Plus vite, plus haut, plus fort. Le père Didon 1840-1900, inspirateur des Jeux Olympiques

Par : Yvon Tranvouez
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  • Nombre de pages356
  • FormatePub
  • ISBN978-2-204-15547-2
  • EAN9782204155472
  • Date de parution25/04/2024
  • Protection num.Adobe DRM
  • Taille7 Mo
  • Infos supplémentairesepub
  • ÉditeurÉditions du Cerf

Résumé

« Plus vite, plus haut, plus fort » : la devise des Jeux olympiques, c'est au père Henri Didon qu'on la doit. Le dominicain l'imagine, en mars 1891, pour l'Association de sports athlétiques qu'il vient de fonder. Le jeune Pierre de Coubertin, qui lui a suggéré cette création, reprend la formule à l'occasion du premier Congrès international olympique réuni à Paris. C'est ainsi que celui qui est un prédicateur renommé va rester dans l'histoire.
Son attention au sport s'inscrit dans la logique d'une vie dominée par la volonté de réconcilier le catholicisme et la société moderne. Libéral, républicain et démocrate, attentif aux nouvelles méthodes d'éducation, curieux de littérature et passionné de science, auteur d'une vie de Jésus qui fut un grand succès de librairie et d'une correspondance avec des femmes modernes et brillantes, le père Didon est le témoin passionnant des mutations et des tensions qui ont ébranlé le catholicisme français dans la deuxième moitié du XIXe siècle. Professeur émérite d'histoire contemporaine à l'Université de Brest, Yvon Tranvouez est membre du Centre de recherche bretonne et celtique.
Auteur de plusieurs ouvrages sur le catholicisme français contemporain, il a publié récemment L'ivresse et le vertige. Vatican II, le moment 68 et la crise catholique.
« Plus vite, plus haut, plus fort » : la devise des Jeux olympiques, c'est au père Henri Didon qu'on la doit. Le dominicain l'imagine, en mars 1891, pour l'Association de sports athlétiques qu'il vient de fonder. Le jeune Pierre de Coubertin, qui lui a suggéré cette création, reprend la formule à l'occasion du premier Congrès international olympique réuni à Paris. C'est ainsi que celui qui est un prédicateur renommé va rester dans l'histoire.
Son attention au sport s'inscrit dans la logique d'une vie dominée par la volonté de réconcilier le catholicisme et la société moderne. Libéral, républicain et démocrate, attentif aux nouvelles méthodes d'éducation, curieux de littérature et passionné de science, auteur d'une vie de Jésus qui fut un grand succès de librairie et d'une correspondance avec des femmes modernes et brillantes, le père Didon est le témoin passionnant des mutations et des tensions qui ont ébranlé le catholicisme français dans la deuxième moitié du XIXe siècle. Professeur émérite d'histoire contemporaine à l'Université de Brest, Yvon Tranvouez est membre du Centre de recherche bretonne et celtique.
Auteur de plusieurs ouvrages sur le catholicisme français contemporain, il a publié récemment L'ivresse et le vertige. Vatican II, le moment 68 et la crise catholique.