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- Nombre de pages338
- FormatePub
- ISBN978-2-234-06587-1
- EAN9782234065871
- Date de parution28/10/2009
- Copier CollerNon Autorisé
- Protection num.Adobe & CARE
- Taille338 Ko
- Infos supplémentairesepub
- ÉditeurStock
Résumé
Il est fort probable, et même souhaitable, que Stéphane Guillon ne se calme jamais. Une preuve flagrante à verser au dossier : cette sélection de chroniques écrites pour France Inter de septembre 2008 à juin 2009, qui ont valu à son auteur, au début du printemps dernier, une convocation dans le bureau du président de Radio France. Ce dernier a donc prononcé cette phrase étonnante en s'adressant au chroniqueur préféré, en tout cas le plus écouté, de la radio publique : « On m'a demandé de vous calmer.
»Ce livre ne démasquera pas, ce n'est pas son but, l'identité de celui ou de ceux qui ont espéré le silence, du moins le calme du chroniqueur. Il aura l'allure d'un journal de bord, un journal un peu noir qui balaiera toute l'actualité d'une longue saison scolaire pendant laquelle Stéphane Guillon n'aura favorisé aucun des éléments de la classe politique, ni de droite, ni du centre, ni de gauche. On mesurera, en découvrant ou redécouvrant ce florilège de billets d'incorrection quotidienne, la qualité de chacun de ces textes, l'écriture acérée et implacable de l'auteur, aussi bon à l'écrit qu'à l'oral semblerait-il, à la manière d'un Pierre Desproges de notre temps auquel, à tort ou à raison, Stéphane Guillon est souvent comparé.
L'un comme l'autre auront su en tout cas donner du talent à une époque qui en est bien dépourvue.
»Ce livre ne démasquera pas, ce n'est pas son but, l'identité de celui ou de ceux qui ont espéré le silence, du moins le calme du chroniqueur. Il aura l'allure d'un journal de bord, un journal un peu noir qui balaiera toute l'actualité d'une longue saison scolaire pendant laquelle Stéphane Guillon n'aura favorisé aucun des éléments de la classe politique, ni de droite, ni du centre, ni de gauche. On mesurera, en découvrant ou redécouvrant ce florilège de billets d'incorrection quotidienne, la qualité de chacun de ces textes, l'écriture acérée et implacable de l'auteur, aussi bon à l'écrit qu'à l'oral semblerait-il, à la manière d'un Pierre Desproges de notre temps auquel, à tort ou à raison, Stéphane Guillon est souvent comparé.
L'un comme l'autre auront su en tout cas donner du talent à une époque qui en est bien dépourvue.
Il est fort probable, et même souhaitable, que Stéphane Guillon ne se calme jamais. Une preuve flagrante à verser au dossier : cette sélection de chroniques écrites pour France Inter de septembre 2008 à juin 2009, qui ont valu à son auteur, au début du printemps dernier, une convocation dans le bureau du président de Radio France. Ce dernier a donc prononcé cette phrase étonnante en s'adressant au chroniqueur préféré, en tout cas le plus écouté, de la radio publique : « On m'a demandé de vous calmer.
»Ce livre ne démasquera pas, ce n'est pas son but, l'identité de celui ou de ceux qui ont espéré le silence, du moins le calme du chroniqueur. Il aura l'allure d'un journal de bord, un journal un peu noir qui balaiera toute l'actualité d'une longue saison scolaire pendant laquelle Stéphane Guillon n'aura favorisé aucun des éléments de la classe politique, ni de droite, ni du centre, ni de gauche. On mesurera, en découvrant ou redécouvrant ce florilège de billets d'incorrection quotidienne, la qualité de chacun de ces textes, l'écriture acérée et implacable de l'auteur, aussi bon à l'écrit qu'à l'oral semblerait-il, à la manière d'un Pierre Desproges de notre temps auquel, à tort ou à raison, Stéphane Guillon est souvent comparé.
L'un comme l'autre auront su en tout cas donner du talent à une époque qui en est bien dépourvue.
»Ce livre ne démasquera pas, ce n'est pas son but, l'identité de celui ou de ceux qui ont espéré le silence, du moins le calme du chroniqueur. Il aura l'allure d'un journal de bord, un journal un peu noir qui balaiera toute l'actualité d'une longue saison scolaire pendant laquelle Stéphane Guillon n'aura favorisé aucun des éléments de la classe politique, ni de droite, ni du centre, ni de gauche. On mesurera, en découvrant ou redécouvrant ce florilège de billets d'incorrection quotidienne, la qualité de chacun de ces textes, l'écriture acérée et implacable de l'auteur, aussi bon à l'écrit qu'à l'oral semblerait-il, à la manière d'un Pierre Desproges de notre temps auquel, à tort ou à raison, Stéphane Guillon est souvent comparé.
L'un comme l'autre auront su en tout cas donner du talent à une époque qui en est bien dépourvue.
Avis des lecteursCommentaires laissés par nos lecteurs
4.5/5
5/5
“ MDR! ”
J'ai beaucoup rigolé en lisant les chroniques quotidiennes de Stéphane GUILLON sur la Radio France Inter. Il faut bien avouer que c'est méchant parfois mais très drôle et souvent juste. Je n'ai pas boudé mon plaisir et ai bien l'intention de lire d'autres chroniques de cet humoriste.
J'ai beaucoup rigolé en lisant les chroniques quotidiennes de Stéphane GUILLON sur la Radio France Inter. Il faut bien avouer que c'est méchant parfois mais très drôle et souvent juste. Je n'ai pas boudé mon plaisir et ai bien l'intention de lire d'autres chroniques de cet humoriste.
5/5
“ Drôlement noir ”
Vous avez dit humour noir? Cynique? Malsain?
Je vous rassure il y a pire. Mais côté méchanceté, Guillon joue dans la cour des grands.
Petit conseil: remettez vous bien en tête les péripéties de Stéphane Guillon à France Inter pour savourer un humour grinçant qui tombe juste, ce qui lui a valu....la porte
Vous avez dit humour noir? Cynique? Malsain?
Je vous rassure il y a pire. Mais côté méchanceté, Guillon joue dans la cour des grands.
Petit conseil: remettez vous bien en tête les péripéties de Stéphane Guillon à France Inter pour savourer un humour grinçant qui tombe juste, ce qui lui a valu....la porte
A propos de Stéphane Guillon
4/5
3.3/5
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