Platon, philosophe du plaisir

Par : René Lefebvre

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  • Nombre de pages338
  • FormatPDF
  • ISBN978-2-296-17763-5
  • EAN9782296177635
  • Date de parution01/09/2007
  • Copier Coller01 page(s) autorisée(s)
  • Protection num.Digital Watermarking
  • Taille12 Mo
  • ÉditeurL'Harmattan

Résumé

Platon engage très tôt le dialogue avec les hédonistes, dès le Protagoras, où il donne l'impression sans doute trompeuse de les rejoindre, en anticipant l'utilitarisme moderne de Bentham et de Mill. De façon générale, la réprobation de l'hédonisme est chez lui inconditionnelle, tempérée toutefois, à partir de la République, par la condamnation en vis-à-vis des esprits " subtils " qui identifient souverain bien et pensée.
A l'endroit du plaisir, la position riche et nuancée de Platon connaît une évolution : si le Gorgias et le Phédon le dénigrent à peu près sans réserve, l'introduction de la notion de plaisirs vrais, distingués des plaisirs en trompe-l'oeil, ou l'affirmation de l'existence de rapports étroits entre plaisir et vertu, conduisent à lui réserver une meilleure place dans la vie bonne, ainsi qu'en témoignent le Philèbe et les Lois.
Platon engage très tôt le dialogue avec les hédonistes, dès le Protagoras, où il donne l'impression sans doute trompeuse de les rejoindre, en anticipant l'utilitarisme moderne de Bentham et de Mill. De façon générale, la réprobation de l'hédonisme est chez lui inconditionnelle, tempérée toutefois, à partir de la République, par la condamnation en vis-à-vis des esprits " subtils " qui identifient souverain bien et pensée.
A l'endroit du plaisir, la position riche et nuancée de Platon connaît une évolution : si le Gorgias et le Phédon le dénigrent à peu près sans réserve, l'introduction de la notion de plaisirs vrais, distingués des plaisirs en trompe-l'oeil, ou l'affirmation de l'existence de rapports étroits entre plaisir et vertu, conduisent à lui réserver une meilleure place dans la vie bonne, ainsi qu'en témoignent le Philèbe et les Lois.
Contre les moralistes
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