Plaisir à Mandiargues
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- Nombre de pages412
- FormatPDF
- ISBN978-2-7056-7210-2
- EAN9782705672102
- Date de parution14/06/2011
- Protection num.Adobe DRM
- Taille8 Mo
- Infos supplémentairespdf
- ÉditeurHermann
Résumé
Prendre plaisir à Mandiargues, c'est s'accorder aux jeux baroques d'un univers où la poésie s'allie aux cortèges floraux et les séductions du trompe-l'oil au théâtre des signes. Et c'est rendre l'hommage sensible qui lui revient à une ouvre secrète où la loi du désir règne en souveraine. Sous la diversité, l'ouvre d'André Pieyre de Mandiargues (1919-1991) révèle une cohésion dont il a formulé le principe : n'écrire qu'en état d'obsession.
De l'Âge de craie à Tout disparaîtra, poèmes, contes, romans, théâtre, critique d'art et entretiens composent un portrait en énigme de l'auteur au miroir de son écriture. Avec l'orgueil d'un peintre de la Renaissance ayant fréquenté l'atelier des plus grands, il dresse la liste de ses maîtres : Shakespeare, les élisabéthains, Dante, Nerval et surtout Baudelaire et Breton, « les grands supérieurs ».
Sa fascination pour le monde minéral et l'osmose entre les règnes, l'alchimie qu'il élabore entre le merveilleux surréaliste et l'érotisme noir, tracent la cartographie de son imaginaire. L'inventaire de sa vaste bibliothèque, ses relations électives avec le mouvement surréaliste comme le Nouveau roman, le dialogue qu'il a entretenu avec ses contemporains capitaux (Michaux, Jouve, Paulhan, Ponge, Ernst, Arp ou Dubuffet) jettent une vive lumière sur sa passion de l'écriture. Prendre plaisir à Mandiargues conduit à glisser de masque en masque, dans un vertige de la métamorphose sans butée ultime.
À l'occasion du centenaire de la naissance du poète, ce volume est dédié à un homme-livre hanté par les pouvoirs magiques du langage, inlassablement attaché à lever les frontières consternantes qui séparent le rêve et la vie, l'amour et la poésie.
De l'Âge de craie à Tout disparaîtra, poèmes, contes, romans, théâtre, critique d'art et entretiens composent un portrait en énigme de l'auteur au miroir de son écriture. Avec l'orgueil d'un peintre de la Renaissance ayant fréquenté l'atelier des plus grands, il dresse la liste de ses maîtres : Shakespeare, les élisabéthains, Dante, Nerval et surtout Baudelaire et Breton, « les grands supérieurs ».
Sa fascination pour le monde minéral et l'osmose entre les règnes, l'alchimie qu'il élabore entre le merveilleux surréaliste et l'érotisme noir, tracent la cartographie de son imaginaire. L'inventaire de sa vaste bibliothèque, ses relations électives avec le mouvement surréaliste comme le Nouveau roman, le dialogue qu'il a entretenu avec ses contemporains capitaux (Michaux, Jouve, Paulhan, Ponge, Ernst, Arp ou Dubuffet) jettent une vive lumière sur sa passion de l'écriture. Prendre plaisir à Mandiargues conduit à glisser de masque en masque, dans un vertige de la métamorphose sans butée ultime.
À l'occasion du centenaire de la naissance du poète, ce volume est dédié à un homme-livre hanté par les pouvoirs magiques du langage, inlassablement attaché à lever les frontières consternantes qui séparent le rêve et la vie, l'amour et la poésie.
Prendre plaisir à Mandiargues, c'est s'accorder aux jeux baroques d'un univers où la poésie s'allie aux cortèges floraux et les séductions du trompe-l'oil au théâtre des signes. Et c'est rendre l'hommage sensible qui lui revient à une ouvre secrète où la loi du désir règne en souveraine. Sous la diversité, l'ouvre d'André Pieyre de Mandiargues (1919-1991) révèle une cohésion dont il a formulé le principe : n'écrire qu'en état d'obsession.
De l'Âge de craie à Tout disparaîtra, poèmes, contes, romans, théâtre, critique d'art et entretiens composent un portrait en énigme de l'auteur au miroir de son écriture. Avec l'orgueil d'un peintre de la Renaissance ayant fréquenté l'atelier des plus grands, il dresse la liste de ses maîtres : Shakespeare, les élisabéthains, Dante, Nerval et surtout Baudelaire et Breton, « les grands supérieurs ».
Sa fascination pour le monde minéral et l'osmose entre les règnes, l'alchimie qu'il élabore entre le merveilleux surréaliste et l'érotisme noir, tracent la cartographie de son imaginaire. L'inventaire de sa vaste bibliothèque, ses relations électives avec le mouvement surréaliste comme le Nouveau roman, le dialogue qu'il a entretenu avec ses contemporains capitaux (Michaux, Jouve, Paulhan, Ponge, Ernst, Arp ou Dubuffet) jettent une vive lumière sur sa passion de l'écriture. Prendre plaisir à Mandiargues conduit à glisser de masque en masque, dans un vertige de la métamorphose sans butée ultime.
À l'occasion du centenaire de la naissance du poète, ce volume est dédié à un homme-livre hanté par les pouvoirs magiques du langage, inlassablement attaché à lever les frontières consternantes qui séparent le rêve et la vie, l'amour et la poésie.
De l'Âge de craie à Tout disparaîtra, poèmes, contes, romans, théâtre, critique d'art et entretiens composent un portrait en énigme de l'auteur au miroir de son écriture. Avec l'orgueil d'un peintre de la Renaissance ayant fréquenté l'atelier des plus grands, il dresse la liste de ses maîtres : Shakespeare, les élisabéthains, Dante, Nerval et surtout Baudelaire et Breton, « les grands supérieurs ».
Sa fascination pour le monde minéral et l'osmose entre les règnes, l'alchimie qu'il élabore entre le merveilleux surréaliste et l'érotisme noir, tracent la cartographie de son imaginaire. L'inventaire de sa vaste bibliothèque, ses relations électives avec le mouvement surréaliste comme le Nouveau roman, le dialogue qu'il a entretenu avec ses contemporains capitaux (Michaux, Jouve, Paulhan, Ponge, Ernst, Arp ou Dubuffet) jettent une vive lumière sur sa passion de l'écriture. Prendre plaisir à Mandiargues conduit à glisser de masque en masque, dans un vertige de la métamorphose sans butée ultime.
À l'occasion du centenaire de la naissance du poète, ce volume est dédié à un homme-livre hanté par les pouvoirs magiques du langage, inlassablement attaché à lever les frontières consternantes qui séparent le rêve et la vie, l'amour et la poésie.