PARENTS ET ENFANTS SELON LE BOUDDHISME JAPONAIS. Oeuvres classiques du bouddhisme japonais
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- Nombre de pages200
- FormatPDF
- ISBN2-296-37811-0
- EAN9782296378117
- Date de parution01/01/1999
- Copier Coller01 page(s) autorisée(s)
- Protection num.Digital Watermarking
- Taille6 Mo
- ÉditeurL'Harmattan
Résumé
Dans ce nouvel ouvrage de Asuka Ryôko sont regroupés cinq textes. Quatre romans et un sûtra du bouddhisme japonais. Appartenant pour trois d'entre eux à la catégorie des sekkyô, légendes religieuses récitées par les bouddhistes afin de dispenser leur enseignement, ces textes ont été choisis pour illustrer le thème des relations entre parents et enfants. Tour à tour, les récits décrivent la force et la constance des liens qui unissent les parents à leurs enfants dans un monde bouddhique que caractérise pourtant l'impermanence de toutes choses (mujô), principe selon lequel tout ce qui naît passe nécessairement.
Dans Iwaya no sôshi, la ferveur de sa foi dans le Bodhisattva Kannon ainsi que son amour pour ses parents sauvent la Princesse de ses mésaventures. Dans Aigono-Waka, la fidélité du héros pour son père saura finalement avoir raison de l'amour aveugle que ce dernier porte à sa seconde épouse. Dans Karukaya, la pratique assidue du bouddhisme tient éloignés le père et le fils, mais c'est cette même dévotion qui les réunira en Terre Pure.
Dans Sanshô-dayû, enfin, la méchanceté de l'intendant ne peut venir à bout des liens plus que tenaces par lesquels se trouve unie la famille de Zushiô. Ce dernier récit est particulièrement célèbre et a retenu l'attention à la fois de l'écrivain Mori Ogai (1915) et du réalisateur Kenji Mizoguchi (1954). Ces œuvres classiques du bouddhisme japonais enseignent certes les devoirs réciproques entre parents et enfants, mais, de manière plus générale, ils présentent une conception du monde que règlent des valeurs étrangères à notre société occidentale.
En cela, le livre de Asuka Ryôko a une portée qui ne laissera insensibles ni les lecteurs novices ni les connaisseurs en matière de culture japonaise.
Dans Iwaya no sôshi, la ferveur de sa foi dans le Bodhisattva Kannon ainsi que son amour pour ses parents sauvent la Princesse de ses mésaventures. Dans Aigono-Waka, la fidélité du héros pour son père saura finalement avoir raison de l'amour aveugle que ce dernier porte à sa seconde épouse. Dans Karukaya, la pratique assidue du bouddhisme tient éloignés le père et le fils, mais c'est cette même dévotion qui les réunira en Terre Pure.
Dans Sanshô-dayû, enfin, la méchanceté de l'intendant ne peut venir à bout des liens plus que tenaces par lesquels se trouve unie la famille de Zushiô. Ce dernier récit est particulièrement célèbre et a retenu l'attention à la fois de l'écrivain Mori Ogai (1915) et du réalisateur Kenji Mizoguchi (1954). Ces œuvres classiques du bouddhisme japonais enseignent certes les devoirs réciproques entre parents et enfants, mais, de manière plus générale, ils présentent une conception du monde que règlent des valeurs étrangères à notre société occidentale.
En cela, le livre de Asuka Ryôko a une portée qui ne laissera insensibles ni les lecteurs novices ni les connaisseurs en matière de culture japonaise.
Dans ce nouvel ouvrage de Asuka Ryôko sont regroupés cinq textes. Quatre romans et un sûtra du bouddhisme japonais. Appartenant pour trois d'entre eux à la catégorie des sekkyô, légendes religieuses récitées par les bouddhistes afin de dispenser leur enseignement, ces textes ont été choisis pour illustrer le thème des relations entre parents et enfants. Tour à tour, les récits décrivent la force et la constance des liens qui unissent les parents à leurs enfants dans un monde bouddhique que caractérise pourtant l'impermanence de toutes choses (mujô), principe selon lequel tout ce qui naît passe nécessairement.
Dans Iwaya no sôshi, la ferveur de sa foi dans le Bodhisattva Kannon ainsi que son amour pour ses parents sauvent la Princesse de ses mésaventures. Dans Aigono-Waka, la fidélité du héros pour son père saura finalement avoir raison de l'amour aveugle que ce dernier porte à sa seconde épouse. Dans Karukaya, la pratique assidue du bouddhisme tient éloignés le père et le fils, mais c'est cette même dévotion qui les réunira en Terre Pure.
Dans Sanshô-dayû, enfin, la méchanceté de l'intendant ne peut venir à bout des liens plus que tenaces par lesquels se trouve unie la famille de Zushiô. Ce dernier récit est particulièrement célèbre et a retenu l'attention à la fois de l'écrivain Mori Ogai (1915) et du réalisateur Kenji Mizoguchi (1954). Ces œuvres classiques du bouddhisme japonais enseignent certes les devoirs réciproques entre parents et enfants, mais, de manière plus générale, ils présentent une conception du monde que règlent des valeurs étrangères à notre société occidentale.
En cela, le livre de Asuka Ryôko a une portée qui ne laissera insensibles ni les lecteurs novices ni les connaisseurs en matière de culture japonaise.
Dans Iwaya no sôshi, la ferveur de sa foi dans le Bodhisattva Kannon ainsi que son amour pour ses parents sauvent la Princesse de ses mésaventures. Dans Aigono-Waka, la fidélité du héros pour son père saura finalement avoir raison de l'amour aveugle que ce dernier porte à sa seconde épouse. Dans Karukaya, la pratique assidue du bouddhisme tient éloignés le père et le fils, mais c'est cette même dévotion qui les réunira en Terre Pure.
Dans Sanshô-dayû, enfin, la méchanceté de l'intendant ne peut venir à bout des liens plus que tenaces par lesquels se trouve unie la famille de Zushiô. Ce dernier récit est particulièrement célèbre et a retenu l'attention à la fois de l'écrivain Mori Ogai (1915) et du réalisateur Kenji Mizoguchi (1954). Ces œuvres classiques du bouddhisme japonais enseignent certes les devoirs réciproques entre parents et enfants, mais, de manière plus générale, ils présentent une conception du monde que règlent des valeurs étrangères à notre société occidentale.
En cela, le livre de Asuka Ryôko a une portée qui ne laissera insensibles ni les lecteurs novices ni les connaisseurs en matière de culture japonaise.