Oublier son nom. Histoire d'un cas, l'Amnésique de Collegno

Par : Christine Dal Bon

Formats :

Offrir maintenant
Ou planifier dans votre panier
Disponible dans votre compte client Decitre ou Furet du Nord dès validation de votre commande. Le format PDF protégé est :
  • Compatible avec une lecture sur My Vivlio (smartphone, tablette, ordinateur)
  • Compatible avec une lecture sur liseuses Vivlio
  • Pour les liseuses autres que Vivlio, vous devez utiliser le logiciel Adobe Digital Edition. Non compatible avec la lecture sur les liseuses Kindle, Remarkable et Sony
  • Non compatible avec un achat hors France métropolitaine
Logo Vivlio, qui est-ce ?

Notre partenaire de plateforme de lecture numérique où vous retrouverez l'ensemble de vos ebooks gratuitement

Pour en savoir plus sur nos ebooks, consultez notre aide en ligne ici
C'est si simple ! Lisez votre ebook avec l'app Vivlio sur votre tablette, mobile ou ordinateur :
Google PlayApp Store
  • Nombre de pages161
  • FormatPDF
  • ISBN978-2-84952-718-4
  • EAN9782849527184
  • Date de parution19/02/2014
  • Protection num.Adobe DRM
  • Taille2 Mo
  • Infos supplémentairespdf
  • ÉditeurImago
  • PréfacierMichel Plon

Résumé

En 1926, un vagabond est arrêté en Italie par des carabiniers : confus, suicidaire, il est hospitalisé dans un asile. Sa photo est publiée dans les journaux avec cette question : « Qui le connaît ? » Tout d'abord formellement identifié par sa famille, il est ensuite dénoncé dans une lettre anonyme : l'amnésique ne serait pas Canella, le brillant professeur de philosophie, mais Bruneri, un simulateur, un vulgaire malfrat recherché par la police.
Un étonnant imbroglio entrecroisant, dans une ambiance délétère, pressions fascistes, machinations de hauts dignitaires du Vatican et corruptions de type mafieux.
En 1926, un vagabond est arrêté en Italie par des carabiniers : confus, suicidaire, il est hospitalisé dans un asile. Sa photo est publiée dans les journaux avec cette question : « Qui le connaît ? » Tout d'abord formellement identifié par sa famille, il est ensuite dénoncé dans une lettre anonyme : l'amnésique ne serait pas Canella, le brillant professeur de philosophie, mais Bruneri, un simulateur, un vulgaire malfrat recherché par la police.
Un étonnant imbroglio entrecroisant, dans une ambiance délétère, pressions fascistes, machinations de hauts dignitaires du Vatican et corruptions de type mafieux.