Paul Celan et Martin Heidegger. Le sens d'un dialogue
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- Nombre de pages320
- FormatePub
- ISBN2-213-65194-9
- EAN9782213651941
- Date de parution04/02/2004
- Copier CollerNon Autorisé
- Protection num.Adobe & CARE
- Taille4 Mo
- Infos supplémentairesepub
- ÉditeurFayard
Résumé
La première rencontre entre Paul Celan et Martin Heidegger eut lieu en 1967, à l'occasion d'une lecture publique de Celan en Allemagne. Dès le début des années 1950 pourtant, le poète lit le philosophe et le philosophe lit le poète. Leur correspondance l'atteste, et aussi les notes de lecture que chacun porta sur les écrits de l'autre : ces deux ouvres se sont fécondées. Ce livre est un travail de restitution et de mise au point.
Il est surtout une réflexion, presque quarante ans après, sur une rencontre dont le sens doit aujourd'hui encore nous requérir. Le dialogue de la poésie et de la pensée prend une résonance étrangement actuelle, en notre temps de deuil et de péril.
Il est surtout une réflexion, presque quarante ans après, sur une rencontre dont le sens doit aujourd'hui encore nous requérir. Le dialogue de la poésie et de la pensée prend une résonance étrangement actuelle, en notre temps de deuil et de péril.
La première rencontre entre Paul Celan et Martin Heidegger eut lieu en 1967, à l'occasion d'une lecture publique de Celan en Allemagne. Dès le début des années 1950 pourtant, le poète lit le philosophe et le philosophe lit le poète. Leur correspondance l'atteste, et aussi les notes de lecture que chacun porta sur les écrits de l'autre : ces deux ouvres se sont fécondées. Ce livre est un travail de restitution et de mise au point.
Il est surtout une réflexion, presque quarante ans après, sur une rencontre dont le sens doit aujourd'hui encore nous requérir. Le dialogue de la poésie et de la pensée prend une résonance étrangement actuelle, en notre temps de deuil et de péril.
Il est surtout une réflexion, presque quarante ans après, sur une rencontre dont le sens doit aujourd'hui encore nous requérir. Le dialogue de la poésie et de la pensée prend une résonance étrangement actuelle, en notre temps de deuil et de péril.













