Philibert de Chalon, Prince d'Orange
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- Nombre de pages288
- FormatePub
- ISBN2-246-66899-9
- EAN9782246668992
- Date de parution02/11/2005
- Copier CollerNon Autorisé
- Protection num.Adobe & CARE
- Taille2 Mo
- Infos supplémentairesepub
- ÉditeurGrasset
Résumé
« C'est vers l'an 1000 qu'apparaît pour la première fois dans l'Histoire la lignée des comtes de Bourgogne. C'est en 1530 qu'elle s'éteint, après cinq siècles, avec Philibert de Chalon, prince d'Orange.
Philibert de Chalon est une figure de légende. Franc-comtois, il naît à Lons le Saunier en mars 1502 et meurt au combat en août 1530, à vingt-huit ans, alors qu'il conduit la guerre en Italie pour Charles-Quint.
En quatre ans d'une chevauchée infernale, remplaçant le connétable de Bourbon tombé sous les murs de Rome, il se rend maître de l'Italie et permet le couronnement à Bologne de l'empereur par le Pape Clément VII. A moins de trente ans, il prend Rome, bat l'armée française, conquiert le royaume de Naples, soumet la République de Florence, rétablit le pouvoir des Médicis sur la Toscane. Ce grand capitaine vit dans un monde que Michelet appelle « un carnaval de la mort ».
Il est emporté par le sac de Rome qu'il ne peut empêcher. Il affronte la peste à Rome, Naples et Florence. Il rencontre l'horreur et la contagion, l'égoïsme et la lâcheté des hommes abandonnés à eux-mêmes. Il s'oppose au Pape qui se comporte en chef de clan des Médicis. Je suis entré dans sa vie, je l'ai suivi dans ses campagnes. J'ai découvert un être profondément humain. J'aime sa devise : « Je maintiendrai ».
Je maintiendrai un nom, un titre, un héritage ; plus encore, un état d'esprit, une façon de se tenir dans la vie, de rire aussi et, le moment venu, d'affronter la mort. » J. P. S.
En quatre ans d'une chevauchée infernale, remplaçant le connétable de Bourbon tombé sous les murs de Rome, il se rend maître de l'Italie et permet le couronnement à Bologne de l'empereur par le Pape Clément VII. A moins de trente ans, il prend Rome, bat l'armée française, conquiert le royaume de Naples, soumet la République de Florence, rétablit le pouvoir des Médicis sur la Toscane. Ce grand capitaine vit dans un monde que Michelet appelle « un carnaval de la mort ».
Il est emporté par le sac de Rome qu'il ne peut empêcher. Il affronte la peste à Rome, Naples et Florence. Il rencontre l'horreur et la contagion, l'égoïsme et la lâcheté des hommes abandonnés à eux-mêmes. Il s'oppose au Pape qui se comporte en chef de clan des Médicis. Je suis entré dans sa vie, je l'ai suivi dans ses campagnes. J'ai découvert un être profondément humain. J'aime sa devise : « Je maintiendrai ».
Je maintiendrai un nom, un titre, un héritage ; plus encore, un état d'esprit, une façon de se tenir dans la vie, de rire aussi et, le moment venu, d'affronter la mort. » J. P. S.
« C'est vers l'an 1000 qu'apparaît pour la première fois dans l'Histoire la lignée des comtes de Bourgogne. C'est en 1530 qu'elle s'éteint, après cinq siècles, avec Philibert de Chalon, prince d'Orange.
Philibert de Chalon est une figure de légende. Franc-comtois, il naît à Lons le Saunier en mars 1502 et meurt au combat en août 1530, à vingt-huit ans, alors qu'il conduit la guerre en Italie pour Charles-Quint.
En quatre ans d'une chevauchée infernale, remplaçant le connétable de Bourbon tombé sous les murs de Rome, il se rend maître de l'Italie et permet le couronnement à Bologne de l'empereur par le Pape Clément VII. A moins de trente ans, il prend Rome, bat l'armée française, conquiert le royaume de Naples, soumet la République de Florence, rétablit le pouvoir des Médicis sur la Toscane. Ce grand capitaine vit dans un monde que Michelet appelle « un carnaval de la mort ».
Il est emporté par le sac de Rome qu'il ne peut empêcher. Il affronte la peste à Rome, Naples et Florence. Il rencontre l'horreur et la contagion, l'égoïsme et la lâcheté des hommes abandonnés à eux-mêmes. Il s'oppose au Pape qui se comporte en chef de clan des Médicis. Je suis entré dans sa vie, je l'ai suivi dans ses campagnes. J'ai découvert un être profondément humain. J'aime sa devise : « Je maintiendrai ».
Je maintiendrai un nom, un titre, un héritage ; plus encore, un état d'esprit, une façon de se tenir dans la vie, de rire aussi et, le moment venu, d'affronter la mort. » J. P. S.
En quatre ans d'une chevauchée infernale, remplaçant le connétable de Bourbon tombé sous les murs de Rome, il se rend maître de l'Italie et permet le couronnement à Bologne de l'empereur par le Pape Clément VII. A moins de trente ans, il prend Rome, bat l'armée française, conquiert le royaume de Naples, soumet la République de Florence, rétablit le pouvoir des Médicis sur la Toscane. Ce grand capitaine vit dans un monde que Michelet appelle « un carnaval de la mort ».
Il est emporté par le sac de Rome qu'il ne peut empêcher. Il affronte la peste à Rome, Naples et Florence. Il rencontre l'horreur et la contagion, l'égoïsme et la lâcheté des hommes abandonnés à eux-mêmes. Il s'oppose au Pape qui se comporte en chef de clan des Médicis. Je suis entré dans sa vie, je l'ai suivi dans ses campagnes. J'ai découvert un être profondément humain. J'aime sa devise : « Je maintiendrai ».
Je maintiendrai un nom, un titre, un héritage ; plus encore, un état d'esprit, une façon de se tenir dans la vie, de rire aussi et, le moment venu, d'affronter la mort. » J. P. S.