Pacush Blues T12 : Douzième véhicule - Autopsie de mondes en déroute
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- Nombre de pages72
- FormatEpub fixed layout
- ISBN978-2-331-00280-9
- EAN9782331002809
- Copier CollerNon Autorisé
- Protection num.Adobe & CARE
- Taille52 Mo
- Infos supplémentairesepub
- ÉditeurVents d'Ouest
Résumé
Pas facile d'être un rat philosophe lorsqu'on est entouré de congénères à courte vue ! Peu loquace et cynique, un rat particulièrement débrouillard porte un regard sans concession sur la société dans laquelle il a fait son trou. Préférant se réfugier dans un mutisme profond, il se plie à la loi du nombre, tout en la désapprouvant fortement. Pour ne pas « péter les plombs » face à tant de stupidités et de bassesses, il se préserve quelques zones d'intimités secrètes, de confort, de chaleur, mais surtout de solitude.
Il devra tout entreprendre pour préserver son Eden, car ici dans ce « Monde emballé », tout est structuré dans un souci de rentabilité maximale. Les chercheurs de textile, les fournisseurs d'outils, où les extracteurs de crêpes, tous ont une place et un rôle à tenir. Ici, le froid ne pardonne pas et dormir quelques minutes de plus, c'est quelques minutes de trop . Cependant, notre rat visionnaire sent bien que cette organisation de vie part en déliquescence.
D'autant plus que le voilà embarqué dans une magouille qui s'avère des plus ... foireuses ! Mais grâce (à cause ?) à elle, il va découvrir ce qui se passe au-delà du Monde, par-delà le froid. Ce qu'il va découvrir va le bouleverser mais aussi le conforter dans ses opinions : quelle vie de rats ! Après une trop longue absence, Ptiluc nous renvoie à nouveau dans l'univers satyrico-comique des rats. Reflet de notre propre société avec ses tares, ses abus mais aussi ses franches rigolades, Ptiluc distille dans cette communauté animalière ses réflexions souvent cyniques, toujours teintées d'humour noir.
Pacush blues deviendrait alors nos fabliaux modernes... shootés aux prozacs ! Dans ce douzième tome, la consommation à outrance et la perte de vision à long terme, sans oublier l'abandon des individus à changer la société sont les sujets de réflexions des rats philosophes tendance maniaco-dépressifs. Au fait, pour un rat, vous savez ce quepeut être un Monde en évolution ? Vous serez surpris ! Enfin, Claude Serre ne disait-il pas de l'oeuvre de Ptiluc : « C'est beau ! C'est simple, on dirait du Proust ! Mais en mieux dessiné...
» ?
Il devra tout entreprendre pour préserver son Eden, car ici dans ce « Monde emballé », tout est structuré dans un souci de rentabilité maximale. Les chercheurs de textile, les fournisseurs d'outils, où les extracteurs de crêpes, tous ont une place et un rôle à tenir. Ici, le froid ne pardonne pas et dormir quelques minutes de plus, c'est quelques minutes de trop . Cependant, notre rat visionnaire sent bien que cette organisation de vie part en déliquescence.
D'autant plus que le voilà embarqué dans une magouille qui s'avère des plus ... foireuses ! Mais grâce (à cause ?) à elle, il va découvrir ce qui se passe au-delà du Monde, par-delà le froid. Ce qu'il va découvrir va le bouleverser mais aussi le conforter dans ses opinions : quelle vie de rats ! Après une trop longue absence, Ptiluc nous renvoie à nouveau dans l'univers satyrico-comique des rats. Reflet de notre propre société avec ses tares, ses abus mais aussi ses franches rigolades, Ptiluc distille dans cette communauté animalière ses réflexions souvent cyniques, toujours teintées d'humour noir.
Pacush blues deviendrait alors nos fabliaux modernes... shootés aux prozacs ! Dans ce douzième tome, la consommation à outrance et la perte de vision à long terme, sans oublier l'abandon des individus à changer la société sont les sujets de réflexions des rats philosophes tendance maniaco-dépressifs. Au fait, pour un rat, vous savez ce quepeut être un Monde en évolution ? Vous serez surpris ! Enfin, Claude Serre ne disait-il pas de l'oeuvre de Ptiluc : « C'est beau ! C'est simple, on dirait du Proust ! Mais en mieux dessiné...
