Phobies Sociales Au Japon. Timidite Et Angoisse De L'Autre
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- Nombre de pages222
- FormatePub
- ISBN2-402-11191-7
- EAN9782402111911
- Date de parution31/12/1997
- Protection num.Digital Watermarking
- Taille1 Mo
- Infos supplémentairesepub
- ÉditeurFeniXX réédition numérique (ESF ...
Résumé
Le refus en Occident de toute culpabilité a déresponsabilisé l'individu face à sa dignité humaine. La confusion des valeurs qui caractérise nos temps modernes a fait resurgir en amont les vieux démons de l'angoisse (des troubles paniques au cortège des phobies) et en aval des conduites « absurdes » liées à la violence. Le peuple japonais n'échappe pas non plus à ce questionnement de « l'absence du sens ».
Mais c'est d'abord dans la relation à son semblable que cette angoisse existentielle s'exprime. L'importance des phobies sociales au Japon révèle que la peur du contact humain a longuement interrogé les Japonais sur les rapports entre l'identité et l'altérité. Le présent ouvrage retrace le versant psychopathologique de cette problématique à partir d'une étude en milieu nippon. On pourra constater la cohérence du syndrome anthropophobique en lui-même mais aussi les nombreux contrastes, sur le plan dynamique, entre les phobies sociales japonaises et leurs homologues occidentales.
Les études comparées dans le champ de la pathologie mentale montreront sans doute un jour que, du point de vue transculturel, le « jeu des variations possibles » se fonde d'abord sur l'individu puisqu'il est la seule « unité vivante » à pouvoir rendre compte de tous les niveaux (anthropologique, culturel, familial, personnel, etc.) qui le traversent.
Mais c'est d'abord dans la relation à son semblable que cette angoisse existentielle s'exprime. L'importance des phobies sociales au Japon révèle que la peur du contact humain a longuement interrogé les Japonais sur les rapports entre l'identité et l'altérité. Le présent ouvrage retrace le versant psychopathologique de cette problématique à partir d'une étude en milieu nippon. On pourra constater la cohérence du syndrome anthropophobique en lui-même mais aussi les nombreux contrastes, sur le plan dynamique, entre les phobies sociales japonaises et leurs homologues occidentales.
Les études comparées dans le champ de la pathologie mentale montreront sans doute un jour que, du point de vue transculturel, le « jeu des variations possibles » se fonde d'abord sur l'individu puisqu'il est la seule « unité vivante » à pouvoir rendre compte de tous les niveaux (anthropologique, culturel, familial, personnel, etc.) qui le traversent.
Le refus en Occident de toute culpabilité a déresponsabilisé l'individu face à sa dignité humaine. La confusion des valeurs qui caractérise nos temps modernes a fait resurgir en amont les vieux démons de l'angoisse (des troubles paniques au cortège des phobies) et en aval des conduites « absurdes » liées à la violence. Le peuple japonais n'échappe pas non plus à ce questionnement de « l'absence du sens ».
Mais c'est d'abord dans la relation à son semblable que cette angoisse existentielle s'exprime. L'importance des phobies sociales au Japon révèle que la peur du contact humain a longuement interrogé les Japonais sur les rapports entre l'identité et l'altérité. Le présent ouvrage retrace le versant psychopathologique de cette problématique à partir d'une étude en milieu nippon. On pourra constater la cohérence du syndrome anthropophobique en lui-même mais aussi les nombreux contrastes, sur le plan dynamique, entre les phobies sociales japonaises et leurs homologues occidentales.
Les études comparées dans le champ de la pathologie mentale montreront sans doute un jour que, du point de vue transculturel, le « jeu des variations possibles » se fonde d'abord sur l'individu puisqu'il est la seule « unité vivante » à pouvoir rendre compte de tous les niveaux (anthropologique, culturel, familial, personnel, etc.) qui le traversent.
Mais c'est d'abord dans la relation à son semblable que cette angoisse existentielle s'exprime. L'importance des phobies sociales au Japon révèle que la peur du contact humain a longuement interrogé les Japonais sur les rapports entre l'identité et l'altérité. Le présent ouvrage retrace le versant psychopathologique de cette problématique à partir d'une étude en milieu nippon. On pourra constater la cohérence du syndrome anthropophobique en lui-même mais aussi les nombreux contrastes, sur le plan dynamique, entre les phobies sociales japonaises et leurs homologues occidentales.
Les études comparées dans le champ de la pathologie mentale montreront sans doute un jour que, du point de vue transculturel, le « jeu des variations possibles » se fonde d'abord sur l'individu puisqu'il est la seule « unité vivante » à pouvoir rendre compte de tous les niveaux (anthropologique, culturel, familial, personnel, etc.) qui le traversent.