Nouvelles recherches sur la Grande Guerre

Par : Jacques Maillard
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  • FormatePub
  • ISBN978-2-37397-073-9
  • EAN9782373970739
  • Date de parution31/03/2022
  • Protection num.pas de protection
  • Infos supplémentairesepub
  • ÉditeurFeuillage

Résumé

Cet ouvrage, contribution de l'Académie des Sciences, Belles-Lettres et Arts d'Angers au Centenaire de la Grande guerre évoque d'abord Angers et le Maine-et-Loire. Avec la Société d'Agriculture, Sciences et Arts - c'était alors son nom - qui a su poursuivre ses travaux quand certains des siens perdent leurs fils au front, et que chaque jour arrivent des blessés à la gare Saint-Laud. Avec des figures, parfois attendues, ainsi Lucien Lizé l'un des généraux angevins de la guerre, ou inattendues - le philosophe Henri Bergson, Jacques de Dampierre, maire de Villemoisan.
Le regard s'élargit aux autres lieux et aux autres acteurs de la guerre et de la paix. À la France du Nord, envahie, mais où les écoles continuent à instruire. À l'Europe centrale, pour laquelle la paix est une défaite et non une victoire. À nos soldats d'Afrique, uniformément appelé Sénégalais. Et jusqu'à une dernière image de l'Echo de Paris : le 2 novembre 1918, la mère et la petite fille devant une tombe - une simple croix surmontée du casque : « Papa sait-il qu'on est vainqueur ? », demande la petite.
Reste l'évocation des honneurs décernés à ces soldats de la Patrie, et un retour sur les négociations d'armistice. Ainsi sont parcourues ces quatre années d'une guerre, « la der des der », définitivement inscrite dans le passé cent ans après, et, pourtant si présente dans le destin de l'Europe aujourd'hui et de demain.
Cet ouvrage, contribution de l'Académie des Sciences, Belles-Lettres et Arts d'Angers au Centenaire de la Grande guerre évoque d'abord Angers et le Maine-et-Loire. Avec la Société d'Agriculture, Sciences et Arts - c'était alors son nom - qui a su poursuivre ses travaux quand certains des siens perdent leurs fils au front, et que chaque jour arrivent des blessés à la gare Saint-Laud. Avec des figures, parfois attendues, ainsi Lucien Lizé l'un des généraux angevins de la guerre, ou inattendues - le philosophe Henri Bergson, Jacques de Dampierre, maire de Villemoisan.
Le regard s'élargit aux autres lieux et aux autres acteurs de la guerre et de la paix. À la France du Nord, envahie, mais où les écoles continuent à instruire. À l'Europe centrale, pour laquelle la paix est une défaite et non une victoire. À nos soldats d'Afrique, uniformément appelé Sénégalais. Et jusqu'à une dernière image de l'Echo de Paris : le 2 novembre 1918, la mère et la petite fille devant une tombe - une simple croix surmontée du casque : « Papa sait-il qu'on est vainqueur ? », demande la petite.
Reste l'évocation des honneurs décernés à ces soldats de la Patrie, et un retour sur les négociations d'armistice. Ainsi sont parcourues ces quatre années d'une guerre, « la der des der », définitivement inscrite dans le passé cent ans après, et, pourtant si présente dans le destin de l'Europe aujourd'hui et de demain.