Pour un plein accès à l'acte d'être avec Thomas d'Aquin et Aristote.. Réenraciner le De ente et essentia, prolonger la Métaphysique
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- Nombre de pages192
- FormatPDF
- ISBN2-296-31441-4
- EAN9782296314412
- Date de parution01/02/2003
- Copier Coller01 page(s) autorisée(s)
- Protection num.Digital Watermarking
- Taille6 Mo
- ÉditeurL'Harmattan
Résumé
Nul doute que l'accès à l'acte d'être des réalités que nous classons dans la catégorie de la substance ne soit, dans la recherche métaphysique des principes et causes propres de ce qui est pris en tant qu'être, une étape décisive. Mais cet accès, le devons-nous au seul saint Thomas, comme cela est couramment tenu, ou bien le devons-nous d'abord à Aristote, et comment alors se comparent les voies par lesquels l'un et l'autre nous y conduisent ? Prenant appui sur une lecture entièrement renouvelée de la démarche des livres Z et H de la Métaphysique, ici présentée de manière relativement synthétique, l'on y confronte celle du De ente et essentia.
L'on montre alors que si l'apport du théologien, partant du donné de foi de la création ex nihilo, peut et doit être repris dans un prolongement philosophique à l'apport de la Métaphysique, il demande aussi, par-delà l'écran néoplatonicien et le reproche erroné d'essentialisme fait à Aristote, à être réenraciné dans l'accès ouvert par celui-ci aux causes immanentes de l'exister par soi, séparé et un qui est celui des substances, à savoir : selon la forme, ces substances elles-mêmes et, selon la fin, leur acte d'être.
L'on montre alors que si l'apport du théologien, partant du donné de foi de la création ex nihilo, peut et doit être repris dans un prolongement philosophique à l'apport de la Métaphysique, il demande aussi, par-delà l'écran néoplatonicien et le reproche erroné d'essentialisme fait à Aristote, à être réenraciné dans l'accès ouvert par celui-ci aux causes immanentes de l'exister par soi, séparé et un qui est celui des substances, à savoir : selon la forme, ces substances elles-mêmes et, selon la fin, leur acte d'être.
Nul doute que l'accès à l'acte d'être des réalités que nous classons dans la catégorie de la substance ne soit, dans la recherche métaphysique des principes et causes propres de ce qui est pris en tant qu'être, une étape décisive. Mais cet accès, le devons-nous au seul saint Thomas, comme cela est couramment tenu, ou bien le devons-nous d'abord à Aristote, et comment alors se comparent les voies par lesquels l'un et l'autre nous y conduisent ? Prenant appui sur une lecture entièrement renouvelée de la démarche des livres Z et H de la Métaphysique, ici présentée de manière relativement synthétique, l'on y confronte celle du De ente et essentia.
L'on montre alors que si l'apport du théologien, partant du donné de foi de la création ex nihilo, peut et doit être repris dans un prolongement philosophique à l'apport de la Métaphysique, il demande aussi, par-delà l'écran néoplatonicien et le reproche erroné d'essentialisme fait à Aristote, à être réenraciné dans l'accès ouvert par celui-ci aux causes immanentes de l'exister par soi, séparé et un qui est celui des substances, à savoir : selon la forme, ces substances elles-mêmes et, selon la fin, leur acte d'être.
L'on montre alors que si l'apport du théologien, partant du donné de foi de la création ex nihilo, peut et doit être repris dans un prolongement philosophique à l'apport de la Métaphysique, il demande aussi, par-delà l'écran néoplatonicien et le reproche erroné d'essentialisme fait à Aristote, à être réenraciné dans l'accès ouvert par celui-ci aux causes immanentes de l'exister par soi, séparé et un qui est celui des substances, à savoir : selon la forme, ces substances elles-mêmes et, selon la fin, leur acte d'être.