Ondine et les feux du savoir. Carnets d'une petite sirène
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- Nombre de pages238
- FormatePub
- ISBN2-7062-8207-X
- EAN9782706282072
- Date de parution01/01/1998
- Protection num.Digital Watermarking
- Taille53 Mo
- Infos supplémentairesepub
- ÉditeurStock (réédition numérique FeniX...
Résumé
« Je vois se façonner, au cours des millénaires, la connaissance... » Pour Bernard d'Espagnat, le savoir désintéressé est, de toute évidence, le plus splendide des monuments, et rien n'est plus exaltant que de revivre, en pensée, les étapes de son infinie construction. Aussi nous invite-t-il à le faire, et d'une manière fort plaisante, par petite sirène interposée. Car Ondine brûle de comprendre. Née au sein de la Grèce antique, donc bien avant le schisme qui sépara la science de la philosophie, elle demeure très consciente de leur complémentarité.
Aussi interroge-t-elle Parménide tout comme Démocrite, Aristote tout comme Plotin, et sillonne-t-elle, plus tard, mers et rivières afin de dialoguer tantôt avec Spinoza et Berkeley, tantôt avec Galilée, Newton ou Poincaré, toujours en quête de sens et de cohérence. Merveille des créatures de légende, qui se rient du temps et de l'espace, surtout si celui-ci est aquatique : elle assiste à la découverte de la rotondité du globe terrestre et s'initie aussi aux conceptions de « l'après Einstein ».
Ondine vise le « fond des choses », et la limpidité de ses propos n'implique en rien qu'ils soient frivoles. A chaque époque, elle concentre son attention sur ce qui, dans une question alors nouvelle, s'avère aujourd'hui en être le cour. Sa joyeuse recherche nous amène ainsi, par des méandres propres à son cheminement, jusqu'aux grandes interrogations contemporaines, dont on ne saurait dire si c'est la physique qui les pose à la philosophie - ou l'inverse.
Aussi interroge-t-elle Parménide tout comme Démocrite, Aristote tout comme Plotin, et sillonne-t-elle, plus tard, mers et rivières afin de dialoguer tantôt avec Spinoza et Berkeley, tantôt avec Galilée, Newton ou Poincaré, toujours en quête de sens et de cohérence. Merveille des créatures de légende, qui se rient du temps et de l'espace, surtout si celui-ci est aquatique : elle assiste à la découverte de la rotondité du globe terrestre et s'initie aussi aux conceptions de « l'après Einstein ».
Ondine vise le « fond des choses », et la limpidité de ses propos n'implique en rien qu'ils soient frivoles. A chaque époque, elle concentre son attention sur ce qui, dans une question alors nouvelle, s'avère aujourd'hui en être le cour. Sa joyeuse recherche nous amène ainsi, par des méandres propres à son cheminement, jusqu'aux grandes interrogations contemporaines, dont on ne saurait dire si c'est la physique qui les pose à la philosophie - ou l'inverse.
« Je vois se façonner, au cours des millénaires, la connaissance... » Pour Bernard d'Espagnat, le savoir désintéressé est, de toute évidence, le plus splendide des monuments, et rien n'est plus exaltant que de revivre, en pensée, les étapes de son infinie construction. Aussi nous invite-t-il à le faire, et d'une manière fort plaisante, par petite sirène interposée. Car Ondine brûle de comprendre. Née au sein de la Grèce antique, donc bien avant le schisme qui sépara la science de la philosophie, elle demeure très consciente de leur complémentarité.
Aussi interroge-t-elle Parménide tout comme Démocrite, Aristote tout comme Plotin, et sillonne-t-elle, plus tard, mers et rivières afin de dialoguer tantôt avec Spinoza et Berkeley, tantôt avec Galilée, Newton ou Poincaré, toujours en quête de sens et de cohérence. Merveille des créatures de légende, qui se rient du temps et de l'espace, surtout si celui-ci est aquatique : elle assiste à la découverte de la rotondité du globe terrestre et s'initie aussi aux conceptions de « l'après Einstein ».
Ondine vise le « fond des choses », et la limpidité de ses propos n'implique en rien qu'ils soient frivoles. A chaque époque, elle concentre son attention sur ce qui, dans une question alors nouvelle, s'avère aujourd'hui en être le cour. Sa joyeuse recherche nous amène ainsi, par des méandres propres à son cheminement, jusqu'aux grandes interrogations contemporaines, dont on ne saurait dire si c'est la physique qui les pose à la philosophie - ou l'inverse.
Aussi interroge-t-elle Parménide tout comme Démocrite, Aristote tout comme Plotin, et sillonne-t-elle, plus tard, mers et rivières afin de dialoguer tantôt avec Spinoza et Berkeley, tantôt avec Galilée, Newton ou Poincaré, toujours en quête de sens et de cohérence. Merveille des créatures de légende, qui se rient du temps et de l'espace, surtout si celui-ci est aquatique : elle assiste à la découverte de la rotondité du globe terrestre et s'initie aussi aux conceptions de « l'après Einstein ».
Ondine vise le « fond des choses », et la limpidité de ses propos n'implique en rien qu'ils soient frivoles. A chaque époque, elle concentre son attention sur ce qui, dans une question alors nouvelle, s'avère aujourd'hui en être le cour. Sa joyeuse recherche nous amène ainsi, par des méandres propres à son cheminement, jusqu'aux grandes interrogations contemporaines, dont on ne saurait dire si c'est la physique qui les pose à la philosophie - ou l'inverse.