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  • FormatMP3
  • ISBN978-2-07-229561-4
  • EAN9782072295614
  • Date de parution10/07/2014
  • Protection num.pas de protection
  • Taille111 Mo
  • Infos supplémentairesaudio
  • ÉditeurGallimard Audio

Résumé

Dans les années 1980, une nouvelle drogue fit son apparition dans les milieux noctambules : le MDMA, dit ecstasy. Cette pilule de l'amour provoquait d'étranges effets : bouffées de chaleur, envie de danser toute la nuit sur de la techno, besoin de caresser des gens, grincements de dents, déshydratation accélérée, angoisse existentielle, tentatives de suicide, demandes en mariage. C'était une drogue dure avec une montée et une descente, comme dans les montagnes russes ou les nouvelles de certains écrivains américains.
Voici dix nouvelles écrites sous influence... « Je remercie Jean-Paul Rouve pour sa voix saccadée et blasée, drôle et maniaque, où perce parfois un excès de tendresse. Il me rappelle quelqu'un. » Frédéric Beigbeder Couverture : d'après un dessin d'Antonin Louchard tiré de « Tout un monde » par Katy Couprie et Antonin Louchard, éditions Thierry Magnier, 1999
Dans les années 1980, une nouvelle drogue fit son apparition dans les milieux noctambules : le MDMA, dit ecstasy. Cette pilule de l'amour provoquait d'étranges effets : bouffées de chaleur, envie de danser toute la nuit sur de la techno, besoin de caresser des gens, grincements de dents, déshydratation accélérée, angoisse existentielle, tentatives de suicide, demandes en mariage. C'était une drogue dure avec une montée et une descente, comme dans les montagnes russes ou les nouvelles de certains écrivains américains.
Voici dix nouvelles écrites sous influence... « Je remercie Jean-Paul Rouve pour sa voix saccadée et blasée, drôle et maniaque, où perce parfois un excès de tendresse. Il me rappelle quelqu'un. » Frédéric Beigbeder Couverture : d'après un dessin d'Antonin Louchard tiré de « Tout un monde » par Katy Couprie et Antonin Louchard, éditions Thierry Magnier, 1999

Avis des lecteurs
Commentaires laissés par nos lecteurs

2.4/5
sur 25 notes dont 2 avis lecteurs
Flop
J'ai ouvert ce livre avec un bon a priori, j'aime les lectures décalées, celles qui réveillent les yeux et l'esprit. Je m'attendais à des figures de style, une écriture qui sort des sentiers battus,.. Bon bah, ça attendra le prochain livre. Celui là est d'une pauvreté...Beigbeder joue la carte de la provoc' et il la joue mal. Certes on est dérangés mais une bonne provoc' suscite une réflexion. Là il ne donne matière à réfléchir. Les mêmes mots se répètent, on sent une terrible frustration de l'auteur...quelle tristesse...Je pense que cet ouvrage n'aura servi qu'à sertir l'égo d'un auteur perdu...
J'ai ouvert ce livre avec un bon a priori, j'aime les lectures décalées, celles qui réveillent les yeux et l'esprit. Je m'attendais à des figures de style, une écriture qui sort des sentiers battus,.. Bon bah, ça attendra le prochain livre. Celui là est d'une pauvreté...Beigbeder joue la carte de la provoc' et il la joue mal. Certes on est dérangés mais une bonne provoc' suscite une réflexion. Là il ne donne matière à réfléchir. Les mêmes mots se répètent, on sent une terrible frustration de l'auteur...quelle tristesse...Je pense que cet ouvrage n'aura servi qu'à sertir l'égo d'un auteur perdu...
  • Irritant
Que doivent être les vieilles.
