Paranofictions. Traité de savoir vivre dans une réalité de science-fiction
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- Nombre de pages257
- FormatePub
- ISBN978-2-08-124130-5
- EAN9782081241305
- Date de parution13/04/2010
- Protection num.Adobe DRM
- Taille2 Mo
- Infos supplémentairesepub
- ÉditeurClimats
Résumé
La réalité est pénétrée, imbibée, perfusée d'images et de fictions. Mais il existe de bonnes fictions, qui laissent la liberté, favorisent l'ouverture et l'interprétation, et de mauvaises fictions, qui ne laissent aucun choix, emprisonnent, appauvrissent. Notre époque est celle de luttes entre imaginaires d'origines, de formes et de motivations opposées. Nous avons besoin de romans de mots, de sons ou d'images contre les fictions imposées et leur misère spirituelle.
De fictions de nos choix contre toutes celles qui nous étouffent. De fictions « consistantes », qu'Il est possible de partager, et qu'il est essentiel de poursuivre sans fléchir. Elles ne sont parfois que des relectures d'ouvres du passé ou d'épisodes bien réels de notre propre vie. Mais elles nous aident à lutter contre les robinets numériques du show dominant... Par leur humour et leur lucidité parfois désespérée, elles libèrent de la Machine à décerveler et à atrophier nos affects, ouvrent l'horizon et découvrent des territoires inexplorés.
Curieusement, elles sont bien souvent l'ouvre de grands paranoïaques. Ce sont des peintres ou des imposteurs, des écrivains de série B ou des visionnaires de marc de café, des ancêtres surréalistes ou des écorchés du virtuel. Au sein de cette galerie hétéroclite, citons Philip K. Dick, Kolkoz, Francis Picabia, Ultralab, Patrick MacGoohan, les Yes Men, David Cronenberg ou encore James Graham Ballard.
D'hier et d'aujourd'hui, toujours au-delà du vrai et du faux, ils mordent l'époque. Ariel Kyrou nous les fait découvrir ou redécouvrir et s'appuie sur leurs lumières noires pour un livre de philosophie rare, car critique, engagée, vécue dans la chair de son auteur.
De fictions de nos choix contre toutes celles qui nous étouffent. De fictions « consistantes », qu'Il est possible de partager, et qu'il est essentiel de poursuivre sans fléchir. Elles ne sont parfois que des relectures d'ouvres du passé ou d'épisodes bien réels de notre propre vie. Mais elles nous aident à lutter contre les robinets numériques du show dominant... Par leur humour et leur lucidité parfois désespérée, elles libèrent de la Machine à décerveler et à atrophier nos affects, ouvrent l'horizon et découvrent des territoires inexplorés.
Curieusement, elles sont bien souvent l'ouvre de grands paranoïaques. Ce sont des peintres ou des imposteurs, des écrivains de série B ou des visionnaires de marc de café, des ancêtres surréalistes ou des écorchés du virtuel. Au sein de cette galerie hétéroclite, citons Philip K. Dick, Kolkoz, Francis Picabia, Ultralab, Patrick MacGoohan, les Yes Men, David Cronenberg ou encore James Graham Ballard.
D'hier et d'aujourd'hui, toujours au-delà du vrai et du faux, ils mordent l'époque. Ariel Kyrou nous les fait découvrir ou redécouvrir et s'appuie sur leurs lumières noires pour un livre de philosophie rare, car critique, engagée, vécue dans la chair de son auteur.
La réalité est pénétrée, imbibée, perfusée d'images et de fictions. Mais il existe de bonnes fictions, qui laissent la liberté, favorisent l'ouverture et l'interprétation, et de mauvaises fictions, qui ne laissent aucun choix, emprisonnent, appauvrissent. Notre époque est celle de luttes entre imaginaires d'origines, de formes et de motivations opposées. Nous avons besoin de romans de mots, de sons ou d'images contre les fictions imposées et leur misère spirituelle.
De fictions de nos choix contre toutes celles qui nous étouffent. De fictions « consistantes », qu'Il est possible de partager, et qu'il est essentiel de poursuivre sans fléchir. Elles ne sont parfois que des relectures d'ouvres du passé ou d'épisodes bien réels de notre propre vie. Mais elles nous aident à lutter contre les robinets numériques du show dominant... Par leur humour et leur lucidité parfois désespérée, elles libèrent de la Machine à décerveler et à atrophier nos affects, ouvrent l'horizon et découvrent des territoires inexplorés.
Curieusement, elles sont bien souvent l'ouvre de grands paranoïaques. Ce sont des peintres ou des imposteurs, des écrivains de série B ou des visionnaires de marc de café, des ancêtres surréalistes ou des écorchés du virtuel. Au sein de cette galerie hétéroclite, citons Philip K. Dick, Kolkoz, Francis Picabia, Ultralab, Patrick MacGoohan, les Yes Men, David Cronenberg ou encore James Graham Ballard.
D'hier et d'aujourd'hui, toujours au-delà du vrai et du faux, ils mordent l'époque. Ariel Kyrou nous les fait découvrir ou redécouvrir et s'appuie sur leurs lumières noires pour un livre de philosophie rare, car critique, engagée, vécue dans la chair de son auteur.
De fictions de nos choix contre toutes celles qui nous étouffent. De fictions « consistantes », qu'Il est possible de partager, et qu'il est essentiel de poursuivre sans fléchir. Elles ne sont parfois que des relectures d'ouvres du passé ou d'épisodes bien réels de notre propre vie. Mais elles nous aident à lutter contre les robinets numériques du show dominant... Par leur humour et leur lucidité parfois désespérée, elles libèrent de la Machine à décerveler et à atrophier nos affects, ouvrent l'horizon et découvrent des territoires inexplorés.
Curieusement, elles sont bien souvent l'ouvre de grands paranoïaques. Ce sont des peintres ou des imposteurs, des écrivains de série B ou des visionnaires de marc de café, des ancêtres surréalistes ou des écorchés du virtuel. Au sein de cette galerie hétéroclite, citons Philip K. Dick, Kolkoz, Francis Picabia, Ultralab, Patrick MacGoohan, les Yes Men, David Cronenberg ou encore James Graham Ballard.
D'hier et d'aujourd'hui, toujours au-delà du vrai et du faux, ils mordent l'époque. Ariel Kyrou nous les fait découvrir ou redécouvrir et s'appuie sur leurs lumières noires pour un livre de philosophie rare, car critique, engagée, vécue dans la chair de son auteur.