Ouverture et compétitivité des pays en développement. Actes du colloque international
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- Nombre de pages418
- FormatPDF
- ISBN2-296-38187-1
- EAN9782296381872
- Date de parution01/01/2005
- Copier Coller01 page(s) autorisée(s)
- Protection num.Digital Watermarking
- Taille13 Mo
- ÉditeurL'Harmattan
Résumé
Dans un environnement international caractérisé de plus en plus par la mondialisation, l'impératif de compétitivité s'impose à tous les pays comme une contrainte incontournable. Le cas est encore plus manifeste pour les Pays en Développement (PED) appelés à faire face à une concurrence internationale de plus en plus vive. La question qui se pose alors pour ces pays est de savoir comment se forger les moyens de la compétitivité pour pouvoir s'insérer dans le nouvel espace économique mondialisé, et partant de s'assurer d'une croissance soutenue.
De fait, il s'agit pour ces pays de s'adapter aux conditions de production telles qu'exigées par la demande mondiale, ce qui implique une restructuration de l'appareil productif dans le sens d'une plus grande utilisation des ingrédients de l'économie du savoir. Pour ce faire ; et à leur stade actuel de développement, les PED se trouvent dans l'obligation de recourir aux pays avancés pour l'importation des technologies au moyen de transferts véhiculés, entre autres, par les IDE.
En fait, l'impératif de compétitivité est lié à la libéralisation et à l'instauration de politiques commerciales d'ouverture, favorisant les mouvements des capitaux. S'il est admis aujourd'hui que cette ouverture est une condition requise pour la croissance, celle-ci ne se confirme que si l'économie arrive à produire des biens dans les secteurs mettant en œuvre une technologie avancée exigeant le recours à une main d'œuvre de plus en plus qualifiée.
Car autrement, des stratégies non accompagnées de transformations structurelles, tant au plan technologique que de celui de la formation, se traduiraient par des spécialisations non génératrices de croissance auto-entretenue. Sur l'ensemble de ces questions, les contributions présentées dans le colloque " Ouverture et compétitivité des pays en développement " apportent des réponses par référence à l'étude de cas spécifiques.
De fait, il s'agit pour ces pays de s'adapter aux conditions de production telles qu'exigées par la demande mondiale, ce qui implique une restructuration de l'appareil productif dans le sens d'une plus grande utilisation des ingrédients de l'économie du savoir. Pour ce faire ; et à leur stade actuel de développement, les PED se trouvent dans l'obligation de recourir aux pays avancés pour l'importation des technologies au moyen de transferts véhiculés, entre autres, par les IDE.
En fait, l'impératif de compétitivité est lié à la libéralisation et à l'instauration de politiques commerciales d'ouverture, favorisant les mouvements des capitaux. S'il est admis aujourd'hui que cette ouverture est une condition requise pour la croissance, celle-ci ne se confirme que si l'économie arrive à produire des biens dans les secteurs mettant en œuvre une technologie avancée exigeant le recours à une main d'œuvre de plus en plus qualifiée.
Car autrement, des stratégies non accompagnées de transformations structurelles, tant au plan technologique que de celui de la formation, se traduiraient par des spécialisations non génératrices de croissance auto-entretenue. Sur l'ensemble de ces questions, les contributions présentées dans le colloque " Ouverture et compétitivité des pays en développement " apportent des réponses par référence à l'étude de cas spécifiques.
Dans un environnement international caractérisé de plus en plus par la mondialisation, l'impératif de compétitivité s'impose à tous les pays comme une contrainte incontournable. Le cas est encore plus manifeste pour les Pays en Développement (PED) appelés à faire face à une concurrence internationale de plus en plus vive. La question qui se pose alors pour ces pays est de savoir comment se forger les moyens de la compétitivité pour pouvoir s'insérer dans le nouvel espace économique mondialisé, et partant de s'assurer d'une croissance soutenue.
De fait, il s'agit pour ces pays de s'adapter aux conditions de production telles qu'exigées par la demande mondiale, ce qui implique une restructuration de l'appareil productif dans le sens d'une plus grande utilisation des ingrédients de l'économie du savoir. Pour ce faire ; et à leur stade actuel de développement, les PED se trouvent dans l'obligation de recourir aux pays avancés pour l'importation des technologies au moyen de transferts véhiculés, entre autres, par les IDE.
En fait, l'impératif de compétitivité est lié à la libéralisation et à l'instauration de politiques commerciales d'ouverture, favorisant les mouvements des capitaux. S'il est admis aujourd'hui que cette ouverture est une condition requise pour la croissance, celle-ci ne se confirme que si l'économie arrive à produire des biens dans les secteurs mettant en œuvre une technologie avancée exigeant le recours à une main d'œuvre de plus en plus qualifiée.
Car autrement, des stratégies non accompagnées de transformations structurelles, tant au plan technologique que de celui de la formation, se traduiraient par des spécialisations non génératrices de croissance auto-entretenue. Sur l'ensemble de ces questions, les contributions présentées dans le colloque " Ouverture et compétitivité des pays en développement " apportent des réponses par référence à l'étude de cas spécifiques.
De fait, il s'agit pour ces pays de s'adapter aux conditions de production telles qu'exigées par la demande mondiale, ce qui implique une restructuration de l'appareil productif dans le sens d'une plus grande utilisation des ingrédients de l'économie du savoir. Pour ce faire ; et à leur stade actuel de développement, les PED se trouvent dans l'obligation de recourir aux pays avancés pour l'importation des technologies au moyen de transferts véhiculés, entre autres, par les IDE.
En fait, l'impératif de compétitivité est lié à la libéralisation et à l'instauration de politiques commerciales d'ouverture, favorisant les mouvements des capitaux. S'il est admis aujourd'hui que cette ouverture est une condition requise pour la croissance, celle-ci ne se confirme que si l'économie arrive à produire des biens dans les secteurs mettant en œuvre une technologie avancée exigeant le recours à une main d'œuvre de plus en plus qualifiée.
Car autrement, des stratégies non accompagnées de transformations structurelles, tant au plan technologique que de celui de la formation, se traduiraient par des spécialisations non génératrices de croissance auto-entretenue. Sur l'ensemble de ces questions, les contributions présentées dans le colloque " Ouverture et compétitivité des pays en développement " apportent des réponses par référence à l'étude de cas spécifiques.