Portraits acides et autres pensées édifiantes

Par : Philippe Meyer, Arnaud Hofmarcher

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  • Nombre de pages244
  • FormatePub
  • ISBN2-7491-6277-7
  • EAN9782749162775
  • Date de parution01/01/1999
  • Protection num.Digital Watermarking
  • Taille52 Mo
  • Infos supplémentairesepub
  • ÉditeurCherche midi (réédition numériqu...

Résumé

« Dilettante éclairé », comme l'a baptisé Le Monde, « satiriste bien élevé et aussi précis qu'un bourreau chinois » (Le Point), « humoriste humaniste » (Le Nouvel Observateur), « moraliste amical et amusé » (L'Express), Philippe Meyer illustre de mille manières cette pensée de Flaubert : « Rien n'est plus sérieux en ce bas monde que le rire ». Il démontre que l'impertinence se reconnaît à sa pertinence et à sa façon de prendre les modes et les idées reçues à rebrousse-poil.
Convaincu avec Montesquieu que « la gravité est le bouclier des sots », le chroniqueur matutinal de France Inter fait les délices de ses auditeurs (et de ses lecteurs) en s'interrogeant sur des sujets aussi résolument mineurs que la marine bolivienne, le thème astrologique des chats ou la surface du carré d'agneau, mais aussi en exerçant sa verve aux dépens des puissants de notre société, qu'ils appartiennent au monde de la politique, à celui des médias ou du « show-business ».
Longtemps sa devise fut : « Personne n'est parfait ». L'observation de son époque l'a conduit à ajouter : « À ce point-là, il y a du rab' d'abus ». Philippe Meyer occupe désormais une place à part d'où il peut à loisir « étonner son monde en s'étonnant du monde ».
« Dilettante éclairé », comme l'a baptisé Le Monde, « satiriste bien élevé et aussi précis qu'un bourreau chinois » (Le Point), « humoriste humaniste » (Le Nouvel Observateur), « moraliste amical et amusé » (L'Express), Philippe Meyer illustre de mille manières cette pensée de Flaubert : « Rien n'est plus sérieux en ce bas monde que le rire ». Il démontre que l'impertinence se reconnaît à sa pertinence et à sa façon de prendre les modes et les idées reçues à rebrousse-poil.
Convaincu avec Montesquieu que « la gravité est le bouclier des sots », le chroniqueur matutinal de France Inter fait les délices de ses auditeurs (et de ses lecteurs) en s'interrogeant sur des sujets aussi résolument mineurs que la marine bolivienne, le thème astrologique des chats ou la surface du carré d'agneau, mais aussi en exerçant sa verve aux dépens des puissants de notre société, qu'ils appartiennent au monde de la politique, à celui des médias ou du « show-business ».
Longtemps sa devise fut : « Personne n'est parfait ». L'observation de son époque l'a conduit à ajouter : « À ce point-là, il y a du rab' d'abus ». Philippe Meyer occupe désormais une place à part d'où il peut à loisir « étonner son monde en s'étonnant du monde ».