Philosophie politique et ontologie. Tome 1, Remarques sur la fonction de l'ontologie dans la construction de la pensée politique
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- Nombre de pages362
- FormatPDF
- ISBN2-296-14385-7
- EAN9782296143852
- Date de parution01/03/2006
- Copier Coller01 page(s) autorisée(s)
- Protection num.Digital Watermarking
- Taille14 Mo
- ÉditeurL'Harmattan
Résumé
L'objet de cet essai consiste à réexaminer les concepts centraux de la pensée politique comme le droit naturel, l'état de nature, la loi ou l'Etat... à la lumière des thèses métaphysiques qui les sous-tendent ou les légitiment (la représentation du monde et la compréhension de la réalité, la conception de la liberté et du bien...). Dans le premier tome, ces analyses sont effectuées à partir de la pensée antique avec Platon et Aristote, en passant par la période de la Renaissance avec Suarez et la pensée moderne classique avec Hobbes
et Spinoza, puis dans le second volume avec Rousseau et Kant.
Il s'agit de se demander ce que peut être une histoire politique de l'ontologie, c'est-à-dire de questionner l'interdépendance entre l'objet de l'ontologie (l'étant) et l'objet du politique (l'être-en-commun) afin de montrer en quoi les crises des différentes figures que peut prendre l'ontologie, constituent des crises effectivement rénovatrices de la théorie politique. Le point de départ d'une telle articulation a été dégagé en considération de la double orientation du Logos dans l'avènement de la philosophie vers une exigence de détermination de ce qui est et vers l'exposition d'un nouveau mode d'être-en-commun : la citoyenneté.
A partir de ce moment fondateur, il convenait de montrer à quelles conditions la philosophie politique, à certaines époques, nous fournit des clés pour comprendre l'histoire de l'ontologie, et d'expliciter comment cette dernière, en retour, requiert que l'on prenne également en compte son emprise sur l'élaboration de notre appréhension du politique.
Il s'agit de se demander ce que peut être une histoire politique de l'ontologie, c'est-à-dire de questionner l'interdépendance entre l'objet de l'ontologie (l'étant) et l'objet du politique (l'être-en-commun) afin de montrer en quoi les crises des différentes figures que peut prendre l'ontologie, constituent des crises effectivement rénovatrices de la théorie politique. Le point de départ d'une telle articulation a été dégagé en considération de la double orientation du Logos dans l'avènement de la philosophie vers une exigence de détermination de ce qui est et vers l'exposition d'un nouveau mode d'être-en-commun : la citoyenneté.
A partir de ce moment fondateur, il convenait de montrer à quelles conditions la philosophie politique, à certaines époques, nous fournit des clés pour comprendre l'histoire de l'ontologie, et d'expliciter comment cette dernière, en retour, requiert que l'on prenne également en compte son emprise sur l'élaboration de notre appréhension du politique.
L'objet de cet essai consiste à réexaminer les concepts centraux de la pensée politique comme le droit naturel, l'état de nature, la loi ou l'Etat... à la lumière des thèses métaphysiques qui les sous-tendent ou les légitiment (la représentation du monde et la compréhension de la réalité, la conception de la liberté et du bien...). Dans le premier tome, ces analyses sont effectuées à partir de la pensée antique avec Platon et Aristote, en passant par la période de la Renaissance avec Suarez et la pensée moderne classique avec Hobbes
et Spinoza, puis dans le second volume avec Rousseau et Kant.
Il s'agit de se demander ce que peut être une histoire politique de l'ontologie, c'est-à-dire de questionner l'interdépendance entre l'objet de l'ontologie (l'étant) et l'objet du politique (l'être-en-commun) afin de montrer en quoi les crises des différentes figures que peut prendre l'ontologie, constituent des crises effectivement rénovatrices de la théorie politique. Le point de départ d'une telle articulation a été dégagé en considération de la double orientation du Logos dans l'avènement de la philosophie vers une exigence de détermination de ce qui est et vers l'exposition d'un nouveau mode d'être-en-commun : la citoyenneté.
A partir de ce moment fondateur, il convenait de montrer à quelles conditions la philosophie politique, à certaines époques, nous fournit des clés pour comprendre l'histoire de l'ontologie, et d'expliciter comment cette dernière, en retour, requiert que l'on prenne également en compte son emprise sur l'élaboration de notre appréhension du politique.
Il s'agit de se demander ce que peut être une histoire politique de l'ontologie, c'est-à-dire de questionner l'interdépendance entre l'objet de l'ontologie (l'étant) et l'objet du politique (l'être-en-commun) afin de montrer en quoi les crises des différentes figures que peut prendre l'ontologie, constituent des crises effectivement rénovatrices de la théorie politique. Le point de départ d'une telle articulation a été dégagé en considération de la double orientation du Logos dans l'avènement de la philosophie vers une exigence de détermination de ce qui est et vers l'exposition d'un nouveau mode d'être-en-commun : la citoyenneté.
A partir de ce moment fondateur, il convenait de montrer à quelles conditions la philosophie politique, à certaines époques, nous fournit des clés pour comprendre l'histoire de l'ontologie, et d'expliciter comment cette dernière, en retour, requiert que l'on prenne également en compte son emprise sur l'élaboration de notre appréhension du politique.