Oberman. Lettres publiées par M. Senancour - Texte intégral

Par : Étienne Pivert de Senancour
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  • Nombre de pages757
  • FormatMulti-format
  • ISBN978-2-346-13981-1
  • EAN9782346139811
  • Date de parution18/11/2019
  • Protection num.NC
  • Infos supplémentairesMulti-format incluant ePub avec ...
  • ÉditeurBNF

Résumé

Étienne Pivert de Senancour (1770-1846) fait partie de ces auteurs issus du premier romantisme injustement oubliés aujourd'hui. Nombreux sont ceux pourtant parmi les plus grands de la littérature à reconnaître en lui un talent rare d'écrivain, que ce soit Nerval, Charles Nodier, Balzac, George Sand ou bien Proust. Sainte-Beuve consacre à Oberman de longues pages empreintes de louanges et d'admiration dans ces Critiques et Portraits littéraires, avant de conclure : « Je recommande tout ce livre, qui est une belle fin consolante à méditer [...], breuvage indispensable après le philtre, rosée du soir après un jour ténébreux, délicieuse à sentir, en vérité, quand elle tombe sur un front brûlant qui fut atteint du mal d'Oberman.
» Senancour dépeint dans ce recueil de lettres - dont on ne connaîtra pas le destinataire - ce qui deviendra l'archétype du héros romantique, âme tourmentée par la mélancolie, la solitude et la tristesse, qui ne trouve réconfort et apaisement que dans la contemplation de la nature.
Étienne Pivert de Senancour (1770-1846) fait partie de ces auteurs issus du premier romantisme injustement oubliés aujourd'hui. Nombreux sont ceux pourtant parmi les plus grands de la littérature à reconnaître en lui un talent rare d'écrivain, que ce soit Nerval, Charles Nodier, Balzac, George Sand ou bien Proust. Sainte-Beuve consacre à Oberman de longues pages empreintes de louanges et d'admiration dans ces Critiques et Portraits littéraires, avant de conclure : « Je recommande tout ce livre, qui est une belle fin consolante à méditer [...], breuvage indispensable après le philtre, rosée du soir après un jour ténébreux, délicieuse à sentir, en vérité, quand elle tombe sur un front brûlant qui fut atteint du mal d'Oberman.
» Senancour dépeint dans ce recueil de lettres - dont on ne connaîtra pas le destinataire - ce qui deviendra l'archétype du héros romantique, âme tourmentée par la mélancolie, la solitude et la tristesse, qui ne trouve réconfort et apaisement que dans la contemplation de la nature.