Oser la parité syndicale. La CGT à l'épreuve des collectifs déminins: 1945-1985
Par :Formats :
Disponible dans votre compte client Decitre ou Furet du Nord dès validation de votre commande. Le format PDF est :
- Compatible avec une lecture sur My Vivlio (smartphone, tablette, ordinateur)
- Compatible avec une lecture sur liseuses Vivlio
- Pour les liseuses autres que Vivlio, vous devez utiliser le logiciel Adobe Digital Edition. Non compatible avec la lecture sur les liseuses Kindle, Remarkable et Sony

Notre partenaire de plateforme de lecture numérique où vous retrouverez l'ensemble de vos ebooks gratuitement
Pour en savoir plus sur nos ebooks, consultez notre aide en ligne ici
- Nombre de pages296
- FormatPDF
- ISBN978-2-296-17115-2
- EAN9782296171152
- Date de parution01/04/2007
- Copier Coller01 page(s) autorisée(s)
- Protection num.Digital Watermarking
- Taille10 Mo
- ÉditeurL'Harmattan
Résumé
Entre 1945 et 1985, trois générations de femmes ont cherché à promouvoir le " deuxième sexe " au sein d'une des formations traditionnellement masculine : le syndicat. La CGT sera le champ de l'expérience. En 1945, la résistante Marie Couette ouvre la porte de la maison à la promotion féminine. Son projet d'un Conseil National des Femmes échoue. En 1955, une postière, Madeleine Colin, s'engage dans l'aventure.
Elle va s'employer à instruire en syndicalisme les générations de militantes qu'elle souhaite promouvoir dans les directions syndicales. Une école de formation et le lancement, à la veille de Noël 1955, du magazine Antoinette, seront les supports culturels d'un réseau de commissions féminines essaimant sur l'ensemble de l'hexagone. Portées par l'essor du renouveau féministe, les années 1970 symbolisent l'apogée de la route tracée par Madeleine Colin.
Les contestations survenues lors d'une conférence nationale en 1977 sonnent la fin du cycle des conquêtes syndicales féminines. Les commissions, affaiblies, disparaissent en 1985. Le magazine Antoinette leur survit jusqu'en 1989. Sous l'emblème de la mixité, la troisième génération de dirigeantes gère le déclin d'une construction qui s'est échouée sur l'écueil du rêve égalitaire.
Elle va s'employer à instruire en syndicalisme les générations de militantes qu'elle souhaite promouvoir dans les directions syndicales. Une école de formation et le lancement, à la veille de Noël 1955, du magazine Antoinette, seront les supports culturels d'un réseau de commissions féminines essaimant sur l'ensemble de l'hexagone. Portées par l'essor du renouveau féministe, les années 1970 symbolisent l'apogée de la route tracée par Madeleine Colin.
Les contestations survenues lors d'une conférence nationale en 1977 sonnent la fin du cycle des conquêtes syndicales féminines. Les commissions, affaiblies, disparaissent en 1985. Le magazine Antoinette leur survit jusqu'en 1989. Sous l'emblème de la mixité, la troisième génération de dirigeantes gère le déclin d'une construction qui s'est échouée sur l'écueil du rêve égalitaire.
Entre 1945 et 1985, trois générations de femmes ont cherché à promouvoir le " deuxième sexe " au sein d'une des formations traditionnellement masculine : le syndicat. La CGT sera le champ de l'expérience. En 1945, la résistante Marie Couette ouvre la porte de la maison à la promotion féminine. Son projet d'un Conseil National des Femmes échoue. En 1955, une postière, Madeleine Colin, s'engage dans l'aventure.
Elle va s'employer à instruire en syndicalisme les générations de militantes qu'elle souhaite promouvoir dans les directions syndicales. Une école de formation et le lancement, à la veille de Noël 1955, du magazine Antoinette, seront les supports culturels d'un réseau de commissions féminines essaimant sur l'ensemble de l'hexagone. Portées par l'essor du renouveau féministe, les années 1970 symbolisent l'apogée de la route tracée par Madeleine Colin.
Les contestations survenues lors d'une conférence nationale en 1977 sonnent la fin du cycle des conquêtes syndicales féminines. Les commissions, affaiblies, disparaissent en 1985. Le magazine Antoinette leur survit jusqu'en 1989. Sous l'emblème de la mixité, la troisième génération de dirigeantes gère le déclin d'une construction qui s'est échouée sur l'écueil du rêve égalitaire.
Elle va s'employer à instruire en syndicalisme les générations de militantes qu'elle souhaite promouvoir dans les directions syndicales. Une école de formation et le lancement, à la veille de Noël 1955, du magazine Antoinette, seront les supports culturels d'un réseau de commissions féminines essaimant sur l'ensemble de l'hexagone. Portées par l'essor du renouveau féministe, les années 1970 symbolisent l'apogée de la route tracée par Madeleine Colin.
Les contestations survenues lors d'une conférence nationale en 1977 sonnent la fin du cycle des conquêtes syndicales féminines. Les commissions, affaiblies, disparaissent en 1985. Le magazine Antoinette leur survit jusqu'en 1989. Sous l'emblème de la mixité, la troisième génération de dirigeantes gère le déclin d'une construction qui s'est échouée sur l'écueil du rêve égalitaire.