PARLONS TZELTAL. Une langue maya du mexique
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- Nombre de pages344
- FormatPDF
- ISBN2-296-34783-5
- EAN9782296347830
- Date de parution15/11/1997
- Copier Coller01 page(s) autorisée(s)
- Protection num.Digital Watermarking
- Taille7 Mo
- ÉditeurL'Harmattan
Résumé
Le tzeltal est une langue parlée par un des groupes mayas du Chiapas au sud du Mexique. Cette région a été le théâtre de la révolte des paysans mayas en 1994, connue sous le nom de soulèvement zapatiste, conflit encore vif et non résolu plus de trois ans après ses premiers éclats.
Parlée dans des communautés retirées des Hautes Terres froides, aussi bien que dans des colonies de peuplement installées dans la forêt des Basses Terres, tant par des monolingues que par des bilingues pratiquant l'espagnol mexicain, la langue tzeltal côtoie le tzotzil, le chol, le Tojolabal, le lacandon, autres langues de la famille maya.
S'il existe des documents coloniaux - dictionnaires, catéchismes et requêtes - et des lexiques modernes espagnol-tzeltal, en revanche on ne trouve pas encore en France de description, fût-elle sommaire, de la langue contemporaine et de son usage.
Il s'agit pourtant d'une langue vivante, parlée par près de trois cent mille indiens, et qui offre, dans l'épanouissement d'une riche tradition orale coexistant maintenant avec la pratique de l'écriture, son passé et son devenir. La mémoire de son histoire, par les racines des mots, remonte au fond commun maya d'avant la conquête ; les genres " littéraires " nombreux brodent par leur rhétorique les interactions variées entre les dieux, les hommes et le monde ; les figures de style voilent ou laissent apparaître en même temps que la torture de l'histoire, la vivacité d'une modernité conquise de haute lutte.
Une introduction aux temps et lieux du monde maya, replace la parole tzeltal au sein d'un ensemble dont la patrie commune est la famille linguistique.
Il s'agit pourtant d'une langue vivante, parlée par près de trois cent mille indiens, et qui offre, dans l'épanouissement d'une riche tradition orale coexistant maintenant avec la pratique de l'écriture, son passé et son devenir. La mémoire de son histoire, par les racines des mots, remonte au fond commun maya d'avant la conquête ; les genres " littéraires " nombreux brodent par leur rhétorique les interactions variées entre les dieux, les hommes et le monde ; les figures de style voilent ou laissent apparaître en même temps que la torture de l'histoire, la vivacité d'une modernité conquise de haute lutte.
Une introduction aux temps et lieux du monde maya, replace la parole tzeltal au sein d'un ensemble dont la patrie commune est la famille linguistique.
Le tzeltal est une langue parlée par un des groupes mayas du Chiapas au sud du Mexique. Cette région a été le théâtre de la révolte des paysans mayas en 1994, connue sous le nom de soulèvement zapatiste, conflit encore vif et non résolu plus de trois ans après ses premiers éclats.
Parlée dans des communautés retirées des Hautes Terres froides, aussi bien que dans des colonies de peuplement installées dans la forêt des Basses Terres, tant par des monolingues que par des bilingues pratiquant l'espagnol mexicain, la langue tzeltal côtoie le tzotzil, le chol, le Tojolabal, le lacandon, autres langues de la famille maya.
S'il existe des documents coloniaux - dictionnaires, catéchismes et requêtes - et des lexiques modernes espagnol-tzeltal, en revanche on ne trouve pas encore en France de description, fût-elle sommaire, de la langue contemporaine et de son usage.
Il s'agit pourtant d'une langue vivante, parlée par près de trois cent mille indiens, et qui offre, dans l'épanouissement d'une riche tradition orale coexistant maintenant avec la pratique de l'écriture, son passé et son devenir. La mémoire de son histoire, par les racines des mots, remonte au fond commun maya d'avant la conquête ; les genres " littéraires " nombreux brodent par leur rhétorique les interactions variées entre les dieux, les hommes et le monde ; les figures de style voilent ou laissent apparaître en même temps que la torture de l'histoire, la vivacité d'une modernité conquise de haute lutte.
Une introduction aux temps et lieux du monde maya, replace la parole tzeltal au sein d'un ensemble dont la patrie commune est la famille linguistique.
Il s'agit pourtant d'une langue vivante, parlée par près de trois cent mille indiens, et qui offre, dans l'épanouissement d'une riche tradition orale coexistant maintenant avec la pratique de l'écriture, son passé et son devenir. La mémoire de son histoire, par les racines des mots, remonte au fond commun maya d'avant la conquête ; les genres " littéraires " nombreux brodent par leur rhétorique les interactions variées entre les dieux, les hommes et le monde ; les figures de style voilent ou laissent apparaître en même temps que la torture de l'histoire, la vivacité d'une modernité conquise de haute lutte.
Une introduction aux temps et lieux du monde maya, replace la parole tzeltal au sein d'un ensemble dont la patrie commune est la famille linguistique.