N'est pas Jimmy Hendrix qui veut, j'ai trouvé ce livre malsain et égocentrique. Ce qui m avait amusé dans 99F m'irrite dans celui-ci. On a tous un ami qui a des problèmes avec l'alcool, d'addiction et qui au lieux de faire profil bas, s’enorgueillit de chacune de ses magistrales quiches. Je devrais noter ses délires Post éthylique: "Trop fort alors que je me buvais ma 200ème Extra Stout Callewaert accoudé au Zinc de l’Épinette où tous le Monde m'adore , j'ai remarqué que Vanessa m'observait avec envie. Après une tite dizaine de Donker, elle m a supplié de l'honorer dans le local poubelle. Après avoir reçu plus qu'elle ne pouvait donner, elle jeta la capote dans la benne à ordure, si elle savait la pauvre que je bosse dans les résidus urbains. Ce que je lui avais donné, je lui reprendrai des lundi (mercredi pour le recyclable), il ne lui resterait que les souvenirs de nos ébats." Voilà, cela ne vole pas haut mais en y rajoutant de la pédance et beaucoup de luxe(ure) ça devient ultra in: "La top classe, voilà ce qu'on pu penser les bof envieux qui pour la première fois de leur vie de prolétaires shootés aux épisodes de "Plus belle la vie" entraient "chez Castel". Bien plus éclatant serait leur émerveillement en me voyant Moi dans le carré ViP, étincelant dans mon slip Kangourou Chanel et mon Costard réalisé sur mesure par Karl (Lagerfeld pour les ploucs qui se fringuent chez Tati). Avec ma grâce habituelle, ma Rolex en Or massif s'éleva dans les airs pour commander une 15ème palette de Moet. Ludmilla qui revenait d'un shooting photo pour Dior avait bien compris que j'étais un happy few et bavait en imaginant tous ce que je pouvais imaginais. Elle me supplia a genoux de bien vouloir la besogner ne serait ce que 5 minutes. Comme elle était déjà dans la bonne position, je l'autoriser à déboutonner ma braguette et à œuvrer. Je terminais ma coupette, écris un ou 2 livres sur mon Ipad et me décidais, enfin se dit elle, à lui donner ce qu'elle voulait. Dans les back room je baclais cette pouf ne lui donnant que 3H de bonheurs. Elle devait bien se douter qu'elle n'était pas ma première top model de la soirée. Ah... Je l'avais oubliée la pétasse. La pauvre était éreintée, couverte de sueur entre autres chose. A ce moment de sa vie, elle a du songer à changer de bord ou plus sûrement à arrêter sa vie sexuelle. Car il n'y a que 2 certitudes dans ce bas monde: la mort et l'impossibilité de trouver meilleur amant que moi. Elle se rhabilla et se pulvérisa quelques goutte de Kenzo Jingle. La radasse, si elle savait que c'est moi qui ait trouvé le slogan publicitaire de ce parfum bas de gamme vendu une fortune a des ménagères, que c'est moi qui est écrit le scénario de la pub ou l'on voit un moine birman gagnait au geopardy en répondant Beigbeider,  que c'est moi qui ait défloré le moine birman et le technicien qui remplit les boutanches à 0,05 centimes avec cette infection de Jingle. Oui, si elle savait. Mais elle ne sait pas ! Ma vie est tellement plus "moi même" depuis que je me shoote au Canard WC. Ah si vous saviez que c'est moi qui ..." Je pense arrêter mon boulot, traîner dans les bar me faire des amis alcoolos et notait leur délire convertir tous ça en branchouille prétentieux et à moi les livres qui se vendent par milliard. J'ai quand même apprécier la nouvelle « Comment devenir quelqu'un dont je préfère ne rien vous dire pour ne pas casser sa mécanique. En parlant de ça, vous saviez que c'était moi qui...
