Population et développement au Burundi
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- Nombre de pages360
- FormatPDF
- ISBN978-2-296-20167-5
- EAN9782296201675
- Date de parution01/09/2008
- Copier Coller01 page(s) autorisée(s)
- Protection num.Digital Watermarking
- Taille14 Mo
- ÉditeurL'Harmattan
- PréfacierAndré Etchelecou
Résumé
Depuis la fin du XIXe siècle, le Burundi a connu des changements dont l'impact démographique se traduit actuellement par une situation explosive. Plus des 9/10e de la population vit dans les campagnes avec un habitat dispersé sur les collines. La quasi totalité des ruraux se consacre aux activités agricoles d'autosubsistance exercées sur de petites exploitations familiales, qui se réduisent de plus en plus.
Le système de succession en vigueur reconnaît le partage égalitaire de l'exploitation familiale entre les fils mariés. La démographie galopante entraîne une croissance des ayants droit à la terre alors que celle-ci ne varie pas. Cette augmentation de la population caractéristique de la première phase de la transition démographique a pour conséquence la croissance des densités rurales et la réduction des superficies cultivables.
Les indices de croissance démographique sont parmi les plus élevés du monde. Le manque de terre entraîne chez les cultivateurs une surexploitation des sols et la dégradation de l'environnement. En conséquence la production diminue et l'économie basée sur l'agriculture se trouve dans l'impasse. Pour contenir cette démographie en hausse, René Manirakiza soutient qu'il est essentiel de définir des politiques de développement humain qui intègrent à la fois des mesures de régulation du peuplement (entre autres pour limiter les naissances) mais aussi un aménagement durable du territoire.
Une diversification des activités dans d'autres secteurs économiques en vue de recevoir les éjectés de l'agriculture est indispensable. Ceci revêt une importance capitale pour sortir le pays de la transition difficile qu'il traverse.
Le système de succession en vigueur reconnaît le partage égalitaire de l'exploitation familiale entre les fils mariés. La démographie galopante entraîne une croissance des ayants droit à la terre alors que celle-ci ne varie pas. Cette augmentation de la population caractéristique de la première phase de la transition démographique a pour conséquence la croissance des densités rurales et la réduction des superficies cultivables.
Les indices de croissance démographique sont parmi les plus élevés du monde. Le manque de terre entraîne chez les cultivateurs une surexploitation des sols et la dégradation de l'environnement. En conséquence la production diminue et l'économie basée sur l'agriculture se trouve dans l'impasse. Pour contenir cette démographie en hausse, René Manirakiza soutient qu'il est essentiel de définir des politiques de développement humain qui intègrent à la fois des mesures de régulation du peuplement (entre autres pour limiter les naissances) mais aussi un aménagement durable du territoire.
Une diversification des activités dans d'autres secteurs économiques en vue de recevoir les éjectés de l'agriculture est indispensable. Ceci revêt une importance capitale pour sortir le pays de la transition difficile qu'il traverse.
Depuis la fin du XIXe siècle, le Burundi a connu des changements dont l'impact démographique se traduit actuellement par une situation explosive. Plus des 9/10e de la population vit dans les campagnes avec un habitat dispersé sur les collines. La quasi totalité des ruraux se consacre aux activités agricoles d'autosubsistance exercées sur de petites exploitations familiales, qui se réduisent de plus en plus.
Le système de succession en vigueur reconnaît le partage égalitaire de l'exploitation familiale entre les fils mariés. La démographie galopante entraîne une croissance des ayants droit à la terre alors que celle-ci ne varie pas. Cette augmentation de la population caractéristique de la première phase de la transition démographique a pour conséquence la croissance des densités rurales et la réduction des superficies cultivables.
Les indices de croissance démographique sont parmi les plus élevés du monde. Le manque de terre entraîne chez les cultivateurs une surexploitation des sols et la dégradation de l'environnement. En conséquence la production diminue et l'économie basée sur l'agriculture se trouve dans l'impasse. Pour contenir cette démographie en hausse, René Manirakiza soutient qu'il est essentiel de définir des politiques de développement humain qui intègrent à la fois des mesures de régulation du peuplement (entre autres pour limiter les naissances) mais aussi un aménagement durable du territoire.
Une diversification des activités dans d'autres secteurs économiques en vue de recevoir les éjectés de l'agriculture est indispensable. Ceci revêt une importance capitale pour sortir le pays de la transition difficile qu'il traverse.
Le système de succession en vigueur reconnaît le partage égalitaire de l'exploitation familiale entre les fils mariés. La démographie galopante entraîne une croissance des ayants droit à la terre alors que celle-ci ne varie pas. Cette augmentation de la population caractéristique de la première phase de la transition démographique a pour conséquence la croissance des densités rurales et la réduction des superficies cultivables.
Les indices de croissance démographique sont parmi les plus élevés du monde. Le manque de terre entraîne chez les cultivateurs une surexploitation des sols et la dégradation de l'environnement. En conséquence la production diminue et l'économie basée sur l'agriculture se trouve dans l'impasse. Pour contenir cette démographie en hausse, René Manirakiza soutient qu'il est essentiel de définir des politiques de développement humain qui intègrent à la fois des mesures de régulation du peuplement (entre autres pour limiter les naissances) mais aussi un aménagement durable du territoire.
Une diversification des activités dans d'autres secteurs économiques en vue de recevoir les éjectés de l'agriculture est indispensable. Ceci revêt une importance capitale pour sortir le pays de la transition difficile qu'il traverse.