PLAISIRS/DEPLAISIRS.. Apprendre, connaître, se développer
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- Nombre de pages142
- FormatePub
- ISBN2-402-10468-6
- EAN9782402104685
- Date de parution01/01/1995
- Protection num.Digital Watermarking
- Taille40 Mo
- Infos supplémentairesepub
- ÉditeurFeniXX réédition numérique (Homm...
Résumé
Les sentiments, les émotions, la construction de l'identité s'organisent principalement autour de la polarité plaisirs-déplaisirs. L'émergence, le rythme, l'organisation de la vie psychique lui paraissent liés. Le plaisir partagé étaye l'espace de jeu, la relation intersubjective en construction, l'attente d'une reconnaissance mutuelle à laquelle renvoie le sens premier : plaire, à soi-même, à l'autre.
Le référent sexuel est-il le modèle premier alors que certains opposent le plaisir à la jouissance ? La baisse des tensions reste-t-elle le processus qui conduit au nirvana ou/et faut-il prendre en compte le plaisir de l'excitation ? L'une des conditions essentielles de la lutte contre la maladie ne passe-t-elle pas par la possibilité de s'autoriser à accéder à nouveau au plaisir malgré la souffrance ? Sans céder à une idéologie béate du « tout est plaisir » et en reconnaissant le réel de la souffrance, ne faut-il pas interroger le « masochisme ambiant », qui s'exprime notamment à travers la violence ? Ne renvoie-t-il pas à la faible capacité des individus, voire de notre civilisation à procurer, prendre et partager des plaisirs ? Autant de questions auxquelles les auteurs de cet ouvrage tendent de répondre.
Le référent sexuel est-il le modèle premier alors que certains opposent le plaisir à la jouissance ? La baisse des tensions reste-t-elle le processus qui conduit au nirvana ou/et faut-il prendre en compte le plaisir de l'excitation ? L'une des conditions essentielles de la lutte contre la maladie ne passe-t-elle pas par la possibilité de s'autoriser à accéder à nouveau au plaisir malgré la souffrance ? Sans céder à une idéologie béate du « tout est plaisir » et en reconnaissant le réel de la souffrance, ne faut-il pas interroger le « masochisme ambiant », qui s'exprime notamment à travers la violence ? Ne renvoie-t-il pas à la faible capacité des individus, voire de notre civilisation à procurer, prendre et partager des plaisirs ? Autant de questions auxquelles les auteurs de cet ouvrage tendent de répondre.
Les sentiments, les émotions, la construction de l'identité s'organisent principalement autour de la polarité plaisirs-déplaisirs. L'émergence, le rythme, l'organisation de la vie psychique lui paraissent liés. Le plaisir partagé étaye l'espace de jeu, la relation intersubjective en construction, l'attente d'une reconnaissance mutuelle à laquelle renvoie le sens premier : plaire, à soi-même, à l'autre.
Le référent sexuel est-il le modèle premier alors que certains opposent le plaisir à la jouissance ? La baisse des tensions reste-t-elle le processus qui conduit au nirvana ou/et faut-il prendre en compte le plaisir de l'excitation ? L'une des conditions essentielles de la lutte contre la maladie ne passe-t-elle pas par la possibilité de s'autoriser à accéder à nouveau au plaisir malgré la souffrance ? Sans céder à une idéologie béate du « tout est plaisir » et en reconnaissant le réel de la souffrance, ne faut-il pas interroger le « masochisme ambiant », qui s'exprime notamment à travers la violence ? Ne renvoie-t-il pas à la faible capacité des individus, voire de notre civilisation à procurer, prendre et partager des plaisirs ? Autant de questions auxquelles les auteurs de cet ouvrage tendent de répondre.
Le référent sexuel est-il le modèle premier alors que certains opposent le plaisir à la jouissance ? La baisse des tensions reste-t-elle le processus qui conduit au nirvana ou/et faut-il prendre en compte le plaisir de l'excitation ? L'une des conditions essentielles de la lutte contre la maladie ne passe-t-elle pas par la possibilité de s'autoriser à accéder à nouveau au plaisir malgré la souffrance ? Sans céder à une idéologie béate du « tout est plaisir » et en reconnaissant le réel de la souffrance, ne faut-il pas interroger le « masochisme ambiant », qui s'exprime notamment à travers la violence ? Ne renvoie-t-il pas à la faible capacité des individus, voire de notre civilisation à procurer, prendre et partager des plaisirs ? Autant de questions auxquelles les auteurs de cet ouvrage tendent de répondre.









