Portrait(s) de Victor Zigelman

Par : Isabelle Pleskoff

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  • Nombre de pages182
  • FormatPDF
  • ISBN978-2-296-24428-3
  • EAN9782296244283
  • Date de parution01/12/2009
  • Copier Coller01 page(s) autorisée(s)
  • Protection num.Digital Watermarking
  • Taille8 Mo
  • ÉditeurL'Harmattan
  • PréfacierHenri Raczymow
  • PostfacierJean-Marc Berlière

Résumé

Ce récit est un portrait en mosaïque d'un homme hors du commun, Victor Zigelman (1926-2007). Fils de Juifs polonais venus à Paris dans les années vingt, Victor grandit dans un milieu juif communiste, et c'est donc tout naturellement vers le Parti qu'il s'oriente à la fin des années trente, lorsque le monde s'assombrit. Après la déportation de son père vers Auschwitz, Victor rejoint les rangs de la résistance juive des FTP-MOI (Franc-tireurs et partisans main-d'oeuvre immigrée).
Fin de la guerre, Isidore, son père, ne revient pas. Seul avec sa mère, Victor s'essaye à divers petits boulots avant d'arriver dans l'équipe du journal France-Soir dirigé par Pierre Lazareff, où il restera environ vingt ans. A la retraite, Victor s'engage avec beaucoup d'énergie dans la constitution d'une mémoire de la résistance juive, tant en collaborant avec des historiens, qu'en recherchant des informations sur ses copains fusillés, et qu'en créant avec quelques autres une association d'anciens résistants.
La présentation chronologique, reconstituée à partir des témoignages que Victor a livrés aux historiens ou dans la presse, témoignages portés par un regard toujours lucide, et souvent plein d'humour, et une mémoire d'une grande précision, est suivie d'aperçus sur sa vie auprès de sa femme, Léa Stryk, sur son engagement associatif, et sur ses passions, les arts visuels et la musique, notamment.
Ce récit est un portrait en mosaïque d'un homme hors du commun, Victor Zigelman (1926-2007). Fils de Juifs polonais venus à Paris dans les années vingt, Victor grandit dans un milieu juif communiste, et c'est donc tout naturellement vers le Parti qu'il s'oriente à la fin des années trente, lorsque le monde s'assombrit. Après la déportation de son père vers Auschwitz, Victor rejoint les rangs de la résistance juive des FTP-MOI (Franc-tireurs et partisans main-d'oeuvre immigrée).
Fin de la guerre, Isidore, son père, ne revient pas. Seul avec sa mère, Victor s'essaye à divers petits boulots avant d'arriver dans l'équipe du journal France-Soir dirigé par Pierre Lazareff, où il restera environ vingt ans. A la retraite, Victor s'engage avec beaucoup d'énergie dans la constitution d'une mémoire de la résistance juive, tant en collaborant avec des historiens, qu'en recherchant des informations sur ses copains fusillés, et qu'en créant avec quelques autres une association d'anciens résistants.
La présentation chronologique, reconstituée à partir des témoignages que Victor a livrés aux historiens ou dans la presse, témoignages portés par un regard toujours lucide, et souvent plein d'humour, et une mémoire d'une grande précision, est suivie d'aperçus sur sa vie auprès de sa femme, Léa Stryk, sur son engagement associatif, et sur ses passions, les arts visuels et la musique, notamment.