Optique physiologique. Tome 1, Physiologie et dioptrique de l'oeil
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- Nombre de pages266
- FormatPDF
- ISBN978-2-296-22319-6
- EAN9782296223196
- Date de parution01/05/2009
- Copier Coller01 page(s) autorisée(s)
- Protection num.Digital Watermarking
- Taille13 Mo
- ÉditeurL'Harmattan
Résumé
Hermann (von) Helmholtz (1821-1894), qui fut un des plus grands savants du XIXe siècle, se fit surtout connaître en France par ses travaux en physiologie et en psychologie. Il fut en particulier l'auteur d'une Optique physiologique (1856-1867), une des plus importantes oeuvres de physiologie qui ait paru à cette époque. Publiée par fascicules entre 1856 et 1867, dans l'Encyclopédie physique de Karsten, elle se divise en trois parties bien distinctes : la dioptrique de l'exil, les sensations visuelles, les perceptions correspondantes.
La première partie donne la description des moyens par lesquels le mouvement vibratoire extérieur est conduit et transmis jusqu'à la surface nerveuse pour y produire une impression. La seconde partie s'occupe de la transformation de cette impression, toute physique, en sensation lumineuse. La troisième partie, enfin, la plus intéressante peut-être au point de vue psychologique, traite des lois psychiques au moyen desquelles ces sensations lumineuses nous donnent la perception des objets extérieurs.
Nous avons reproduit dans ce premier volume la première partie de son Optique physiologique (1856), traduite et adaptée en français par Emile Javal (1839-1907) en 1867, dont Helmholtz a contrôlé lui-même la traduction. On y trouve en particulier sa théorie de l'accommodation et une description de l'ophtalmoscope. Le texte est précédé d'un article d'Helmholtz (1869) qui résume cette partie de son livre et d'un article biographique de Emil du Bois-Reymond (1818-1896) publié après la mort de l'auteur.
La première partie donne la description des moyens par lesquels le mouvement vibratoire extérieur est conduit et transmis jusqu'à la surface nerveuse pour y produire une impression. La seconde partie s'occupe de la transformation de cette impression, toute physique, en sensation lumineuse. La troisième partie, enfin, la plus intéressante peut-être au point de vue psychologique, traite des lois psychiques au moyen desquelles ces sensations lumineuses nous donnent la perception des objets extérieurs.
Nous avons reproduit dans ce premier volume la première partie de son Optique physiologique (1856), traduite et adaptée en français par Emile Javal (1839-1907) en 1867, dont Helmholtz a contrôlé lui-même la traduction. On y trouve en particulier sa théorie de l'accommodation et une description de l'ophtalmoscope. Le texte est précédé d'un article d'Helmholtz (1869) qui résume cette partie de son livre et d'un article biographique de Emil du Bois-Reymond (1818-1896) publié après la mort de l'auteur.
Hermann (von) Helmholtz (1821-1894), qui fut un des plus grands savants du XIXe siècle, se fit surtout connaître en France par ses travaux en physiologie et en psychologie. Il fut en particulier l'auteur d'une Optique physiologique (1856-1867), une des plus importantes oeuvres de physiologie qui ait paru à cette époque. Publiée par fascicules entre 1856 et 1867, dans l'Encyclopédie physique de Karsten, elle se divise en trois parties bien distinctes : la dioptrique de l'exil, les sensations visuelles, les perceptions correspondantes.
La première partie donne la description des moyens par lesquels le mouvement vibratoire extérieur est conduit et transmis jusqu'à la surface nerveuse pour y produire une impression. La seconde partie s'occupe de la transformation de cette impression, toute physique, en sensation lumineuse. La troisième partie, enfin, la plus intéressante peut-être au point de vue psychologique, traite des lois psychiques au moyen desquelles ces sensations lumineuses nous donnent la perception des objets extérieurs.
Nous avons reproduit dans ce premier volume la première partie de son Optique physiologique (1856), traduite et adaptée en français par Emile Javal (1839-1907) en 1867, dont Helmholtz a contrôlé lui-même la traduction. On y trouve en particulier sa théorie de l'accommodation et une description de l'ophtalmoscope. Le texte est précédé d'un article d'Helmholtz (1869) qui résume cette partie de son livre et d'un article biographique de Emil du Bois-Reymond (1818-1896) publié après la mort de l'auteur.
La première partie donne la description des moyens par lesquels le mouvement vibratoire extérieur est conduit et transmis jusqu'à la surface nerveuse pour y produire une impression. La seconde partie s'occupe de la transformation de cette impression, toute physique, en sensation lumineuse. La troisième partie, enfin, la plus intéressante peut-être au point de vue psychologique, traite des lois psychiques au moyen desquelles ces sensations lumineuses nous donnent la perception des objets extérieurs.
Nous avons reproduit dans ce premier volume la première partie de son Optique physiologique (1856), traduite et adaptée en français par Emile Javal (1839-1907) en 1867, dont Helmholtz a contrôlé lui-même la traduction. On y trouve en particulier sa théorie de l'accommodation et une description de l'ophtalmoscope. Le texte est précédé d'un article d'Helmholtz (1869) qui résume cette partie de son livre et d'un article biographique de Emil du Bois-Reymond (1818-1896) publié après la mort de l'auteur.