Petits poèmes d'amour
Par :Formats :
Disponible dans votre compte client Decitre ou Furet du Nord dès validation de votre commande. Le format ePub est :
- Compatible avec une lecture sur My Vivlio (smartphone, tablette, ordinateur)
- Compatible avec une lecture sur liseuses Vivlio
- Pour les liseuses autres que Vivlio, vous devez utiliser le logiciel Adobe Digital Edition. Non compatible avec la lecture sur les liseuses Kindle, Remarkable et Sony

Notre partenaire de plateforme de lecture numérique où vous retrouverez l'ensemble de vos ebooks gratuitement
Pour en savoir plus sur nos ebooks, consultez notre aide en ligne ici
- Nombre de pages44
- FormatePub
- ISBN2-307-33099-2
- EAN9782307330998
- Date de parution01/01/1995
- Protection num.Digital Watermarking
- Taille532 Ko
- Infos supplémentairesepub
- ÉditeurFeniXX réédition numérique (Le M...
Résumé
Le poète convoque l'amour, la mer et l'imaginaire ; il célèbre ce que nous donne le monde, dans la joie de vivre grâce à l'aimée, et offre le tout au Très-Haut. Le « vous » adressé à Ève, crée un rituel, mais si sa beauté se croque avec gourmandise, la femme reste en même temps « cathédrale ». L'écriture, elle aussi, brûle comme l'amour, comme la Foi. « Amour de l'amour, amour des mots d'amour ou seul amour des mots ? » interroge avec malice Yves Rajaud, comme pour brouiller les pistes.
Il précisera, afin de vaincre l'inquiétude à l'avance : « Si les amours finissent, les mots ne meurent pas ». Pour lui, l'amour demeure cette « sentinelle du monde », là même où la Terre disparaît. Dans ces poèmes en prose détendus, adorants, riches d'images qui rejoignent souvent celles des livres sacrés, Éros reste très prégnant, comme la communion avec la Terre, la mer, l'art, les lieux symboliques.
Une force est confiée par l'amour au poète, autant qu'au croyant (« je ne sais pas cesser d'aimer »). Mais, de Dieu, a-t-on des preuves ? Réponse superbe du poète :« Personne n'est jamais revenu du mystère. »
Il précisera, afin de vaincre l'inquiétude à l'avance : « Si les amours finissent, les mots ne meurent pas ». Pour lui, l'amour demeure cette « sentinelle du monde », là même où la Terre disparaît. Dans ces poèmes en prose détendus, adorants, riches d'images qui rejoignent souvent celles des livres sacrés, Éros reste très prégnant, comme la communion avec la Terre, la mer, l'art, les lieux symboliques.
Une force est confiée par l'amour au poète, autant qu'au croyant (« je ne sais pas cesser d'aimer »). Mais, de Dieu, a-t-on des preuves ? Réponse superbe du poète :« Personne n'est jamais revenu du mystère. »
Le poète convoque l'amour, la mer et l'imaginaire ; il célèbre ce que nous donne le monde, dans la joie de vivre grâce à l'aimée, et offre le tout au Très-Haut. Le « vous » adressé à Ève, crée un rituel, mais si sa beauté se croque avec gourmandise, la femme reste en même temps « cathédrale ». L'écriture, elle aussi, brûle comme l'amour, comme la Foi. « Amour de l'amour, amour des mots d'amour ou seul amour des mots ? » interroge avec malice Yves Rajaud, comme pour brouiller les pistes.
Il précisera, afin de vaincre l'inquiétude à l'avance : « Si les amours finissent, les mots ne meurent pas ». Pour lui, l'amour demeure cette « sentinelle du monde », là même où la Terre disparaît. Dans ces poèmes en prose détendus, adorants, riches d'images qui rejoignent souvent celles des livres sacrés, Éros reste très prégnant, comme la communion avec la Terre, la mer, l'art, les lieux symboliques.
Une force est confiée par l'amour au poète, autant qu'au croyant (« je ne sais pas cesser d'aimer »). Mais, de Dieu, a-t-on des preuves ? Réponse superbe du poète :« Personne n'est jamais revenu du mystère. »
Il précisera, afin de vaincre l'inquiétude à l'avance : « Si les amours finissent, les mots ne meurent pas ». Pour lui, l'amour demeure cette « sentinelle du monde », là même où la Terre disparaît. Dans ces poèmes en prose détendus, adorants, riches d'images qui rejoignent souvent celles des livres sacrés, Éros reste très prégnant, comme la communion avec la Terre, la mer, l'art, les lieux symboliques.
Une force est confiée par l'amour au poète, autant qu'au croyant (« je ne sais pas cesser d'aimer »). Mais, de Dieu, a-t-on des preuves ? Réponse superbe du poète :« Personne n'est jamais revenu du mystère. »