Philosophie biosymbolique et représentation du réel
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- Nombre de pages292
- FormatPDF
- ISBN2-296-29971-7
- EAN9782296299719
- Date de parution01/01/2002
- Copier Coller01 page(s) autorisée(s)
- Protection num.Digital Watermarking
- Taille10 Mo
- ÉditeurL'Harmattan
Résumé
Si les progrès effectués en psychologie expérimentale, psychophysiologie et neurophysiologie de la perception, ainsi qu'en paléontologie anthropologique sur les rapports étroits entre la parole, le geste et l'image permettent de mieux comprendre la continuité entre nature et culture - et les discontinuités qu'elle implique - tout le problème est d'en proposer une théorie globale qui n'écrase pas les différences de registre, les diversités locales et les propriétés spécifiques à chaque niveau de réalité.
Ce qui se dessine à travers cette description et cette réflexion d'ensemble, c'est une théorie générale de l'histoire des pratiques et des savoirs, c'est-à-dire de la culture, comme histoire de la représentation, de la symbolisation et de la communication des formes dynamiques à la fois naturelles, techniques et symboliques. L'enjeu est double : la compréhension globale de l'homme et de la réalité, si tant est que toute connaissance est inséparable de la représentation et de son objet.
Pour réaliser cette double finalité, il est apparu nécessaire de tester la résistance du réel à deux types de réduction, " par le bas " et " par le haut " : mécaniste et idéaliste. En ressort une thèse, que les précédents ouvrages de l'auteur ont permis d'étayer et dont ce texte présente la forme la plus unifiée : la relation dynamique, évolutive et historique entre formes et représentations constitue la clé d'une compréhension globale à la fois de l'humain et de la réalité. Mais l'enjeu est ici davantage anthropologique qu'ontologique tenter d'éclairer la relation entre évolution biologique, hominisation et humanisation nous ouvre à une philosophie biosymbolique de l'humain.
L'effort d'unification qui est mis en œuvre vise à favoriser la communication interdisciplinaire et interrégionale, mais aussi à penser l'unité en devenir de l'homme. Enfin, cet effort ouvre à une éthique, voire une " médecine " des compensations et de la création, dès lors que l'évolution individuelle et le progrès collectif sont producteurs de troubles, mais que ces troubles sont intégrés à une nouvelle économie dynamique et transformationnelle.
Ce qui se dessine à travers cette description et cette réflexion d'ensemble, c'est une théorie générale de l'histoire des pratiques et des savoirs, c'est-à-dire de la culture, comme histoire de la représentation, de la symbolisation et de la communication des formes dynamiques à la fois naturelles, techniques et symboliques. L'enjeu est double : la compréhension globale de l'homme et de la réalité, si tant est que toute connaissance est inséparable de la représentation et de son objet.
Pour réaliser cette double finalité, il est apparu nécessaire de tester la résistance du réel à deux types de réduction, " par le bas " et " par le haut " : mécaniste et idéaliste. En ressort une thèse, que les précédents ouvrages de l'auteur ont permis d'étayer et dont ce texte présente la forme la plus unifiée : la relation dynamique, évolutive et historique entre formes et représentations constitue la clé d'une compréhension globale à la fois de l'humain et de la réalité. Mais l'enjeu est ici davantage anthropologique qu'ontologique tenter d'éclairer la relation entre évolution biologique, hominisation et humanisation nous ouvre à une philosophie biosymbolique de l'humain.
L'effort d'unification qui est mis en œuvre vise à favoriser la communication interdisciplinaire et interrégionale, mais aussi à penser l'unité en devenir de l'homme. Enfin, cet effort ouvre à une éthique, voire une " médecine " des compensations et de la création, dès lors que l'évolution individuelle et le progrès collectif sont producteurs de troubles, mais que ces troubles sont intégrés à une nouvelle économie dynamique et transformationnelle.
Si les progrès effectués en psychologie expérimentale, psychophysiologie et neurophysiologie de la perception, ainsi qu'en paléontologie anthropologique sur les rapports étroits entre la parole, le geste et l'image permettent de mieux comprendre la continuité entre nature et culture - et les discontinuités qu'elle implique - tout le problème est d'en proposer une théorie globale qui n'écrase pas les différences de registre, les diversités locales et les propriétés spécifiques à chaque niveau de réalité.
Ce qui se dessine à travers cette description et cette réflexion d'ensemble, c'est une théorie générale de l'histoire des pratiques et des savoirs, c'est-à-dire de la culture, comme histoire de la représentation, de la symbolisation et de la communication des formes dynamiques à la fois naturelles, techniques et symboliques. L'enjeu est double : la compréhension globale de l'homme et de la réalité, si tant est que toute connaissance est inséparable de la représentation et de son objet.
Pour réaliser cette double finalité, il est apparu nécessaire de tester la résistance du réel à deux types de réduction, " par le bas " et " par le haut " : mécaniste et idéaliste. En ressort une thèse, que les précédents ouvrages de l'auteur ont permis d'étayer et dont ce texte présente la forme la plus unifiée : la relation dynamique, évolutive et historique entre formes et représentations constitue la clé d'une compréhension globale à la fois de l'humain et de la réalité. Mais l'enjeu est ici davantage anthropologique qu'ontologique tenter d'éclairer la relation entre évolution biologique, hominisation et humanisation nous ouvre à une philosophie biosymbolique de l'humain.
L'effort d'unification qui est mis en œuvre vise à favoriser la communication interdisciplinaire et interrégionale, mais aussi à penser l'unité en devenir de l'homme. Enfin, cet effort ouvre à une éthique, voire une " médecine " des compensations et de la création, dès lors que l'évolution individuelle et le progrès collectif sont producteurs de troubles, mais que ces troubles sont intégrés à une nouvelle économie dynamique et transformationnelle.
Ce qui se dessine à travers cette description et cette réflexion d'ensemble, c'est une théorie générale de l'histoire des pratiques et des savoirs, c'est-à-dire de la culture, comme histoire de la représentation, de la symbolisation et de la communication des formes dynamiques à la fois naturelles, techniques et symboliques. L'enjeu est double : la compréhension globale de l'homme et de la réalité, si tant est que toute connaissance est inséparable de la représentation et de son objet.
Pour réaliser cette double finalité, il est apparu nécessaire de tester la résistance du réel à deux types de réduction, " par le bas " et " par le haut " : mécaniste et idéaliste. En ressort une thèse, que les précédents ouvrages de l'auteur ont permis d'étayer et dont ce texte présente la forme la plus unifiée : la relation dynamique, évolutive et historique entre formes et représentations constitue la clé d'une compréhension globale à la fois de l'humain et de la réalité. Mais l'enjeu est ici davantage anthropologique qu'ontologique tenter d'éclairer la relation entre évolution biologique, hominisation et humanisation nous ouvre à une philosophie biosymbolique de l'humain.
L'effort d'unification qui est mis en œuvre vise à favoriser la communication interdisciplinaire et interrégionale, mais aussi à penser l'unité en devenir de l'homme. Enfin, cet effort ouvre à une éthique, voire une " médecine " des compensations et de la création, dès lors que l'évolution individuelle et le progrès collectif sont producteurs de troubles, mais que ces troubles sont intégrés à une nouvelle économie dynamique et transformationnelle.