Pari d'une transition apaisée en république démocratique du Congo
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- Nombre de pages256
- FormatPDF
- ISBN978-2-296-19227-0
- EAN9782296192270
- Date de parution15/02/2008
- Copier Coller01 page(s) autorisée(s)
- Protection num.Digital Watermarking
- Taille9 Mo
- ÉditeurL'Harmattan
- PréfacierPierre Anatole Matusila
Résumé
Le Dialogue intercongolais recommandé par l'Accord de cessez-le-feu de Lusaka et dont les principaux résultats auraient dû être le règlement du conflit congolais dans sa double dimension interne et externe, la mise en place d'un nouvel ordre politique et institutionnel et la désignation de nouvelles autorités légitimes, n'a pas bénéficié d'une pédagogie appropriée des négociations politiques auxquelles il devait donner lieu, les dialogueurs et la facilitation ayant oublié la relation dialectique de la guerre et de la politique.
A partir du moment où l'objectif devint le partage du pouvoir et la réunion mathématique de tous les belligérants dans un gouvernement de Transition, la transition entre l'ordre mobutien ancien et le nouvel ordre introuvable depuis la Conférence nationale souveraine devenait un pari difficile. L'Accord global et inclusif, résultat malheureux et monument de l'échec du Dialogue national de dernière chance que tous préféraient à l'accord partiel Kabila-Bemba de Cascades, oubliait que le consensus salvateur était à construire au sein des Institutions et qu'une transition apaisée dépendait de la poursuite institutionnelle du Dialogue national.
A partir du moment où l'objectif devint le partage du pouvoir et la réunion mathématique de tous les belligérants dans un gouvernement de Transition, la transition entre l'ordre mobutien ancien et le nouvel ordre introuvable depuis la Conférence nationale souveraine devenait un pari difficile. L'Accord global et inclusif, résultat malheureux et monument de l'échec du Dialogue national de dernière chance que tous préféraient à l'accord partiel Kabila-Bemba de Cascades, oubliait que le consensus salvateur était à construire au sein des Institutions et qu'une transition apaisée dépendait de la poursuite institutionnelle du Dialogue national.
Le Dialogue intercongolais recommandé par l'Accord de cessez-le-feu de Lusaka et dont les principaux résultats auraient dû être le règlement du conflit congolais dans sa double dimension interne et externe, la mise en place d'un nouvel ordre politique et institutionnel et la désignation de nouvelles autorités légitimes, n'a pas bénéficié d'une pédagogie appropriée des négociations politiques auxquelles il devait donner lieu, les dialogueurs et la facilitation ayant oublié la relation dialectique de la guerre et de la politique.
A partir du moment où l'objectif devint le partage du pouvoir et la réunion mathématique de tous les belligérants dans un gouvernement de Transition, la transition entre l'ordre mobutien ancien et le nouvel ordre introuvable depuis la Conférence nationale souveraine devenait un pari difficile. L'Accord global et inclusif, résultat malheureux et monument de l'échec du Dialogue national de dernière chance que tous préféraient à l'accord partiel Kabila-Bemba de Cascades, oubliait que le consensus salvateur était à construire au sein des Institutions et qu'une transition apaisée dépendait de la poursuite institutionnelle du Dialogue national.
A partir du moment où l'objectif devint le partage du pouvoir et la réunion mathématique de tous les belligérants dans un gouvernement de Transition, la transition entre l'ordre mobutien ancien et le nouvel ordre introuvable depuis la Conférence nationale souveraine devenait un pari difficile. L'Accord global et inclusif, résultat malheureux et monument de l'échec du Dialogue national de dernière chance que tous préféraient à l'accord partiel Kabila-Bemba de Cascades, oubliait que le consensus salvateur était à construire au sein des Institutions et qu'une transition apaisée dépendait de la poursuite institutionnelle du Dialogue national.