Philosophie et mystique chez Stanislas Breton. Colloque de Cerisy-la-Salle (aout 2011)
Par : , ,Formats :
Actuellement indisponible
Cet article est actuellement indisponible, il ne peut pas être commandé sur notre site pour le moment. Nous vous invitons à vous inscrire à l'alerte disponibilité, vous recevrez un e-mail dès que cet ouvrage sera à nouveau disponible.
Disponible dans votre compte client Decitre ou Furet du Nord dès validation de votre commande. Le format ePub est :
- Compatible avec une lecture sur My Vivlio (smartphone, tablette, ordinateur)
- Compatible avec une lecture sur liseuses Vivlio
- Pour les liseuses autres que Vivlio, vous devez utiliser le logiciel Adobe Digital Edition. Non compatible avec la lecture sur les liseuses Kindle, Remarkable et Sony

Notre partenaire de plateforme de lecture numérique où vous retrouverez l'ensemble de vos ebooks gratuitement
Pour en savoir plus sur nos ebooks, consultez notre aide en ligne ici
- Nombre de pages384
- FormatePub
- ISBN978-2-204-12382-2
- EAN9782204123822
- Date de parution12/05/2017
- Copier CollerNon Autorisé
- Protection num.NC
- ÉditeurEditions du Cerf
Résumé
Stanislas Breton (1912-2005) entre à 15 ans dans la congrégation des Passionnistes où il étudie la théologie et la philosophie. À partir de 1948 il enseigne à Rome puis dans les Instituts catholiques de Lyon et Paris. En 1965, il fait la connaissance de Louis Althusser qui lui confie un cours à l'École normale supérieure jusqu'en 1972. Il est l'auteur d'une oeuvre considérable, à la fois rigoureuse et poétique, reconnue internationalement, qui croise notamment le néoplatonisme, Spinoza et le bouddhisme de l'École de Kyoto.
Son oeuvre est singulière, tout autant par le détail de ce qu'elle avance que par le rassemblement de ses thèses et le croisement de ses questions. « La théologie est une science, mais en même temps combien est-ce de sciences ? », demandait en son temps Pascal. La même question vaudrait pour la mystique : combien de chemins pour le transit de l'âme ? Et bien sur pour la philosophie : combien d'approches (métaphysiques, phénoménologiques, politiques) de l'idée d'être ou d'être au monde ? L'espace de la pensée est celui d'une diversité de chemins et de thèses qui pourtant n'est pas dispersion.
Le montrer suppose de faire se rencontrer le lointain et le proche, que nous les déclinions selon l'espace (l'Occident et son ailleurs qu'est l'Orient) ou selon le temps (le contemporain et son passé grec, ou néoplatonicien). Comme il suppose aussi de rapprocher la logique et ce qui excède notre logos, et ainsi exposer la philosophie aux ressources de la mystique.
Son oeuvre est singulière, tout autant par le détail de ce qu'elle avance que par le rassemblement de ses thèses et le croisement de ses questions. « La théologie est une science, mais en même temps combien est-ce de sciences ? », demandait en son temps Pascal. La même question vaudrait pour la mystique : combien de chemins pour le transit de l'âme ? Et bien sur pour la philosophie : combien d'approches (métaphysiques, phénoménologiques, politiques) de l'idée d'être ou d'être au monde ? L'espace de la pensée est celui d'une diversité de chemins et de thèses qui pourtant n'est pas dispersion.
Le montrer suppose de faire se rencontrer le lointain et le proche, que nous les déclinions selon l'espace (l'Occident et son ailleurs qu'est l'Orient) ou selon le temps (le contemporain et son passé grec, ou néoplatonicien). Comme il suppose aussi de rapprocher la logique et ce qui excède notre logos, et ainsi exposer la philosophie aux ressources de la mystique.
Stanislas Breton (1912-2005) entre à 15 ans dans la congrégation des Passionnistes où il étudie la théologie et la philosophie. À partir de 1948 il enseigne à Rome puis dans les Instituts catholiques de Lyon et Paris. En 1965, il fait la connaissance de Louis Althusser qui lui confie un cours à l'École normale supérieure jusqu'en 1972. Il est l'auteur d'une oeuvre considérable, à la fois rigoureuse et poétique, reconnue internationalement, qui croise notamment le néoplatonisme, Spinoza et le bouddhisme de l'École de Kyoto.
Son oeuvre est singulière, tout autant par le détail de ce qu'elle avance que par le rassemblement de ses thèses et le croisement de ses questions. « La théologie est une science, mais en même temps combien est-ce de sciences ? », demandait en son temps Pascal. La même question vaudrait pour la mystique : combien de chemins pour le transit de l'âme ? Et bien sur pour la philosophie : combien d'approches (métaphysiques, phénoménologiques, politiques) de l'idée d'être ou d'être au monde ? L'espace de la pensée est celui d'une diversité de chemins et de thèses qui pourtant n'est pas dispersion.
Le montrer suppose de faire se rencontrer le lointain et le proche, que nous les déclinions selon l'espace (l'Occident et son ailleurs qu'est l'Orient) ou selon le temps (le contemporain et son passé grec, ou néoplatonicien). Comme il suppose aussi de rapprocher la logique et ce qui excède notre logos, et ainsi exposer la philosophie aux ressources de la mystique.
Son oeuvre est singulière, tout autant par le détail de ce qu'elle avance que par le rassemblement de ses thèses et le croisement de ses questions. « La théologie est une science, mais en même temps combien est-ce de sciences ? », demandait en son temps Pascal. La même question vaudrait pour la mystique : combien de chemins pour le transit de l'âme ? Et bien sur pour la philosophie : combien d'approches (métaphysiques, phénoménologiques, politiques) de l'idée d'être ou d'être au monde ? L'espace de la pensée est celui d'une diversité de chemins et de thèses qui pourtant n'est pas dispersion.
Le montrer suppose de faire se rencontrer le lointain et le proche, que nous les déclinions selon l'espace (l'Occident et son ailleurs qu'est l'Orient) ou selon le temps (le contemporain et son passé grec, ou néoplatonicien). Comme il suppose aussi de rapprocher la logique et ce qui excède notre logos, et ainsi exposer la philosophie aux ressources de la mystique.