Nouveauté
« Prête l’oreille de ton cœur ! ». République et empathie à l’épreuve. Miscellanées tome 1
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- Nombre de pages252
- FormatPDF
- ISBN979-10-428-0837-2
- EAN9791042808372
- Date de parution30/09/2025
- Copier Coller01 page(s) autorisée(s)
- Protection num.Digital Watermarking
- Taille2 Mo
- ÉditeurIMPLIQUES
Résumé
Harcèlement, empathie, inclusion. des concepts répétés à l'envi, que l'on conjugue, que l'on oppose parfois. allégués par ceux-là mêmes qui déconstruisent l'École et déconsidèrent les savoirs fondamentaux. Une « révolution éducative » s'impose pour que revienne le moment des apprentissages qui enracinent, qui assimilent, qui permettent l'harmonie sociale lorsque la violence partout se déchaîne, lorsque la nature de l'homme, à tout moment, est remise en question.
L'aporie de l'empathie nous est un prétexte pour questionner l'avenir, le « vivre ensemble », expression galvaudée qui par elle-même exprime l'échec des potentats à permettre à nos concitoyens de faire France. L'empathie questionne l'identité de l'homme, questionne la « sororité des âmes contraires », interroge le nécessaire Bien commun qui doit mobiliser celles et ceux qui croient encore que l'on peut faire France. Christophe Delporte, qui en appelle à « déculturer » les uns pour les « assimiler » à la France et leur donner de faire France, incite à ne pas songer d'abord à la post-modernité, mais bien davantage au culte de la modernité qui est la sage rencontre du présent et de la Tradition. L'empathie et son enseignement apparaissent comme la mise en branle de soins palliatifs dans une École, une République à l'agonie.
Un traitement de choc s'impose qui libérera l'École et la France de la gangue genriste, islamo-fasciste qui gangrène l'avenir de la Nation. de son École, de la République. Mais, depuis Clovis à Charles de Gaulle, chacun sait que la France n'est jamais aussi prête au sursaut que lorsqu'on la pense sur le déclin !
L'aporie de l'empathie nous est un prétexte pour questionner l'avenir, le « vivre ensemble », expression galvaudée qui par elle-même exprime l'échec des potentats à permettre à nos concitoyens de faire France. L'empathie questionne l'identité de l'homme, questionne la « sororité des âmes contraires », interroge le nécessaire Bien commun qui doit mobiliser celles et ceux qui croient encore que l'on peut faire France. Christophe Delporte, qui en appelle à « déculturer » les uns pour les « assimiler » à la France et leur donner de faire France, incite à ne pas songer d'abord à la post-modernité, mais bien davantage au culte de la modernité qui est la sage rencontre du présent et de la Tradition. L'empathie et son enseignement apparaissent comme la mise en branle de soins palliatifs dans une École, une République à l'agonie.
Un traitement de choc s'impose qui libérera l'École et la France de la gangue genriste, islamo-fasciste qui gangrène l'avenir de la Nation. de son École, de la République. Mais, depuis Clovis à Charles de Gaulle, chacun sait que la France n'est jamais aussi prête au sursaut que lorsqu'on la pense sur le déclin !
Harcèlement, empathie, inclusion. des concepts répétés à l'envi, que l'on conjugue, que l'on oppose parfois. allégués par ceux-là mêmes qui déconstruisent l'École et déconsidèrent les savoirs fondamentaux. Une « révolution éducative » s'impose pour que revienne le moment des apprentissages qui enracinent, qui assimilent, qui permettent l'harmonie sociale lorsque la violence partout se déchaîne, lorsque la nature de l'homme, à tout moment, est remise en question.
L'aporie de l'empathie nous est un prétexte pour questionner l'avenir, le « vivre ensemble », expression galvaudée qui par elle-même exprime l'échec des potentats à permettre à nos concitoyens de faire France. L'empathie questionne l'identité de l'homme, questionne la « sororité des âmes contraires », interroge le nécessaire Bien commun qui doit mobiliser celles et ceux qui croient encore que l'on peut faire France. Christophe Delporte, qui en appelle à « déculturer » les uns pour les « assimiler » à la France et leur donner de faire France, incite à ne pas songer d'abord à la post-modernité, mais bien davantage au culte de la modernité qui est la sage rencontre du présent et de la Tradition. L'empathie et son enseignement apparaissent comme la mise en branle de soins palliatifs dans une École, une République à l'agonie.
Un traitement de choc s'impose qui libérera l'École et la France de la gangue genriste, islamo-fasciste qui gangrène l'avenir de la Nation. de son École, de la République. Mais, depuis Clovis à Charles de Gaulle, chacun sait que la France n'est jamais aussi prête au sursaut que lorsqu'on la pense sur le déclin !
L'aporie de l'empathie nous est un prétexte pour questionner l'avenir, le « vivre ensemble », expression galvaudée qui par elle-même exprime l'échec des potentats à permettre à nos concitoyens de faire France. L'empathie questionne l'identité de l'homme, questionne la « sororité des âmes contraires », interroge le nécessaire Bien commun qui doit mobiliser celles et ceux qui croient encore que l'on peut faire France. Christophe Delporte, qui en appelle à « déculturer » les uns pour les « assimiler » à la France et leur donner de faire France, incite à ne pas songer d'abord à la post-modernité, mais bien davantage au culte de la modernité qui est la sage rencontre du présent et de la Tradition. L'empathie et son enseignement apparaissent comme la mise en branle de soins palliatifs dans une École, une République à l'agonie.
Un traitement de choc s'impose qui libérera l'École et la France de la gangue genriste, islamo-fasciste qui gangrène l'avenir de la Nation. de son École, de la République. Mais, depuis Clovis à Charles de Gaulle, chacun sait que la France n'est jamais aussi prête au sursaut que lorsqu'on la pense sur le déclin !






