à l'étude à Rome.