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Pas facile d'être un rat philosophe lorsqu'on est entouré de congénères à courte vue ! Peu loquace et cynique, un rat particulièrement débrouillard porte un regard sans concession sur la société dans laquelle il a fait son trou. Préférant se réfugier dans un mutisme profond, il se plie à la loi du nombre, tout en la désapprouvant fortement. Pour ne pas « péter les plombs » face à tant de stupidités et de bassesses, il se préserve quelques zones d'intimités secrètes, de confort, de chaleur, mais surtout de solitude.
Il devra tout entreprendre pour préserver son Eden, car ici dans ce « Monde emballé », tout est structuré dans un souci de rentabilité maximale. Les chercheurs de textile, les fournisseurs d'outils, où les extracteurs de crêpes, tous ont une place et un rôle à tenir. Ici, le froid ne pardonne pas et dormir quelques minutes de plus, c'est quelques minutes de trop . Cependant, notre rat visionnaire sent bien que cette organisation de vie part en déliquescence.
D'autant plus que le voilà embarqué dans une magouille qui s'avère des plus ... foireuses ! Mais grâce (à cause ?) à elle, il va découvrir ce qui se passe au-delà du Monde, par-delà le froid. Ce qu'il va découvrir va le bouleverser mais aussi le conforter dans ses opinions : quelle vie de rats ! Après une trop longue absence, Ptiluc nous renvoie à nouveau dans l'univers satyrico-comique des rats. Reflet de notre propre société avec ses tares, ses abus mais aussi ses franches rigolades, Ptiluc distille dans cette communauté animalière ses réflexions souvent cyniques, toujours teintées d'humour noir.
Pacush blues deviendrait alors nos fabliaux modernes... shootés aux prozacs ! Dans ce douzième tome, la consommation à outrance et la perte de vision à long terme, sans oublier l'abandon des individus à changer la société sont les sujets de réflexions des rats philosophes tendance maniaco-dépressifs. Au fait, pour un rat, vous savez ce quepeut être un Monde en évolution ? Vous serez surpris ! Enfin, Claude Serre ne disait-il pas de l'oeuvre de Ptiluc : « C'est beau ! C'est simple, on dirait du Proust ! Mais en mieux dessiné...
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Il devra tout entreprendre pour préserver son Eden, car ici dans ce « Monde emballé », tout est structuré dans un souci de rentabilité maximale. Les chercheurs de textile, les fournisseurs d'outils, où les extracteurs de crêpes, tous ont une place et un rôle à tenir. Ici, le froid ne pardonne pas et dormir quelques minutes de plus, c'est quelques minutes de trop . Cependant, notre rat visionnaire sent bien que cette organisation de vie part en déliquescence.
D'autant plus que le voilà embarqué dans une magouille qui s'avère des plus ... foireuses ! Mais grâce (à cause ?) à elle, il va découvrir ce qui se passe au-delà du Monde, par-delà le froid. Ce qu'il va découvrir va le bouleverser mais aussi le conforter dans ses opinions : quelle vie de rats ! Après une trop longue absence, Ptiluc nous renvoie à nouveau dans l'univers satyrico-comique des rats. Reflet de notre propre société avec ses tares, ses abus mais aussi ses franches rigolades, Ptiluc distille dans cette communauté animalière ses réflexions souvent cyniques, toujours teintées d'humour noir.
Pacush blues deviendrait alors nos fabliaux modernes... shootés aux prozacs ! Dans ce douzième tome, la consommation à outrance et la perte de vision à long terme, sans oublier l'abandon des individus à changer la société sont les sujets de réflexions des rats philosophes tendance maniaco-dépressifs. Au fait, pour un rat, vous savez ce quepeut être un Monde en évolution ? Vous serez surpris ! Enfin, Claude Serre ne disait-il pas de l'oeuvre de Ptiluc : « C'est beau ! C'est simple, on dirait du Proust ! Mais en mieux dessiné...
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