Prix Nobel de Littérature
Péguy
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- Nombre de pages615
- FormatePub
- ISBN978-2-35925-103-6
- EAN9782359251036
- Date de parution08/01/2015
- Protection num.Digital Watermarking
- Taille2 Mo
- ÉditeurEmpécheurs de penser rond
- PréfacierMarc Crépon
Résumé
Cette extraordinaire biographie est une ouvre péguyste sur Péguy, où seuls comptent la mémoire et le travail de remémoration, et non la froide histoire des " savants ". Tout en dressant un portrait saisissant des fabuleuses années 1900, son fidèle ami romancier reconstitue le parcours du poète philosophe, raconte la genèse et le contenu de son ouvre gigantesque, dont tous ceux qui ne se résignent pas au pouvoir de l'argent n'ont pas fini de découvrir l'importance,
Romain Rolland (1866-1944) a été un des plus proches compagnons de combat de Péguy (1873-1914).
Son roman Jean-Christophe, a d'abord été publié par Péguy dans les Cahiers de la quinzaine. Ils se sont battus côte à côte pour Dreyfus et ont vibré pour les mêmes idéaux socialistes. À la fin de sa vie, en pleine désillusion sur l'URSS, Romain Rolland nous livre une biographie de Péguy qui reste inégalée. Il reconstitue le parcours du poète philosophe, raconte la genèse et le contenu de ses ouvres tout en dressant un portrait saisissant des fabuleuses années 1900 où Einstein formule sa première théorie, où le pape condamne le relativisme et met Bergson à l'index.
Mais il ne cache pas non plus l'exaltation nationaliste de Péguy avant la guerre de 1914 et sa haine de Jaurès. On est frappé par la profondeur du travail et le style de Romain Rolland. Il sait nous entraîner dans ce fleuve qui le (et nous) déborde de toute part. Le sens des engagements de Péguy - que l'ami Rolland n'a, loin de là, pas toujours partagés - fait l'objet d'un décryptage minutieux. Son dreyfusisme " mystique ", son socialisme irréductible, sa détestation de la Sorbonne et du " parti intellectuel ", son bergsonisme jamais pris en défaut et son appel à la révolution dans l'Église deviennent enfin compréhensibles dans leur complémentarité. À qui appartient Péguy ? Romain Rolland montre comment cette ouvre immense est irrécupérable par l'extrême droite et en quoi elle réjouira tous ceux qui ne se résignent pas au pouvoir de l'argent.
Son roman Jean-Christophe, a d'abord été publié par Péguy dans les Cahiers de la quinzaine. Ils se sont battus côte à côte pour Dreyfus et ont vibré pour les mêmes idéaux socialistes. À la fin de sa vie, en pleine désillusion sur l'URSS, Romain Rolland nous livre une biographie de Péguy qui reste inégalée. Il reconstitue le parcours du poète philosophe, raconte la genèse et le contenu de ses ouvres tout en dressant un portrait saisissant des fabuleuses années 1900 où Einstein formule sa première théorie, où le pape condamne le relativisme et met Bergson à l'index.
Mais il ne cache pas non plus l'exaltation nationaliste de Péguy avant la guerre de 1914 et sa haine de Jaurès. On est frappé par la profondeur du travail et le style de Romain Rolland. Il sait nous entraîner dans ce fleuve qui le (et nous) déborde de toute part. Le sens des engagements de Péguy - que l'ami Rolland n'a, loin de là, pas toujours partagés - fait l'objet d'un décryptage minutieux. Son dreyfusisme " mystique ", son socialisme irréductible, sa détestation de la Sorbonne et du " parti intellectuel ", son bergsonisme jamais pris en défaut et son appel à la révolution dans l'Église deviennent enfin compréhensibles dans leur complémentarité. À qui appartient Péguy ? Romain Rolland montre comment cette ouvre immense est irrécupérable par l'extrême droite et en quoi elle réjouira tous ceux qui ne se résignent pas au pouvoir de l'argent.
Cette extraordinaire biographie est une ouvre péguyste sur Péguy, où seuls comptent la mémoire et le travail de remémoration, et non la froide histoire des " savants ". Tout en dressant un portrait saisissant des fabuleuses années 1900, son fidèle ami romancier reconstitue le parcours du poète philosophe, raconte la genèse et le contenu de son ouvre gigantesque, dont tous ceux qui ne se résignent pas au pouvoir de l'argent n'ont pas fini de découvrir l'importance,
Romain Rolland (1866-1944) a été un des plus proches compagnons de combat de Péguy (1873-1914).
Son roman Jean-Christophe, a d'abord été publié par Péguy dans les Cahiers de la quinzaine. Ils se sont battus côte à côte pour Dreyfus et ont vibré pour les mêmes idéaux socialistes. À la fin de sa vie, en pleine désillusion sur l'URSS, Romain Rolland nous livre une biographie de Péguy qui reste inégalée. Il reconstitue le parcours du poète philosophe, raconte la genèse et le contenu de ses ouvres tout en dressant un portrait saisissant des fabuleuses années 1900 où Einstein formule sa première théorie, où le pape condamne le relativisme et met Bergson à l'index.
Mais il ne cache pas non plus l'exaltation nationaliste de Péguy avant la guerre de 1914 et sa haine de Jaurès. On est frappé par la profondeur du travail et le style de Romain Rolland. Il sait nous entraîner dans ce fleuve qui le (et nous) déborde de toute part. Le sens des engagements de Péguy - que l'ami Rolland n'a, loin de là, pas toujours partagés - fait l'objet d'un décryptage minutieux. Son dreyfusisme " mystique ", son socialisme irréductible, sa détestation de la Sorbonne et du " parti intellectuel ", son bergsonisme jamais pris en défaut et son appel à la révolution dans l'Église deviennent enfin compréhensibles dans leur complémentarité. À qui appartient Péguy ? Romain Rolland montre comment cette ouvre immense est irrécupérable par l'extrême droite et en quoi elle réjouira tous ceux qui ne se résignent pas au pouvoir de l'argent.
Son roman Jean-Christophe, a d'abord été publié par Péguy dans les Cahiers de la quinzaine. Ils se sont battus côte à côte pour Dreyfus et ont vibré pour les mêmes idéaux socialistes. À la fin de sa vie, en pleine désillusion sur l'URSS, Romain Rolland nous livre une biographie de Péguy qui reste inégalée. Il reconstitue le parcours du poète philosophe, raconte la genèse et le contenu de ses ouvres tout en dressant un portrait saisissant des fabuleuses années 1900 où Einstein formule sa première théorie, où le pape condamne le relativisme et met Bergson à l'index.
Mais il ne cache pas non plus l'exaltation nationaliste de Péguy avant la guerre de 1914 et sa haine de Jaurès. On est frappé par la profondeur du travail et le style de Romain Rolland. Il sait nous entraîner dans ce fleuve qui le (et nous) déborde de toute part. Le sens des engagements de Péguy - que l'ami Rolland n'a, loin de là, pas toujours partagés - fait l'objet d'un décryptage minutieux. Son dreyfusisme " mystique ", son socialisme irréductible, sa détestation de la Sorbonne et du " parti intellectuel ", son bergsonisme jamais pris en défaut et son appel à la révolution dans l'Église deviennent enfin compréhensibles dans leur complémentarité. À qui appartient Péguy ? Romain Rolland montre comment cette ouvre immense est irrécupérable par l'extrême droite et en quoi elle réjouira tous ceux qui ne se résignent pas au pouvoir de l'argent.