N'est pas Jimmy Hendrix qui veut, j'ai trouvé ce livre malsain et égocentrique. Ce qui m avait amusé dans 99F m'irrite dans celui-ci. On a tous un ami qui a des problèmes avec l'alcool, d'addiction et qui au lieux de faire profil bas, s’enorgueillit de chacune de ses magistrales quiches. Je devrais noter ses délires Post éthylique: "Trop fort alors que je me buvais ma 200ème Extra Stout Callewaert accoudé au Zinc de l’Épinette où tous le Monde m'adore , j'ai remarqué que Vanessa m'observait avec envie. Après une tite dizaine de Donker, elle m a supplié de l'honorer dans le local poubelle. Après avoir reçu plus qu'elle ne pouvait donner, elle jeta la capote dans la benne à ordure, si elle savait la pauvre que je bosse dans les résidus urbains. Ce que je lui avais donné, je lui reprendrai des lundi (mercredi pour le recyclable), il ne lui resterait que les souvenirs de nos ébats." Voilà, cela ne vole pas haut mais en y rajoutant de la pédance et beaucoup de luxe(ure) ça devient ultra in: "La top classe, voilà ce qu'on pu penser les bof envieux qui pour la première fois de leur vie de prolétaires shootés aux épisodes de "Plus belle la vie" entraient "chez Castel". Bien plus éclatant serait leur émerveillement en me voyant Moi dans le carré ViP, étincelant dans mon slip Kangourou Chanel et mon Costard réalisé sur mesure par Karl (Lagerfeld pour les ploucs qui se fringuent chez Tati). Avec ma grâce habituelle, ma Rolex en Or massif s'éleva dans les airs pour commander une 15ème palette de Moet. Ludmilla qui revenait d'un shooting photo pour Dior avait bien compris que j'étais un happy few et bavait en imaginant tous ce que je pouvais imaginais. Elle me supplia a genoux de bien vouloir la besogner ne serait ce que 5 minutes. Comme elle était déjà dans la bonne position, je l'autoriser à déboutonner ma braguette et à œuvrer. Je terminais ma coupette, écris un ou 2 livres sur mon Ipad et me décidais, enfin se dit elle, à lui donner ce qu'elle voulait. Dans les back room je baclais cette pouf ne lui donnant que 3H de bonheurs. Elle devait bien se douter qu'elle n'était pas ma première top model de la soirée. Ah... Je l'avais oubliée la pétasse. La pauvre était éreintée, couverte de sueur entre autres chose. A ce moment de sa vie, elle a du songer à changer de bord ou plus sûrement à arrêter sa vie sexuelle. Car il n'y a que 2 certitudes dans ce bas monde: la mort et l'impossibilité de trouver meilleur amant que moi. Elle se rhabilla et se pulvérisa quelques goutte de Kenzo Jingle. La radasse, si elle savait que c'est moi qui ait trouvé le slogan publicitaire de ce parfum bas de gamme vendu une fortune a des ménagères, que c'est moi qui est écrit le scénario de la pub ou l'on voit un moine birman gagnait au geopardy en répondant Beigbeider,  que c'est moi qui ait défloré le moine birman et le technicien qui remplit les boutanches à 0,05 centimes avec cette infection de Jingle. Oui, si elle savait. Mais elle ne sait pas ! Ma vie est tellement plus "moi même" depuis que je me shoote au Canard WC. Ah si vous saviez que c'est moi qui ..." Je pense arrêter mon boulot, traîner dans les bar me faire des amis alcoolos et notait leur délire convertir tous ça en branchouille prétentieux et à moi les livres qui se vendent par milliard. J'ai quand même apprécier la nouvelle « Comment devenir quelqu'un dont je préfère ne rien vous dire pour ne pas casser sa mécanique. En parlant de ça, vous saviez que c'était moi qui...
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Frédéric Beigbeder
Frédéric Beigbeder est né le 21 septembre 1965 à Neuilly-sur-Seine. De nationalité française, il est un écrivain, un critique littéraire, un chroniqueur, un animateur de télévision et un réalisateur. Dès son plus jeune âge, il lit des auteurs aux styles et aux genres variés. Ce goût prononcé pour la littérature va le conduire à prendre sa plume pour nous relater des histoires dont il a lui seul le secret. Publiée aux éditions Grasset, son œuvre « Un roman français » est une autobiographie. Sur un ton dandy teinté d’humour et de réalisme, il parle de ses origines familiales, la rencontre de ses parents, leur divorce et son enfance. Toujours dans sa cellule suite à son interpellation pour consommation de drogue, il s’interroge aussi sur son propre divorce et ses relations avec sa fille Chloé. En plus des romans autobiographiques, Frédéric Beigbeder est un auteur engagé. En effet, ce dernier n’hésite pas à faire la satire de la société moderne. Dans son livre « 99 francs », il dénonce d’ailleurs le cynisme du monde de la publicité. Et cela lui a valu d’être renvoyé par son employeur.
Un homme seul
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