Pierre-Marie Gerlier, le cardinal militant
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- Nombre de pages474
- FormatePub
- ISBN978-2-220-07891-5
- EAN9782220078915
- Date de parution07/12/2015
- Copier CollerNon Autorisé
- Protection num.Adobe & CARE
- Taille853 Ko
- Infos supplémentairesepub
- ÉditeurDesclée de Brouwer
Résumé
Le 19 novembre 1940, le cardinal Gerlier recevait le maréchal Pétain en la primatiale Saint-Jean de Lyon. Il lança publiquement : « Pétain, c'est la France et la France aujourd'hui, c'est Pétain » ! L'historiographie a abondamment commenté cette phrase qui a inscrit son auteur parmi les soutiens au régime de Vichy et à son chef. Comprendre pourquoi ces mots furent prononcés en retraçant l'itinéraire de Pierre-Marie Gerlier, tel est l'objectif de la première partie de cette biographie qui retrace sa vie au coeur des grands mouvements qui animèrent le catholicisme de la première moitié du xxe siècle.
Catholique social dans le sillage de Rerum Novarum, président de l'Association catholique de la Jeunesse française, combattant de la Grande Guerre, prêtre à Paris à la naissance de la Jeunesse ouvrière chrétienne, évêque de Tarbes et Lourdes aux temps des grandes manifestations publiques du catholicisme sous Pie xI, et enfin archevêque de Lyon, seul cardinal en zone libre pendant la guerre, il fut l'auteur d'une des rares protestations publiques contre la déportation des juifs.
Aprèsguerre, en première ligne dans l'affaire Finaly, dans celle des prêtres-ouvriers et en soutien aux théologiens d'avant-garde comme aux pionniers de l'oecuménisme, il compta parmi ceux qui dénoncèrent la torture pendant la guerre d'Algérie. Par-delà la césure de la Seconde Guerre mondiale, cette longue vie fut celle d'un militant, orateur infatigable au service de l'Église catholique et de ses forces vives.
Catholique social dans le sillage de Rerum Novarum, président de l'Association catholique de la Jeunesse française, combattant de la Grande Guerre, prêtre à Paris à la naissance de la Jeunesse ouvrière chrétienne, évêque de Tarbes et Lourdes aux temps des grandes manifestations publiques du catholicisme sous Pie xI, et enfin archevêque de Lyon, seul cardinal en zone libre pendant la guerre, il fut l'auteur d'une des rares protestations publiques contre la déportation des juifs.
Aprèsguerre, en première ligne dans l'affaire Finaly, dans celle des prêtres-ouvriers et en soutien aux théologiens d'avant-garde comme aux pionniers de l'oecuménisme, il compta parmi ceux qui dénoncèrent la torture pendant la guerre d'Algérie. Par-delà la césure de la Seconde Guerre mondiale, cette longue vie fut celle d'un militant, orateur infatigable au service de l'Église catholique et de ses forces vives.
Le 19 novembre 1940, le cardinal Gerlier recevait le maréchal Pétain en la primatiale Saint-Jean de Lyon. Il lança publiquement : « Pétain, c'est la France et la France aujourd'hui, c'est Pétain » ! L'historiographie a abondamment commenté cette phrase qui a inscrit son auteur parmi les soutiens au régime de Vichy et à son chef. Comprendre pourquoi ces mots furent prononcés en retraçant l'itinéraire de Pierre-Marie Gerlier, tel est l'objectif de la première partie de cette biographie qui retrace sa vie au coeur des grands mouvements qui animèrent le catholicisme de la première moitié du xxe siècle.
Catholique social dans le sillage de Rerum Novarum, président de l'Association catholique de la Jeunesse française, combattant de la Grande Guerre, prêtre à Paris à la naissance de la Jeunesse ouvrière chrétienne, évêque de Tarbes et Lourdes aux temps des grandes manifestations publiques du catholicisme sous Pie xI, et enfin archevêque de Lyon, seul cardinal en zone libre pendant la guerre, il fut l'auteur d'une des rares protestations publiques contre la déportation des juifs.
Aprèsguerre, en première ligne dans l'affaire Finaly, dans celle des prêtres-ouvriers et en soutien aux théologiens d'avant-garde comme aux pionniers de l'oecuménisme, il compta parmi ceux qui dénoncèrent la torture pendant la guerre d'Algérie. Par-delà la césure de la Seconde Guerre mondiale, cette longue vie fut celle d'un militant, orateur infatigable au service de l'Église catholique et de ses forces vives.
Catholique social dans le sillage de Rerum Novarum, président de l'Association catholique de la Jeunesse française, combattant de la Grande Guerre, prêtre à Paris à la naissance de la Jeunesse ouvrière chrétienne, évêque de Tarbes et Lourdes aux temps des grandes manifestations publiques du catholicisme sous Pie xI, et enfin archevêque de Lyon, seul cardinal en zone libre pendant la guerre, il fut l'auteur d'une des rares protestations publiques contre la déportation des juifs.
Aprèsguerre, en première ligne dans l'affaire Finaly, dans celle des prêtres-ouvriers et en soutien aux théologiens d'avant-garde comme aux pionniers de l'oecuménisme, il compta parmi ceux qui dénoncèrent la torture pendant la guerre d'Algérie. Par-delà la césure de la Seconde Guerre mondiale, cette longue vie fut celle d'un militant, orateur infatigable au service de l'Église catholique et de ses forces vives.